—Quiero ver a Estela —le dijimos a nuestro padre sin entender de qué estaba hablando—. Déjame despedirme.
—No hay tiempo para eso, Luis Javier. Y ya te dije, no te preocupes más por eso —respondió mientras recogía apresuradamente nuestras pertenencias. Su novia esperaba en la puerta de la habitación.
—No puedes hacerme esto. Déjame despedirme, por lo menos —insistimos.
—Déjate de tonterías. Te prometo que apenas salgan a la venta te compraré una. Pero ahora necesito que nos vayamos de inmediato.
—¿Que me comprarás qué? ¿De qué estás hablando? —le preguntamos, desconcertados por tan absurdo comentario.
Traduction temporaire :
— Je veux voir Estela, suppliai-je mon père sans comprendre de quoi il parlait. Laisse-moi lui dire au revoir.
— On n'a pas le temps, Luis Javier. Je t'ai déjà expliqué, ne t'en fais pas pour ça, répondit-il en ramassant mes affaires à la hâte. Sa fiancée attendait à la porte.
— Tu peux pas me faire ça, laisse-moi au moins lui dire au revoir, insistâmes-nous.
— Cesse tes enfantillages ! Je te promets que dès qu'elles seront en vente, je t'en achèterai une. Pour l'heure, il faut qu'on parte immédiatement.
Déconcerté par un commentaire aussi absurde, je lui demandai :
— Tu m'achèteras quoi ? Qu'est-ce que tu racontes ?
— Je veux voir Estela, suppliai-je mon père sans comprendre de quoi il parlait. Laisse-moi lui dire au revoir.
— On n'a pas le temps, Luis Javier. Je t'ai déjà expliqué, ne t'en fais pas pour ça, répondit-il en ramassant mes affaires à la hâte. Sa fiancée attendait à la porte.
— Tu peux pas me faire ça, laisse-moi au moins lui dire au revoir, insistâmes-nous.
— Cesse tes enfantillages ! Je te promets que dès qu'elles seront en vente, je t'en achèterai une. Pour l'heure, il faut qu'on parte immédiatement.
Déconcerté par un commentaire aussi absurde, je lui demandai :
— Tu m'achèteras quoi ? Qu'est-ce que tu racontes ?
4 commentaires:
— Je veux voir Estela, dis-je à mon père sans comprendre de quoi il parlait. Laisse-moi lui dire au revoir.
— On n'a pas le temps, Luis Javier. Je t'ai déjà expliqué, ne t'en fais pas pour ça, répondit-il en ramassant mes affaires à la hâte. Sa fiancée attendait à la porte.
— Tu peux pas me faire ça, laisse-moi au moins lui dire au revoir, insistai-je.
— Arrête tes enfantillages ! Je te promets que dès qu'elles seront en vente, je t'en achèterai une. Mais pour l'heure, il faut qu'on parte immédiatement.
— Tu m'achèteras quoi ? Qu'est-ce que tu racontes ? lui demandai-je, déconcerté par un commentaire aussi absurde.
— Je veux voir Estela, dis[un verbe plus intéressant ? D'autant que tu le mets déjà juste après]-je à mon père sans comprendre de quoi il parlait. Laisse-moi lui dire au revoir.
— On n'a pas le temps, Luis Javier. Je t'ai déjà expliqué, ne t'en fais pas pour ça, répondit-il en ramassant mes affaires à la hâte. Sa fiancée attendait à la porte.
— Tu peux pas me faire ça, laisse-moi au moins lui dire au revoir, insistai[« je » ?]-je.
— Arrête [« Cesse » ?] tes enfantillages ! Je te promets que dès qu'elles seront en vente, je t'en achèterai une. Mais [nécessaire ?] pour l'heure, il faut qu'on parte immédiatement.
— Tu m'achèteras quoi ? Qu'est-ce que tu racontes ? lui demandai-je, déconcerté par un commentaire aussi absurde [syntaxe ?].
— Je veux voir Estela, suppliai-je mon père sans comprendre de quoi il parlait. Laisse-moi lui dire au revoir.
— On n'a pas le temps, Luis Javier. Je t'ai déjà expliqué, ne t'en fais pas pour ça, répondit-il en ramassant mes affaires à la hâte. Sa fiancée attendait à la porte.
— Tu peux pas me faire ça, laisse-moi au moins lui dire au revoir, insistâmes-nous.
— Cesse tes enfantillages ! Je te promets que dès qu'elles seront en vente, je t'en achèterai une. Pour l'heure, il faut qu'on parte immédiatement.
Déconcerté par un commentaire aussi absurde, je lui demandai :
— Tu m'achèteras quoi ? Qu'est-ce que tu racontes ?
— Je veux voir Estela, suppliai-je mon père sans comprendre de quoi il parlait. Laisse-moi lui dire au revoir.
— On n'a pas le temps, Luis Javier. Je t'ai déjà expliqué, ne t'en fais pas pour ça, répondit-il en ramassant mes affaires à la hâte. Sa fiancée attendait à la porte.
— Tu peux pas me faire ça, laisse-moi au moins lui dire au revoir, insistâmes-nous.
— Cesse tes enfantillages ! Je te promets que dès qu'elles seront en vente, je t'en achèterai une. Pour l'heure, il faut qu'on parte immédiatement.
Déconcerté par un commentaire aussi absurde, je lui demandai :
— Tu m'achèteras quoi ? Qu'est-ce que tu racontes ?
OK.
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