Princesa
Para que ella sea reina es necesario un solo acontecimiento: que se muera la reina. La viuda de su padre, el rey. Su joven madrastra. Y hermosa, indolente. Estúpida.
—Esta clase de reina vive largo tiempo si se lo permiten —razona ella. Ella que está apurada porque su vientre ya abulta-—. Será cuestión de conseguir algún marido inocentón que se haga cargo de este hijo. Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando.
Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo.
La acusa ante el pueblo.
—Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre.
Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya. Son siete hermanos. Varones. Propietarios de una mina de diamantes. Si el protocolo lo permitiera eligiría marido entre ellos. Son algo rudos, de baja estatura, pero el brillo increíble de esas piedras disimula cualquier defecto ante sus ojos.
Allí, atendida según corresponde a su rango y condición, espera un par de semanas.
Viendo que nada sucede decide ahondar su propia fábula. Convoca a los jefes del ejército, los más leales.
—Mi madrastra, valiéndose de sus malas artes, ha intentado envenenarme —confiesa entre lágrimas.
La noche de ese mismo día, alguien —nunca se sabrá quien— asesina a la reina.
—La gente simple pensará que se la llevó el diablo —tal vez siga siendo su difunto padre el que habla.
Bajo una nevada memorable, pálida de frío, la princesa vuelve a palacio lista para ser ungida con la corona real. Para honrarla los juglares componen baladas en su honor. Cantan y celebran su vida.
El primer acto de gobierno consiste en dirigirse a la alcoba de la muerta y tomar de allí un espejo que siempre codició.
Traduction temporaire :
La princesse
Pour qu'elle devienne reine, un seul événement suffit : la mort de la souveraine. La veuve de son père, le roi. Sa jeune marâtre. Et belle, indolente. Stupide.
— Si on les laisse faire, ce genre de reine vit très longtemps, raisonne-t-elle. Comme son ventre est déjà rond, elle est pressée. Elle devra trouver un mari naïf qui prenne cet enfant à charge.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, elle sait que pour garder cet argent, elle doit retourner les malheurs de cette période à son avantage. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle profère de telles accusations devant le peuple.
— Pas question d'en appeler à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant son pouvoir terrestre.
Elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne composée de sept enfants. Que des garçons. Propriétaires d'une mine de diamants. Si le protocole l'autorisait, elle choisirait l'un d'entre eux pour mari. Ils ont beau être un peu rustres et de petite taille, pour elle, l'incroyable éclat de ces pierres cache le moindre défaut.
Là, servie comme son rang et sa condition l'exigent, elle attend environ deux semaines. Puis, voyant que rien ne se passe, elle décide de nourrir son propre mensonge. Elle convoque les chefs militaires les plus loyaux.
— Ma marâtre a tenté de m'empoisonner en utilisant ses pouvoirs à mauvais escient, déclare-t-elle entre deux sanglots.
Cette-nuit-là, quelqu'un – on ne saura jamais qui – assassine la reine.
— Les gens du peuple penseront que le Diable l'a emportée. C'est peut-être la voix de son père mort que l'on entend s'exprimer ainsi. Sous une chute de neige mémorable, pâle à cause du froid, la princesse rentre au palais, prête à être intronisée et à recevoir la couronne royale.
En son honneur, les troubadours composent des balades à sa gloire. Ils chantent et célèbrent sa vie. La première action de son règne est de se diriger vers la chambre de la défunte et s'emparer du miroir qu'elle avait toujours convoité.
Traduction temporaire :
La princesse
Pour qu'elle devienne reine, un seul événement suffit : la mort de la souveraine. La veuve de son père, le roi. Sa jeune marâtre. Et belle, indolente. Stupide.
— Si on les laisse faire, ce genre de reine vit très longtemps, raisonne-t-elle. Comme son ventre est déjà rond, elle est pressée. Elle devra trouver un mari naïf qui prenne cet enfant à charge.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, elle sait que pour garder cet argent, elle doit retourner les malheurs de cette période à son avantage. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle profère de telles accusations devant le peuple.
— Pas question d'en appeler à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant son pouvoir terrestre.
Elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne composée de sept enfants. Que des garçons. Propriétaires d'une mine de diamants. Si le protocole l'autorisait, elle choisirait l'un d'entre eux pour mari. Ils ont beau être un peu rustres et de petite taille, pour elle, l'incroyable éclat de ces pierres cache le moindre défaut.
Là, servie comme son rang et sa condition l'exigent, elle attend environ deux semaines. Puis, voyant que rien ne se passe, elle décide de nourrir son propre mensonge. Elle convoque les chefs militaires les plus loyaux.
— Ma marâtre a tenté de m'empoisonner en utilisant ses pouvoirs à mauvais escient, déclare-t-elle entre deux sanglots.
Cette-nuit-là, quelqu'un – on ne saura jamais qui – assassine la reine.
— Les gens du peuple penseront que le Diable l'a emportée. C'est peut-être la voix de son père mort que l'on entend s'exprimer ainsi. Sous une chute de neige mémorable, pâle à cause du froid, la princesse rentre au palais, prête à être intronisée et à recevoir la couronne royale.
En son honneur, les troubadours composent des balades à sa gloire. Ils chantent et célèbrent sa vie. La première action de son règne est de se diriger vers la chambre de la défunte et s'emparer du miroir qu'elle avait toujours convoité.
68 commentaires:
Je vous mets le texte complet, mais vous ferez quand même phrase après phrase.
Princesa
Para que ella sea reina es necesario un solo acontecimiento: que se muera la reina. La viuda de su padre, el rey. Su joven madrastra. Y hermosa, indolente. Estúpida.
La princesse
Pour qu'elle devienne reine, un seul événement suffira : la mort de l'actuelle souveraine. La veuve de son père, le roi. Sa belle-mère jeune. Et belle, indolente. Stupide.
Princesa
Para que ella sea reina es necesario un solo acontecimiento: que se muera la reina. La viuda de su padre, el rey. Su joven madrastra. Y hermosa, indolente. Estúpida.
Princesse
Pour qu'elle devienne reine, il faudrait qu'un seul événement ait lieu : le décès de la reine. La veuve de son père, le roi. Sa jeune marâtre. Belle, indolente. Bête.
Je prends la première trad.
Princesa
Para que ella sea reina es necesario un solo acontecimiento: que se muera la reina. La viuda de su padre, el rey. Su joven madrastra. Y hermosa, indolente. Estúpida.
La princesse
Pour qu'elle devienne reine, un seul événement suffira [temps ?] : la mort de l'actuelle [ajout nécessaire ?] souveraine. La veuve de son père, le roi. Sa belle-mère jeune [syntaxe]. Et belle, indolente. Stupide.
Princesa
Para que ella sea reina es necesario un solo acontecimiento: que se muera la reina. La viuda de su padre, el rey. Su joven madrastra. Y hermosa, indolente. Estúpida.
La princesse
Pour qu'elle devienne reine, un seul événement suffirait : la mort de la souveraine. La veuve de son père, le roi. Sa jeune marâtre. Et belle, indolente. Stupide.
Princesa
Para que ella sea reina es necesario un solo acontecimiento: que se muera la reina. La viuda de su padre, el rey. Su joven madrastra. Y hermosa, indolente. Estúpida.
La princesse
Pour qu'elle devienne reine, un seul événement suffit : la mort de la souveraine. La veuve de son père, le roi. Sa jeune marâtre. Et belle, indolente. Stupide.
Princesa
Para que ella sea reina es necesario un solo acontecimiento: que se muera la reina. La viuda de su padre, el rey. Su joven madrastra. Y hermosa, indolente. Estúpida.
La princesse
Pour qu'elle devienne reine, un seul événement suffit : la mort de la souveraine. La veuve de son père, le roi. Sa jeune marâtre. Et belle, indolente. Stupide.
OK.
Elena ?
Justine, attends qu'Elena donne son avis pour mettre la suite… sinon, on va se perdre…
Je colle et vous pouvez m'ajouter la phrase suivante.
—Esta clase de reina vive largo tiempo si se lo permiten —razona ella. Ella que está apurada porque su vientre ya abulta-—. Será cuestión de conseguir algún marido inocentón que se haga cargo de este hijo.
— Si vous permettez, ce genre de reine vit longtemps, raisonne-t-elle. Elle qui est pressée, parce que son ventre est déjà rond. Il sera question de trouver un mari naïf, qui accepte de prendre cet enfant à sa charge.
—Esta clase de reina vive largo tiempo si se lo permiten —razona ella. Ella que está apurada porque su vientre ya abulta-—. Será cuestión de conseguir algún marido inocentón que se haga cargo de este hijo.
— Si vous permettez [CS ? Elena ?], ce genre de reine vit longtemps, raisonne-t-elle. Elle qui est pressée, parce que son ventre est déjà rond. Il sera question de [très mal dit] trouver un mari naïf, [la virgule ?] qui accepte de prendre cet enfant à sa charge.
— Si on les laisse, ce genre de reine vit très longtemps, raisonne-t-elle. Elle qui est pressée, parce que son ventre est déjà rond. Il faudra trouver un mari naïf qui prenne cet enfant à charge.
— Si on les laisse [est-ce assez clair ?], ce genre de reine vit très longtemps, raisonne-t-elle. Elle qui est pressée [idem ?], parce que son ventre est déjà rond. Il faudra trouver [clair sur qui doit trouver ? Elle devra trouver / il faudra lui trouver ?] un mari naïf qui prenne cet enfant à charge.
— Si on les laisse faire, ce genre de reine vit très longtemps, raisonne-t-elle. Comme son ventre est déjà rond, elle est pressée. Elle devra trouver un mari naïf qui prenne cet enfant à charge.
— Si on leur laisse le champ libre, ce genre de reine vit très longtemps, raisonne-t-elle. Elle qui se hâte, parce que son ventre est déjà rond. Il lui faudra trouver un mari naïf qui prenne cet enfant à charge.
— Si on les laisse faire, ce genre de reine vit très longtemps, raisonne-t-elle. Comme son ventre est déjà rond, elle est pressée. Elle devra trouver un mari naïf qui prenne cet enfant à charge.
OK.
Justine ?
— Si on les laisse faire, ce genre de reine vit très longtemps, raisonne-t-elle. Comme son ventre est déjà rond, elle est pressée. Elle devra trouver un mari naïf qui prenne cet enfant à charge.
OK.
J'enregistre et vous pouvez mettre la suite.
Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando. Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
Mais plus tard. D'abord, le trône — continue-t-elle. À l'instar de tous ceux nés avec une cuillère d'or, elle sait que cet or se garde en tournant les maux de cette période en sa faveur. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle l'accuse devant le peuple.
— Pas question de faire appel à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant du pouvoir sur terre —, elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entretemps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
Faites des sections plus courtes, la prochaine fois.
Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando. Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
Mais plus tard. D'abord, le trône — [virgule] continue-t-elle. À l'instar de tous ceux nés avec une cuillère d'or [on ne le dit pas de cette manière] [« dans la bouche »], elle sait que cet or se garde [mal dit…]
Reprenez déjà ça…
en tournant les maux de cette période en sa faveur. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle l'accuse devant le peuple.
— Pas question de faire appel à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant du pouvoir sur terre —, elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entretemps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando. Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux nés avec une cuillère d'argent dans la bouche, elle sait que cet argent se conserve
en tournant les maux de cette période en sa faveur. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle l'accuse devant le peuple.
— Pas question de faire appel à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant du pouvoir sur terre —, elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entretemps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando. Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux nés avec une cuillère d'[je crois qu'on dit « petite… en… » ; vérifiez]argent dans la bouche, elle sait que cet argent se conserve [pas très fluide]
Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
en tournant [« retourner » ? Vérifiez] les maux de cette période en sa faveur.
Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle l'accuse devant le peuple.
— Pas question de faire appel à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant du pouvoir sur terre —, elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entretemps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando. Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, elle sait que pour garder cet argent, elle doit tourner les malheurs de cette période à son avantage. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle l'accuse devant le peuple.
— Pas question de faire appel à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant le pouvoir sur terre —, elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
Justine, je crois que nos commentaires se sont croisés.
Exact, désolée… Je reprends :
Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando. Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, elle sait que pour garder cet argent, elle doit retourner les malheurs de cette période à son avantage. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle l'accuse devant le peuple.
— Pas question de faire appel à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant le pouvoir sur terre —, elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
Ah bah non, ma pauvre… pas de ta faute ;-)
Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando. Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, elle sait que pour garder cet argent, elle doit retourner les malheurs de cette période à son avantage. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle l'accuse [« Elle profère de telles accusations » ?] devant le peuple.
— Pas question de faire appel [« d'en appeler » ?] à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant le pouvoir sur terre [adjectif ?] —, [point ; à la ligne ?] elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando. Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, elle sait que pour garder cet argent, elle doit retourner les malheurs de cette période à son avantage. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle profère de telles accusations devant le peuple.
— Pas question d'en appeler à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant le pouvoir terrestre.
Elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando. Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, elle sait que pour garder cet argent, elle doit retourner les malheurs de cette période à son avantage. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle profère de telles accusations devant le peuple.
— Pas question d'en appeler à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant le [possessif ?] pouvoir terrestre.
Elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando. Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, elle sait que pour garder cet argent, elle doit retourner les malheurs de cette période à son avantage. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle profère de telles accusations devant le peuple.
— Pas question d'en appeler l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant de son pouvoir terrestre.
Elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
Pero después. Lo primero es el trono —continúa razonando. Como todos los paridos en cuna de oro, ella sabe que ese oro se conserva aprovechando los males de la época en beneficio propio. Acusa a la reina de brujería y abandona el castillo. La acusa ante el pueblo. —Nada de traer a la Inquisición. Los obispos le restituyen el poder divino a Dios tomando el terrenal para ellos mismos —le parece estar oyendo la voz de su padre. Mientras tanto se refugia en la finca de una familia plebeya.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, elle sait que pour garder cet argent, elle doit retourner les malheurs de cette période à son avantage. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle profère de telles accusations devant le peuple.
— Pas question d'en appeler l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant de son pouvoir terrestre.
Elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
OK.
Justine ?
Vous pourrez ajouter la suite.
Mais plus tard. D'abord, le trône, continue-t-elle. À l'instar de tous ceux qui sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, elle sait que pour garder cet argent, elle doit retourner les malheurs de cette période à son avantage. Elle accuse la reine de sorcellerie et quitte le château. Elle profère de telles accusations devant le peuple.
— Pas question d'en appeler à l'Inquisition. Les Évêques rendent son pouvoir divin à Dieu en s'appropriant son pouvoir terrestre.
Elle a l'impression d'entendre la voix de son père. Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne.
OK.
Son siete hermanos. Varones. Propietarios de una mina de diamantes. Si el protocolo lo permitiera eligiría marido entre ellos. Son algo rudos, de baja estatura, pero el brillo increíble de esas piedras disimula cualquier defecto ante sus ojos.
Je reprends la dernière phrase pour ajouter la suite
Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne, composée de sept frères. Que des garçons. Les propriétaires d'une mine de diamants. Si le protocole l'autorisait, elle choisirait l'un d'entre eux pour mari. Ils sont un peu rustres, de petite taille, mais à ses yeux, l'incroyable éclat de ces pierres cache le moindre défaut.
Son siete hermanos. Varones. Propietarios de una mina de diamantes. Si el protocolo lo permitiera eligiría marido entre ellos. Son algo rudos, de baja estatura, pero el brillo increíble de esas piedras disimula cualquier defecto ante sus ojos.
Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne, [la virgule ?] composée de sept frères. Que des garçons [si tu as dit « frères » avant, c'est évident / il faut trouver une autre solution]. Les [nécessaire ?] propriétaires d'une mine de diamants. Si le protocole l'autorisait, elle choisirait l'un d'entre eux pour mari. Ils sont [ou en pessant par « avoir beau » ? Je vous laisse réfléchir] un peu rustres, de petite taille, mais à ses yeux, l'incroyable éclat de ces pierres cache le moindre défaut.
Son siete hermanos. Varones. Propietarios de una mina de diamantes. Si el protocolo lo permitiera eligiría marido entre ellos. Son algo rudos, de baja estatura, pero el brillo increíble de esas piedras disimula cualquier defecto ante sus ojos.
Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne composée de sept enfants. Que des garçons. Propriétaires d'une mine de diamants. Si le protocole l'autorisait, elle choisirait l'un d'entre eux pour mari. Ils ont beau être un peu rustres, de petite taille, à ses yeux, l'incroyable éclat de ces pierres cache le moindre défaut.
Son siete hermanos. Varones. Propietarios de una mina de diamantes. Si el protocolo lo permitiera eligiría marido entre ellos. Son algo rudos, de baja estatura, pero el brillo increíble de esas piedras disimula cualquier defecto ante sus ojos.
Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne composée de sept enfants. Que des garçons. Propriétaires d'une mine de diamants. Si le protocole l'autorisait, elle choisirait l'un d'entre eux pour mari. Ils ont beau être un peu rustres et de petite taille, à ses yeux [« pour elle » ; je me demande si ce ne serait pas plus clair…], l'incroyable éclat de ces pierres cache le moindre défaut.
Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne composée de sept enfants. Que des garçons. Propriétaires d'une mine de diamants. Si le protocole l'autorisait, elle choisirait l'un d'entre eux pour mari. Ils ont beau être un peu rustres et de petite taille, pour elle, l'incroyable éclat de ces pierres cache le moindre défaut.
Entre-temps, elle se réfugie chez une famille plébéienne composée de sept enfants. Que des garçons. Propriétaires d'une mine de diamants. Si le protocole l'autorisait, elle choisirait l'un d'entre eux pour mari. Ils ont beau être un peu rustres et de petite taille, pour elle, l'incroyable éclat de ces pierres cache le moindre défaut.
OK.
Elena ?
Justine, tu peux ajouter la suite.
OK.
Allí, atendida según corresponde a su rango y condición, espera un par de semanas. Viendo que nada sucede decide ahondar su propia fábula. Convoca a los jefes del ejército, los más leales.
Avec une patience digne de son rang et de sa condition, elle attend quelques semaines. Puis, voyant que rien ne se se passe, elle décide de tisser son propre mensonge. Elle convoque les chefs militaires les plus loyaux.
Avec une patience digne de son rang et de sa condition, elle attend quelques [ou « deux » ici ? Elena, t'en penses quoi ?] semaines. Puis, voyant que rien ne se se passe, elle décide de tisser [texte ? J'hésite…] son propre mensonge. Elle convoque les chefs militaires les plus loyaux.
Avec une patience digne de son rang et de sa condition[CS = "atendida según corresponde" = "Sur place, on s'occupe d'elle à la hauteur de son rang et de sa condition", ou quelque chose de la sorte ;-)], elle attend quelques [ou « deux » ici ? Elena, t'en penses quoi ? // OK. Ou "environ deux"] semaines. Puis, voyant que rien ne se se passe, elle décide de tisser [texte ? J'hésite… "étoffer" / "enjoliver" ? Dans le sens de "accroître, enrichir, développer"...] son propre mensonge. Elle convoque les chefs militaires les plus loyaux.
Avec une patience digne de son rang et de sa condition[CS = "atendida según corresponde" = "Sur place, on s'occupe d'elle à la hauteur de son rang et de sa condition", ou quelque chose de la sorte ;-) ///// Bon, alors faites-moi le ménage…], elle attend quelques [ou « deux » ici ? Elena, t'en penses quoi ? // OK. Ou "environ deux"/ OK] semaines. Puis, voyant que rien ne se se passe, elle décide de tisser [texte ? J'hésite… "étoffer" / "enjoliver" ? Dans le sens de "accroître, enrichir, développer"... //// je vous laisse trouver une solution] son propre mensonge. Elle convoque les chefs militaires les plus loyaux.
Sur place, elle est servie comme son rang et sa condition l'exigent, elle attend environ deux semaines. Puis, voyant que rien ne se se passe, elle décide d'étoffer son propre mensonge. Elle convoque les chefs militaires les plus loyaux.
Allí, atendida según corresponde a su rango y condición, espera un par de semanas. Viendo que nada sucede decide ahondar su propia fábula. Convoca a los jefes del ejército, los más leales.
Sur place [bof], elle est [supprime] servie comme son rang et sa condition l'exigent, elle attend environ deux semaines. Puis, voyant que rien ne se se [doublon] passe, elle décide d'étoffer [bof] son propre mensonge. Elle convoque les chefs militaires les plus loyaux.
Allí, atendida según corresponde a su rango y condición, espera un par de semanas. Viendo que nada sucede decide ahondar su propia fábula. Convoca a los jefes del ejército, los más leales.
Là, servie comme son rang et sa condition l'exigent, elle attend environ deux semaines. Puis, voyant que rien ne se passe, elle décide de nourrir son propre mensonge. Elle convoque les chefs militaires les plus loyaux.
Allí, atendida según corresponde a su rango y condición, espera un par de semanas. Viendo que nada sucede decide ahondar su propia fábula. Convoca a los jefes del ejército, los más leales.
Là, servie comme son rang et sa condition l'exigent, elle attend environ deux semaines. Puis, voyant que rien ne se passe, elle décide de nourrir son propre mensonge. Elle convoque les chefs militaires les plus loyaux.
OK.
Justine ?
Elena, en attendant, tu peux ajouter la suite.
—Mi madrastra, valiéndose de sus malas artes, ha intentado envenenarme —confiesa entre lágrimas. La noche de ese mismo día, alguien —nunca se sabrá quien— asesina a la reina.
— Ma marâtre a essayé de m'empoisonner en utilisant ses pouvoirs à mauvais escient, déclare-t-elle entre larmes. La nuit de ce jour-même, quelqu'un — on ne saura jamais qui — a assassiné la reine.
—Mi madrastra, valiéndose de sus malas artes, ha intentado envenenarme —confiesa entre lágrimas. La noche de ese mismo día, alguien —nunca se sabrá quien— asesina a la reina.
— Ma marâtre a essayé de m'empoisonner en utilisant ses pouvoirs à mauvais escient, déclare-t-elle entre larmes [mal dit]. La nuit de ce jour-même [très mal dit], quelqu'un — [les tirets moyens] on ne saura jamais qui — a assassiné [pour la voix du narrateur, on était au passé composé ?] la reine.
Là, servie comme son rang et sa condition l'exigent, elle attend environ deux semaines. Puis, voyant que rien ne se passe, elle décide de nourrir son propre mensonge. Elle convoque les chefs militaires les plus loyaux.
OK.
—Mi madrastra, valiéndose de sus malas artes, ha intentado envenenarme —confiesa entre lágrimas. La noche de ese mismo día, alguien —nunca se sabrá quien— asesina a la reina.
— Ma marâtre a tenté de m'empoisonner en utilisant ses pouvoirs à mauvais escient, déclare-t-elle entre deux sanglots. Cette-nuit-là, quelqu'un – on ne saura jamais qui – assassine la reine.
—Mi madrastra, valiéndose de sus malas artes, ha intentado envenenarme —confiesa entre lágrimas. La noche de ese mismo día, alguien —nunca se sabrá quien— asesina a la reina.
— Ma marâtre a tenté de m'empoisonner en utilisant ses pouvoirs à mauvais escient, déclare-t-elle entre deux sanglots.
Cette-nuit-là, quelqu'un – on ne saura jamais qui – assassine la reine.
OK.
Elena ?
Vous pouvez ajouter la suite.
—La gente simple pensará que se la llevó el diablo —tal vez siga siendo su difunto padre el que habla. Bajo una nevada memorable, pálida de frío, la princesa vuelve a palacio lista para ser ungida con la corona real.
— Les gens du peuple penseront que le Diable l'a emportée, c'est peut-être la voix de son père mort qu'on entend s'exprimer ainsi. Sous une tombée de neige mémorable, pâle à cause du froid, la princesse rentre au palais prête à être intronisée avec la couronne royale.
Para honrarla los juglares componen baladas en su honor. Cantan y celebran su vida. El primer acto de gobierno consiste en dirigirse a la alcoba de la muerta y tomar de allí un espejo que siempre codició.
En son honneur, les troubadours composent des balades pour la glorifier. Ils chantent et célèbrent sa vie. Sa première mesure de gouvernement consiste en se diriger vers la chambre de la défunte et prendre possession du miroir qu'elle avait toujours convoité.
—La gente simple pensará que se la llevó el diablo —tal vez siga siendo su difunto padre el que habla. Bajo una nevada memorable, pálida de frío, la princesa vuelve a palacio lista para ser ungida con la corona real.
— Les gens du peuple penseront que le Diable l'a emportée, c'est peut-être la voix de son père mort qu'on entend s'exprimer ainsi [il faut mettre ça entre parenthèses… en tout cas trouver une solution pour qu'on comprenne qu'il ne s'agit pas de la même chose…]. Sous une tombée [mal dit] de neige mémorable, pâle à cause du [sûre que c'est « à cause de » ?] froid, la princesse rentre au palais [virgule] prête à être intronisée avec [vérifie] la couronne royale.
—La gente simple pensará que se la llevó el diablo —tal vez siga siendo su difunto padre el que habla. Bajo una nevada memorable, pálida de frío, la princesa vuelve a palacio lista para ser ungida con la corona real.
— Les gens du peuple penseront que le Diable l'a emportée. C'est peut-être la voix de son père mort que l'on entend s'exprimer ainsi. Sous une chute de neige mémorable, pâle à cause du froid, la princesse rentre au palais, prête à être intronisée et à porter la couronne royale.
—La gente simple pensará que se la llevó el diablo —tal vez siga siendo su difunto padre el que habla. Bajo una nevada memorable, pálida de frío, la princesa vuelve a palacio lista para ser ungida con la corona real.
— Les gens du peuple penseront que le Diable l'a emportée.
C'est peut-être la voix de son père mort que l'on entend s'exprimer ainsi. Sous une chute de neige mémorable, pâle à cause du froid, la princesse rentre au palais, prête à être intronisée et à porter [« recevoir » ?] la couronne royale.
—La gente simple pensará que se la llevó el diablo —tal vez siga siendo su difunto padre el que habla. Bajo una nevada memorable, pálida de frío, la princesa vuelve a palacio lista para ser ungida con la corona real.
— Les gens du peuple penseront que le Diable l'a emportée.
C'est peut-être la voix de son père mort que l'on entend s'exprimer ainsi. Sous une chute de neige mémorable, pâle à cause du froid, la princesse rentre au palais, prête à être intronisée et à recevoir la couronne royale.
— Les gens du peuple penseront que le Diable l'a emportée.
C'est peut-être la voix de son père mort que l'on entend s'exprimer ainsi. Sous une chute de neige mémorable, pâle à cause du froid, la princesse rentre au palais, prête à être intronisée et à recevoir la couronne royale.
— Les gens du peuple penseront que le Diable l'a emportée.
C'est peut-être la voix de son père mort que l'on entend s'exprimer ainsi. Sous une chute de neige mémorable, pâle à cause du froid, la princesse rentre au palais, prête à être intronisée et à recevoir la couronne royale.
OK.
Vous pouvez mettre la suite.
Para honrarla los juglares componen baladas en su honor. Cantan y celebran su vida. El primer acto de gobierno consiste en dirigirse a la alcoba de la muerta y tomar de allí un espejo que siempre codició.
En son honneur, les troubadours composent des balades à sa gloire. Ils chantent et célèbrent sa vie. La première action de son règne consiste à se diriger vers la chambre de la défunte et s'emparer du miroir qu'elle avait toujours convoité.
Para honrarla los juglares componen baladas en su honor. Cantan y celebran su vida. El primer acto de gobierno consiste en dirigirse a la alcoba de la muerta y tomar de allí un espejo que siempre codició.
En son honneur, les troubadours composent des balades à sa gloire. Ils chantent et célèbrent sa vie. La première action de son règne consiste à se diriger vers la chambre de la défunte et s'emparer du miroir qu'elle avait toujours convoité.
Para honrarla los juglares componen baladas en su honor. Cantan y celebran su vida. El primer acto de gobierno consiste en dirigirse a la alcoba de la muerta y tomar de allí un espejo que siempre codició.
En son honneur, les troubadours composent des balades à sa gloire. Ils chantent et célèbrent sa vie. La première action de son règne consiste à [vérifie] se diriger vers la chambre de la défunte et s'emparer du miroir qu'elle avait toujours convoité.
Dans ma version - plus haut -, j'avais mis "en"...
Para honrarla los juglares componen baladas en su honor. Cantan y celebran su vida. El primer acto de gobierno consiste en dirigirse a la alcoba de la muerta y tomar de allí un espejo que siempre codició.
En son honneur, les troubadours composent des balades pour la glorifier. Ils chantent et célèbrent sa vie. Sa première mesure de gouvernement consiste en se diriger vers la chambre de la défunte et prendre possession du miroir qu'elle avait toujours convoité.
Mais tu as vérifié ?
Oui
Ça reste bizarre… Essayez de trouver une autre manière de le dire.
Para honrarla los juglares componen baladas en su honor. Cantan y celebran su vida. El primer acto de gobierno consiste en dirigirse a la alcoba de la muerta y tomar de allí un espejo que siempre codició.
En son honneur, les troubadours composent des balades à sa gloire. Ils chantent et célèbrent sa vie. Pour La première action de son règne, elle se dirige vers la chambre de la défunte et s'empare du miroir qu'elle avait toujours convoité.
Para honrarla los juglares componen baladas en su honor. Cantan y celebran su vida. El primer acto de gobierno consiste en dirigirse a la alcoba de la muerta y tomar de allí un espejo que siempre codició.
En son honneur, les troubadours composent des balades à sa gloire. Ils chantent et célèbrent sa vie. Pour La [coquille ; relis-toi] [Soit : « En guise de » ou alors avec un simple verbe « être »] première action de son règne, elle se dirige vers la chambre de la défunte et s'empare du miroir qu'elle avait toujours convoité.
Para honrarla los juglares componen baladas en su honor. Cantan y celebran su vida. El primer acto de gobierno consiste en dirigirse a la alcoba de la muerta y tomar de allí un espejo que siempre codició.
En son honneur, les troubadours composent des balades à sa gloire. Ils chantent et célèbrent sa vie. La première action de son règne est de se diriger vers la chambre de la défunte et s'emparer du miroir qu'elle avait toujours convoité.
En son honneur, les troubadours composent des balades à sa gloire. Ils chantent et célèbrent sa vie. La première action de son règne est de se diriger vers la chambre de la défunte et s'emparer du miroir qu'elle avait toujours convoité.
OK.
Elena ?
Justine, tu peux mettre la suite.
OK.
Le texte est terminé.
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