Garrapatas ciegas, guiadas solo por el calor de noso bodi, la temperatura de nosa sangre, treinta y siete grados, el número mágico pa caer de los árboles mientras nos desplazábamos, caer sobre nosas cabezas e incrustarse ahí, en la piel del cráneo, o deslizarse a los oídos, a más duno le explotó un tímpano. Oigo el rumor de las zhizus en la celda, escucho la paciente construcción de sus redes, o quizás impaciente, el hilo fino que despliegan dun rincón a otro y del cual se cuelgan, morosas, dadas a picaduras que hinchan los dedos de mis manos, los flacos dedos de mis manos. La celda respira, se agiganta y den se reduce a un orificio nel que solo cabe mi bodi.
Traduction temporaire :
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions, atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans les oreilles – plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et d'où elles pendent, moroses, s'acharnant à piquer et faire gonfler les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions, atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans les oreilles – plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et d'où elles pendent, moroses, s'acharnant à piquer et faire gonfler les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
18 commentaires:
Des tiques aveugles,guidées uniquement par la chaleur de nos corps [Ou "bodis"? Pour rester plus près de la V.O. Il y a aussi des néologismes et d'autres anglicismes.], la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se jeter sur nous depuis les arbres durant nos déplacements, tomber sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser jusqu'aux oreilles, plus d'un à fini avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'ils tirent d'un coin à l'autre et duquel pendent, moroses, consacrées aux piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante et ensuite, se réduit à un orifice où ne rentre que mon corps.
Des tiques aveugles,[espace]guidées uniquement [ou placé avant ? J'hésite… Essaie les deux et vois ce qui est mieux…] par la chaleur de nos corps [Ou "bodis"? Pour rester plus près de la V.O. Il y a aussi des néologismes et d'autres anglicismes. //// « bodis », oui], la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se jeter [« laisser tomber »] sur nous depuis les arbres durant nos déplacements [revoir la syntaxe],
tomber sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser jusqu'aux oreilles, plus d'un à fini avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'ils tirent d'un coin à l'autre et duquel pendent, moroses, consacrées aux piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante et ensuite, se réduit à un orifice où ne rentre que mon corps.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber sur nous, durant nos déplacements, depuis les arbres,
atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser jusqu'aux oreilles, plus d'un à fini avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'ils tirent d'un coin à l'autre et duquel pendent, moroses, consacrées aux piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante et ensuite, se réduit à un orifice où ne rentre que mon corps.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber sur nous, durant nos déplacements [pas très naturel], depuis les arbres [je me demande si tu ne devrais pas le mettre au début],
atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser jusqu'aux oreilles, plus d'un à fini avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'ils tirent d'un coin à l'autre et duquel pendent, moroses, consacrées aux piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante et ensuite, se réduit à un orifice où ne rentre que mon corps.
Des tiques aveugles dans les arbres, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber sur nous, durant nos expéditions,
Ou :
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous, durant nos expéditions,
atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser jusqu'aux oreilles, plus d'un à fini avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles étendent d'un coin à l'autre et duquel elles pendent, moroses, consacrées aux piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante et ensuite, se réduit à un orifice où ne rentre que mon bodi.
Non, pas où – pas le temps de lire des alternatives. Tu choisis…
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous, durant nos expéditions,
atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser jusqu'aux oreilles, plus d'un à fini avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles étendent d'un coin à l'autre et duquel elles pendent, moroses, consacrées aux piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante et ensuite, se réduit à un orifice où ne rentre que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions [ce sont des vraies expéditions ou c'est juste qu'ils passent par là ? Je ne me souviens plus du tout…],
e incrustarse ahí, en la piel del cráneo, o deslizarse a los oídos, a más duno le explotó un tímpano.
atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser jusqu'[?]aux oreilles, plus d'un à fini [avec « s'est retrouvé »] avec le tympan éclaté [« explosé » ? Vérifie].
Oigo el rumor de las zhizus en la celda, escucho la paciente construcción de sus redes, o quizás impaciente, el hilo fino que despliegan dun rincón a otro y del cual se cuelgan, morosas, dadas a picaduras que hinchan los dedos de mis manos, los flacos dedos de mis manos.
J'entends la rumeur [j'hésite…] des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles é[?]tendent d'un coin à l'autre et duquel [non] elles pendent, moroses, consacrées [non] aux piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains.
La celda respira, se agiganta y den se reduce a un orificio nel que solo cabe mi bodi.
La cellule respire, devient géante et ensuite [« puis »], se réduit à un orifice où ne rentre [« tient » ?] que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions [ce sont des vraies expéditions ou c'est juste qu'ils passent par là ? Je ne me souviens plus du tout… // Ils sont en guerre, ce sont des vraies expéditions.], atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans oreilles, plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur [j'hésite… : CNRTL : Bruit sourd, confus ou lointain d'origine naturelle ou produit par des objets ou des mécanismes.] des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et où elles pendent, moroses, adonnées aux piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions, atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans oreilles [?????], plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté [on le met dans une courte parenthèse ?]. J'entends la rumeur [j'hésite… : CNRTL : Bruit sourd [OK], confus ou lointain d'origine naturelle ou produit par des objets ou des mécanismes.] des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et [« d' »]où elles pendent, moroses, adonnées aux [non… périphrase nécessaire] piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions, atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans les oreilles, plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et d'où elles pendent, moroses, s'adonnant aux piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions, atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans les oreilles – plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et d'où elles pendent, moroses, s'adonnant aux [c'est vraiment pas génial avec s'adonner] piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions, atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans les oreilles – plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et d'où elles pendent, moroses, pour se dédier aux piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions, atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans les oreilles – plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et d'où elles pendent, moroses, pour se dédier [ça ne va pas non plus… mais là, je suis dans les choux et je n'ai pas d'idée – vois avec une périphrase] aux piqûres qui gonflent les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions, atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans les oreilles – plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et d'où elles pendent, moroses, en s'acharnant à piquer et faire gonfler les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions, atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans les oreilles – plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et d'où elles pendent, moroses, en [supprime] s'acharnant à piquer et faire gonfler les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions, atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans les oreilles – plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et d'où elles pendent, moroses, s'acharnant à piquer et faire gonfler les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
Des tiques aveugles, uniquement guidées par la chaleur de nos « bodis », la température de notre sang, trente-sept degrés, le nombre magique pour se laisser tomber des arbres sur nous durant nos expéditions, atterrir sur nos têtes et s'y incruster, sous la peau du crâne, ou se glisser dans les oreilles – plus d'un s'est retrouvé avec le tympan éclaté. J'entends la rumeur des zhizus dans ma cellule, le patient tissage de leurs toiles, ou peut-être impatient, le mince fil qu'elles tendent d'un coin à l'autre et d'où elles pendent, moroses, s'acharnant à piquer et faire gonfler les doigts de mes mains, les maigres doigts de mes mains. La cellule respire, devient géante, puis se réduit à un orifice où ne tient que mon bodi.
OK.
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