No puedes creerlo. Te agachas y acercas la cabeza a la suya. Te sigue con la penetrante mirada. Aunque es absurdo, deberás intentarlo, y te aseguro que será pronto. Sólo unos segundos mirándole, perdiéndote en las estrías anaranjadas de sus iris de cárabe.
Finalmente, tal y como dije, le hablas.
—Hola.
Es la única tontería que se te ocurre. No eres ummana, sino canori, los únicos que se atreven a explorar alejándose de la seguridad de sus hogares en Umma. Y, como eres canori, no puedes compartir pensamientos con nadie, sólo hablar.
Te sientes extremadamente ridícula hablándole a un gato. Te alegras de estar sola. Por supuesto, te arrepentirás de eso más tarde.
(Hola, me llamo Nabucodonosor)
Crees haber escuchado antes el mismo pensamiento.
Ahora lo escuchas más claro.
Evidentemente, sabes que es el gato quién te habla.
(no hay espejos)
Traduction temporaire :
Tu n'arrives pas à y croire. Tu t'accroupis et tu approches la tête de la sienne. Il te suit d'un regard pénétrant. Bien que ce soit absurde, tu devras essayer, et je t'assure que ce sera bientôt. Tu le regardes seulement quelques secondes, te perdant dans les stries orangées de ses iris ambrés.
Finalement, tel que je le disais, tu lui parles.
— Bonjour.
C'est la seule bêtise qui te vient à l'esprit. Tu n'es pas une ummana, mais une canori, les seuls qui osent explorer en s'éloignant de la sécurité de leurs foyers, à Umma. Et, comme tu es une canori, tu ne peux partager tes pensées avec personne, seulement parler.
Tu te sens extrêmement ridicule de parler à un chat. Tu te réjouis d'être seule. Naturellement, tu le regretteras plus tard.
(Bonjour je m'appelle Nabuchodonosor)
Tu crois avoir entendu la même pensée auparavant.
Maintenant, tu la perçois plus clairement.
Évidemment, tu sais que c'est le chat qui te parle.
(il n'y a pas de miroir)
Tu n'arrives pas à y croire. Tu t'accroupis et tu approches la tête de la sienne. Il te suit d'un regard pénétrant. Bien que ce soit absurde, tu devras essayer, et je t'assure que ce sera bientôt. Tu le regardes seulement quelques secondes, te perdant dans les stries orangées de ses iris ambrés.
Finalement, tel que je le disais, tu lui parles.
— Bonjour.
C'est la seule bêtise qui te vient à l'esprit. Tu n'es pas une ummana, mais une canori, les seuls qui osent explorer en s'éloignant de la sécurité de leurs foyers, à Umma. Et, comme tu es une canori, tu ne peux partager tes pensées avec personne, seulement parler.
Tu te sens extrêmement ridicule de parler à un chat. Tu te réjouis d'être seule. Naturellement, tu le regretteras plus tard.
(Bonjour je m'appelle Nabuchodonosor)
Tu crois avoir entendu la même pensée auparavant.
Maintenant, tu la perçois plus clairement.
Évidemment, tu sais que c'est le chat qui te parle.
(il n'y a pas de miroir)
6 commentaires:
Tu n'arrives pas à y croire. Tu te baisses et tu approches la tête vers la sienne. Il te suit d'un regard pénétrant. Bien que c'est absurde, tu devrais essayer, et je t'assure que ce sera bientôt. Tu le regardes seulement quelques secondes, te perdant dans les stries orangées de ses iris ambrés.
Finalement, tel je le dis, tu lui parles.
— Bonjour.
C'est la seule bêtise qui te vient à l'esprit. Tu n'es pas une ummana, mais une canori, les seuls qui osent explorer en s'éloignant de la sécurité de leurs foyers d'Umma. Et, comme tu es une canori, tu ne peux partager tes pensées à personne, seulement parler.
Tu te sens extrêmement ridicule en parlant à un chat. Tu te réjouis d'être seule. Naturellement, tu regretteras ceci plus tard.
(Bonjour je m'appelle Nabuchodonosor)
Tu crois avoir perçu la même pensée auparavant.
Maintenant tu l'entends plus clairement.
Évidemment, tu sais que c'est le chat qui te parle.
(il n'y a pas de miroir)
Tu n'arrives pas à y croire. Tu te baisses [« accroupir » ? Vérifiez] et tu approches la tête vers [« de » ?] la sienne. Il te suit d'[« avec » ? J'hésite…]un regard pénétrant. Bien que c'est [grammaire : bien que + subj] absurde, tu devrais [temps ?] essayer, et je t'assure que ce sera bientôt. Tu le regardes seulement quelques secondes, te perdant dans les stries orangées de ses iris ambrés [vous avez vérifié ?].
Finalement, tel je le dis [?????], tu lui parles.
— Bonjour.
C'est la seule bêtise qui te vient à l'esprit. Tu n'es pas une ummana, mais une canori, les seuls qui osent explorer en s'éloignant de la sécurité de leurs foyers d'[ou : « , à Umma » ?]Umma. Et, comme tu es une canori, tu ne peux partager tes pensées à [?] personne, seulement [« juste » ? Comme vous voulez] parler.
Tu te sens extrêmement ridicule en parlant [« de parler »] à un chat. Tu te réjouis d'être seule. Naturellement, tu regretteras ceci [nécessaire ? De toute façon, grammaire : « cela » ou « le »] plus tard.
(Bonjour je m'appelle Nabuchodonosor)
Tu crois avoir perçu [littéral ?] la même pensée auparavant.
Maintenant [virgule] tu l'entends plus clairement.
Évidemment, tu sais que c'est le chat qui te parle.
(il n'y a pas de miroir)
Tu n'arrives pas à y croire. Tu t'accroupis et tu approches la tête de la sienne. Il te suit d'un regard pénétrant. Bien que ce soit absurde, tu devras essayer, et je t'assure que ce sera bientôt. Tu le regardes seulement quelques secondes, te perdant dans les stries orangées de ses iris ambrés [vous avez vérifié ? // oui, c'est un synonyme de "ámbar"].
Finalement, tel que je le dis, tu lui parles.
— Bonjour.
C'est la seule bêtise qui te vient à l'esprit. Tu n'es pas une ummana, mais une canori, les seuls qui osent explorer en s'éloignant de la sécurité de leurs foyers à Umma. Et, comme tu es une canori, tu ne peux partager tes pensées avec personne, seulement parler.
Tu te sens extrêmement ridicule de parler à un chat. Tu te réjouis d'être seule. Naturellement, tu le regretteras plus tard.
(Bonjour je m'appelle Nabuchodonosor)
Tu crois avoir perçu [littéral ? // mais si je fais du littéral, on aura deux fois de suite le verbe entendre, c'est pas gênant ?] la même pensée auparavant.
Maintenant, tu l'entends plus clairement.
Évidemment, tu sais que c'est le chat qui te parle.
(il n'y a pas de miroir)
Tu n'arrives pas à y croire. Tu t'accroupis et tu approches la tête de la sienne. Il te suit d'un regard pénétrant. Bien que ce soit absurde, tu devras essayer, et je t'assure que ce sera bientôt. Tu le regardes seulement quelques secondes, te perdant dans les stries orangées de ses iris ambrés.
Finalement, tel que je le dis [gros manque de naturel], tu lui parles.
— Bonjour.
C'est la seule bêtise qui te vient à l'esprit. Tu n'es pas une ummana, mais une canori, les seuls qui osent explorer en s'éloignant de la sécurité de leurs foyers, à Umma. Et, comme tu es une canori, tu ne peux partager tes pensées avec personne, seulement parler.
Tu te sens extrêmement ridicule de parler à un chat. Tu te réjouis d'être seule. Naturellement, tu le regretteras plus tard.
(Bonjour je m'appelle Nabuchodonosor)
Tu crois avoir perçu [littéral ? // mais si je fais du littéral, on aura deux fois de suite le verbe entendre, c'est pas gênant ? ///// il vaut mieux changer le suivant] la même pensée auparavant.
Maintenant, tu l'entends plus clairement.
Évidemment, tu sais que c'est le chat qui te parle.
(il n'y a pas de miroir)
Tu n'arrives pas à y croire. Tu t'accroupis et tu approches la tête de la sienne. Il te suit d'un regard pénétrant. Bien que ce soit absurde, tu devras essayer, et je t'assure que ce sera bientôt. Tu le regardes seulement quelques secondes, te perdant dans les stries orangées de ses iris ambrés.
Finalement, tel que je le disais, tu lui parles.
— Bonjour.
C'est la seule bêtise qui te vient à l'esprit. Tu n'es pas une ummana, mais une canori, les seuls qui osent explorer en s'éloignant de la sécurité de leurs foyers, à Umma. Et, comme tu es une canori, tu ne peux partager tes pensées avec personne, seulement parler.
Tu te sens extrêmement ridicule de parler à un chat. Tu te réjouis d'être seule. Naturellement, tu le regretteras plus tard.
(Bonjour je m'appelle Nabuchodonosor)
Tu crois avoir entendu la même pensée auparavant.
Maintenant, tu la perçois plus clairement.
Évidemment, tu sais que c'est le chat qui te parle.
(il n'y a pas de miroir)
Tu n'arrives pas à y croire. Tu t'accroupis et tu approches la tête de la sienne. Il te suit d'un regard pénétrant. Bien que ce soit absurde, tu devras essayer, et je t'assure que ce sera bientôt. Tu le regardes seulement quelques secondes, te perdant dans les stries orangées de ses iris ambrés.
Finalement, tel que je le disais, tu lui parles.
— Bonjour.
C'est la seule bêtise qui te vient à l'esprit. Tu n'es pas une ummana, mais une canori, les seuls qui osent explorer en s'éloignant de la sécurité de leurs foyers, à Umma. Et, comme tu es une canori, tu ne peux partager tes pensées avec personne, seulement parler.
Tu te sens extrêmement ridicule de parler à un chat. Tu te réjouis d'être seule. Naturellement, tu le regretteras plus tard.
(Bonjour je m'appelle Nabuchodonosor)
Tu crois avoir entendu la même pensée auparavant.
Maintenant, tu la perçois plus clairement.
Évidemment, tu sais que c'est le chat qui te parle.
(il n'y a pas de miroir)
OK.
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