Unos colmillos finísimos, muy blancos, enmarcan la lengua rosada cuando el animal abre la boca en actitud de amenaza. Un brusco relámpago y los ojos cambian de posición. El dolor lacera tu brazo derecho, que estaba desprotegido. Aparecen surcos rojizos paralelos en tu piel. Por unos instantes te sientes diminuta ante el ataque, pero luego te obligas a mirar y a evaluar, y comprendes que el animal no es muy grande y no puede hacerte mucho daño.
Porque es un gato.
O lo parece.
Un felino negro, grandes bigotes, pelo largo. Sentado cómodamente en el sillón de mando. Le has asustado, pero él te ha asustado más.
Suspiras e intentas acariciarlo con una mano mientras con la otra te palpas las heridas. Corres el riesgo de que te arañe otra vez, pero, a pesar de todo, lo haces. Te gustan los gatos.
Traduction temporaire :
Des canines extrêmement fines et très blanches encadrent la langue rose lorsque l'animal ouvre la gueule, menaçant. Un brusque éclair et les yeux changent de position. La douleur lacère ton bras droit, qui n'était pas protégé. Des sillons rougeâtres parallèles apparaissent sur ta peau. Durant un court instant, tu te sens minuscule devant l'attaque, mais ensuite, tu t'obliges à regarder et à évaluer ; tu comprends que l'animal n'est pas très grand et qu'il ne peut te faire beaucoup de mal. Parce que c'est un chat. Ou il y ressemble. Un félin noir, aux grandes moustaches, au poil long. Il est confortablement assis sur le fauteuil de commandement. Tu lui a fait peur, et pourtant, c'est lui qui t'a le plus effrayée. Tu soupires et tu tentes de le caresser avec l'une de tes mains tout en palpant tes blessures avec l'autre. Tu prends le risque qu'il te griffe une nouvelle fois, néanmoins tu le fait quand même. Tu aimes les chats.
Des canines extrêmement fines et très blanches encadrent la langue rose lorsque l'animal ouvre la gueule, menaçant. Un brusque éclair et les yeux changent de position. La douleur lacère ton bras droit, qui n'était pas protégé. Des sillons rougeâtres parallèles apparaissent sur ta peau. Durant un court instant, tu te sens minuscule devant l'attaque, mais ensuite, tu t'obliges à regarder et à évaluer ; tu comprends que l'animal n'est pas très grand et qu'il ne peut te faire beaucoup de mal. Parce que c'est un chat. Ou il y ressemble. Un félin noir, aux grandes moustaches, au poil long. Il est confortablement assis sur le fauteuil de commandement. Tu lui a fait peur, et pourtant, c'est lui qui t'a le plus effrayée. Tu soupires et tu tentes de le caresser avec l'une de tes mains tout en palpant tes blessures avec l'autre. Tu prends le risque qu'il te griffe une nouvelle fois, néanmoins tu le fait quand même. Tu aimes les chats.
8 commentaires:
Des canines extrêmement fines et blanches encadrent la langue rose lorsque l'animal ouvre la bouche dans un comportement menaçant. Un brusque éclair et les yeux changent de position. La douleur lacère ton bras droit, qui n'était pas protégé. Des sillons rougeâtres parallèles apparaissent sur ta peau. Durant un court instant tu te sens minuscule suite à l'attaque, mais ensuite tu t'obliges à regarder et à évaluer ; tu comprends que l'animal n'est pas très grand et qu'il ne peut te faire plus de mal.
Parce que c'est un chat.
Ou du moins ce qu'il en est.
Un félin noir, aux grandes moustaches, au poil long. Il est assis confortablement sur le fauteuil de commandement.
Tu lui a fait peur, mais c'est lui qui t'as le plus effrayé.
Tu soupires et tu tentes de le caresser avec l'une de tes mains pendant que tu palpes les blessures avec l'autre.
Tu prends le risque qu'il te griffe une nouvelle fois, mais tu le fait malgré tout. Tu aimes les chats.
Des canines extrêmement fines et [« muy » ?] blanches encadrent la langue rose lorsque l'animal ouvre la bouche [« gueule »] dans un comportement [pas très naturel ; est-ce nécessaire ? Est-ce qu'avec une simple virgule + l'adjectif ça ne suffit pas] menaçant. Un brusque éclair et les yeux changent de position. La douleur lacère ton bras droit, qui n'était pas protégé. Des sillons rougeâtres parallèles apparaissent sur ta peau. Durant [nécessaire ?] un court instant [virgule ?] tu te sens minuscule suite à [texte + « suite à » est maladroit – évitez dans les traductions] l'attaque, mais ensuite [virgule] tu t'obliges à regarder et à évaluer ; tu comprends que l'animal n'est pas très grand et qu'il ne peut te faire plus [texte] de mal.
Parce que c'est un chat.
Ou du moins ce qu'il en est [?????].
Un félin noir, aux [« à » / « avec des » ?] grandes moustaches, au [« le » ?] poil long. Il est assis confortablement [avant « assis » ? Essayez et voyez ce qui est mieux…] sur le fauteuil de commandement.
Tu lui a fait peur, mais [vous en avez déjà un un peu plus haut ; essayez de changer ici] c'est lui qui t'as le plus effrayé.
Tu soupires et tu tentes de le caresser avec l'une de tes [nécessaire ?] mains pendant que tu [en passant par « tout en » ?] palpes les [possessif ?] blessures avec l'autre.
Tu prends le risque qu'il te griffe une nouvelle fois, mais [X3] tu le fait malgré tout [« quand même »]. Tu aimes les chats.
Des canines extrêmement fines et très blanches encadrent la langue rose lorsque l'animal ouvre la gueule, menaçant. Un brusque éclair et les yeux changent de position. La douleur lacère ton bras droit, qui n'était pas protégé. Des sillons rougeâtres parallèles apparaissent sur ta peau. Durant un court instant, tu te sens minuscule devant l'attaque, mais ensuite, tu t'obliges à regarder et à évaluer ; tu comprends que l'animal n'est pas très grand et qu'il ne peut te faire beaucoup de mal.
Parce que c'est un chat.
Ou il y ressemble.
Un félin noir, aux grandes moustaches, au poil long. Il est confortablement assis sur le fauteuil de commandement.
Tu lui a fait peur, et pourtant, c'est lui qui t'as le plus effrayé.
Tu soupires et tu tentes de le caresser avec l'une de tes mains tout en palpant tes blessures avec l'autre.
Tu prends le risque qu'il te griffe une nouvelle fois, néanmoins tu le fait quand même. Tu aimes les chats.
Des canines extrêmement fines et très blanches encadrent la langue rose lorsque l'animal ouvre la gueule, menaçant. Un brusque éclair et les yeux changent de position. La douleur lacère ton bras droit, qui n'était pas protégé. Des sillons rougeâtres parallèles apparaissent sur ta peau. Durant un court instant, tu te sens minuscule devant l'attaque, mais ensuite, tu t'obliges à regarder et à évaluer ; tu comprends que l'animal n'est pas très grand et qu'il ne peut te faire beaucoup de mal.
Parce que c'est un chat.
Ou il y ressemble.
Un félin noir, aux grandes moustaches, au poil long. Il est confortablement assis sur le fauteuil de commandement.
Tu lui a fait peur, et pourtant, c'est lui qui t'as [grammaire] le plus effrayé [narrateur ou narratrice ?].
Tu soupires et tu tentes de le caresser avec l'une de tes mains tout en palpant tes blessures avec l'autre.
Tu prends le risque qu'il te griffe une nouvelle fois, néanmoins [essayez de passer par « avoir beau » ; ça risque d'être plus naturel] tu le fait quand même. Tu aimes les chats.
Des canines extrêmement fines et très blanches encadrent la langue rose lorsque l'animal ouvre la gueule, menaçant. Un brusque éclair et les yeux changent de position. La douleur lacère ton bras droit, qui n'était pas protégé. Des sillons rougeâtres parallèles apparaissent sur ta peau. Durant un court instant, tu te sens minuscule devant l'attaque, mais ensuite, tu t'obliges à regarder et à évaluer ; tu comprends que l'animal n'est pas très grand et qu'il ne peut te faire beaucoup de mal.
Parce que c'est un chat.
Ou il y ressemble.
Un félin noir, aux grandes moustaches, au poil long. Il est confortablement assis sur le fauteuil de commandement.
Tu lui a fait peur, et pourtant, c'est lui qui t'a le plus effrayée.
Tu soupires et tu tentes de le caresser avec l'une de tes mains tout en palpant tes blessures avec l'autre.
Tu prends le risque qu'il te griffe une nouvelle fois, néanmoins [essayez de passer par « avoir beau » ; ça risque d'être plus naturel // je vois pas vraiment comment placer la construction "avoir beau" dans cette phrase...] tu le fait quand même. Tu aimes les chats.
Des canines extrêmement fines et très blanches encadrent la langue rose lorsque l'animal ouvre la gueule, menaçant. Un brusque éclair et les yeux changent de position. La douleur lacère ton bras droit, qui n'était pas protégé. Des sillons rougeâtres parallèles apparaissent sur ta peau. Durant un court instant, tu te sens minuscule devant l'attaque, mais ensuite, tu t'obliges à regarder et à évaluer ; tu comprends que l'animal n'est pas très grand et qu'il ne peut te faire beaucoup de mal.
Parce que c'est un chat.
Ou il y ressemble.
Un félin noir, aux grandes moustaches, au poil long. Il est confortablement assis sur le fauteuil de commandement.
Tu lui a fait peur, et pourtant, c'est lui qui t'a le plus effrayée.
Tu soupires et tu tentes de le caresser avec l'une de tes mains tout en palpant tes blessures avec l'autre.
Tu prends le risque qu'il te griffe une nouvelle fois, néanmoins [essayez de passer par « avoir beau » ; ça risque d'être plus naturel // je vois pas vraiment comment placer la construction "avoir beau" dans cette phrase... ///// Tu as beau prendre le risque…] tu le fait quand même. Tu aimes les chats.
Des canines extrêmement fines et très blanches encadrent la langue rose lorsque l'animal ouvre la gueule, menaçant. Un brusque éclair et les yeux changent de position. La douleur lacère ton bras droit, qui n'était pas protégé. Des sillons rougeâtres parallèles apparaissent sur ta peau. Durant un court instant, tu te sens minuscule devant l'attaque, mais ensuite, tu t'obliges à regarder et à évaluer ; tu comprends que l'animal n'est pas très grand et qu'il ne peut te faire beaucoup de mal.
Parce que c'est un chat.
Ou il y ressemble.
Un félin noir, aux grandes moustaches, au poil long. Il est confortablement assis sur le fauteuil de commandement.
Tu lui a fait peur, et pourtant, c'est lui qui t'a le plus effrayée.
Tu soupires et tu tentes de le caresser avec l'une de tes mains tout en palpant tes blessures avec l'autre.
Tu prends le risque qu'il te griffe une nouvelle fois, néanmoins [" Tu as beau prendre le risque qu'il te griffe une nouvelle fois, tu le fait quand même" j'ai l'impression que ça change tout le sens de la phrase ] tu le fait quand même. Tu aimes les chats.
Des canines extrêmement fines et très blanches encadrent la langue rose lorsque l'animal ouvre la gueule, menaçant. Un brusque éclair et les yeux changent de position. La douleur lacère ton bras droit, qui n'était pas protégé. Des sillons rougeâtres parallèles apparaissent sur ta peau. Durant un court instant, tu te sens minuscule devant l'attaque, mais ensuite, tu t'obliges à regarder et à évaluer ; tu comprends que l'animal n'est pas très grand et qu'il ne peut te faire beaucoup de mal.
Parce que c'est un chat.
Ou il y ressemble.
Un félin noir, aux grandes moustaches, au poil long. Il est confortablement assis sur le fauteuil de commandement.
Tu lui a fait peur, et pourtant, c'est lui qui t'a le plus effrayée.
Tu soupires et tu tentes de le caresser avec l'une de tes mains tout en palpant tes blessures avec l'autre.
Tu prends le risque qu'il te griffe une nouvelle fois, néanmoins tu le fait quand même. Tu aimes les chats.
OK.
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