Martín la guio hasta los rosales secos. Los perros dormían inquietos, gimiendo. Verónica quiso tocar el brazo de Martín pero no pudo. Como si su hermano estuviera hecho de humo. No le gustaba ese sueño, ahora. Estaba a punto de llorar. Los ojos de su hermano parecían cansados y reflejaban la luna. De noche, tenía los labios y las manos más azules que nunca.
—No vayas. No vayas. Engañoso es el corazón más que todas las cosas, y perverso; ¿quién puede conocerlo?
—¿Que no vaya adónde? Martín, mamá te extraña mucho.
Su hermano la miró con paciencia, con ternura.
—Recordá lo que acabo de decirte. Hay cosas peores que la muerte.
Traduction temporaire :
Martín la guida jusqu’aux rosiers desséchés. Inquiets, les chiens dormaient en gémissant. Verónica voulut lui toucher le bras, peine perdue. Comme si son frère était fait de fumée. Elle n’aimait pas ce rêve, aujourd'hui. Elle était à deux doigts de pleurer. Les yeux de son frère avaient l’air fatigués et reflétaient la lune. La nuit, ses lèvres et ses mains étaient plus bleues que jamais.
— Ne t'en va pas ! Ne t'en va va pas ! Le cœur est tortueux par-dessus tout et il est méchant : Qui peut le connaître ?
— Que je ne m'en aille pas où ? Martín, tu manques beaucoup à maman.
Son frère la contempla avec patience, avec tendresse.
— Souviens-toi de ce que je t’ai dit. Il y a des choses pires que la mort.
Martín la guida jusqu’aux rosiers desséchés. Inquiets, les chiens dormaient en gémissant. Verónica voulut lui toucher le bras, peine perdue. Comme si son frère était fait de fumée. Elle n’aimait pas ce rêve, aujourd'hui. Elle était à deux doigts de pleurer. Les yeux de son frère avaient l’air fatigués et reflétaient la lune. La nuit, ses lèvres et ses mains étaient plus bleues que jamais.
— Ne t'en va pas ! Ne t'en va va pas ! Le cœur est tortueux par-dessus tout et il est méchant : Qui peut le connaître ?
— Que je ne m'en aille pas où ? Martín, tu manques beaucoup à maman.
Son frère la contempla avec patience, avec tendresse.
— Souviens-toi de ce que je t’ai dit. Il y a des choses pires que la mort.
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Martín la guida jusqu’aux rosiers secs. Inquiets, les chiens dormaient en gémissant. Verónica voulut lui toucher le bras, peine perdue. Comme si son frère était fait de fumée. Elle n’aimait pas ce rêve. Elle était à deux doigts de pleurer. Les yeux de son frère avaient l’air fatigués et reflétaient la lune. La nuit, ses lèvres et ses mains étaient plus bleues que jamais.
— N’y va pas ! N’y va pas ! Le cœur est tortueux par-dessus tout et il est méchant : Qui peut le connaître ? [j'ai vérifié.]
— Que je n’aille pas où ? Martín, tu manques beaucoup à maman.
Son frère la contempla avec patience, avec tendresse.
— Souviens-toi de ce que je t’ai dit. Il y a des choses pires que la mort.
Martín la guida jusqu’aux rosiers secs [« desséchés » ?]. Inquiets, les chiens dormaient en gémissant. Verónica voulut lui toucher le bras, peine perdue. Comme si son frère était fait de fumée. Elle n’aimait pas ce rêve [et le « ahora » ?]. Elle était à deux doigts de pleurer. Les yeux de son frère avaient l’air fatigués et reflétaient la lune. La nuit, ses lèvres et ses mains étaient plus bleues que jamais.
— N’y va pas [ou « Ne t'en vas pas » ? Je te laisse réfléchir…] ! N’y va pas ! Le cœur est tortueux par-dessus tout et il est méchant : Qui peut le connaître ?
— Que je n’aille pas où ? Martín, tu manques beaucoup à maman.
Son frère la contempla avec patience, avec tendresse.
— Souviens-toi de ce que je t’ai dit. Il y a des choses pires que la mort.
Martín la guida jusqu’aux rosiers desséchés. Inquiets, les chiens dormaient en gémissant. Verónica voulut lui toucher le bras, peine perdue. Comme si son frère était fait de fumée. Elle n’aimait pas ce rêve, aujourd'hui. Elle était à deux doigts de pleurer. Les yeux de son frère avaient l’air fatigués et reflétaient la lune. La nuit, ses lèvres et ses mains étaient plus bleues que jamais.
— Ne t'en va pas ! Ne t'en va va pas ! Le cœur est tortueux par-dessus tout et il est méchant : Qui peut le connaître ?
— Que je ne m'en aille pas où ? Martín, tu manques beaucoup à maman.
Son frère la contempla avec patience, avec tendresse.
— Souviens-toi de ce que je t’ai dit. Il y a des choses pires que la mort.
Martín la guida jusqu’aux rosiers desséchés. Inquiets, les chiens dormaient en gémissant. Verónica voulut lui toucher le bras, peine perdue. Comme si son frère était fait de fumée. Elle n’aimait pas ce rêve, aujourd'hui. Elle était à deux doigts de pleurer. Les yeux de son frère avaient l’air fatigués et reflétaient la lune. La nuit, ses lèvres et ses mains étaient plus bleues que jamais.
— Ne t'en va pas ! Ne t'en va va pas ! Le cœur est tortueux par-dessus tout et il est méchant : Qui peut le connaître ?
— Que je ne m'en aille pas où ? Martín, tu manques beaucoup à maman.
Son frère la contempla avec patience, avec tendresse.
— Souviens-toi de ce que je t’ai dit. Il y a des choses pires que la mort.
OK.
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