vendredi 26 août 2016

Projet Hélène 5 – phrases 276-292

—¡Así es, hermanos...!
El hombre siguió con su alegato y la contabilidad de las provocaciones. Esta es la tercera vez que vienen los hijos de puta, y ustedes saben bien lo que oculta todo esto. Estamos ante una evidente empresa de provocación. ¡Quieren indignarnos, desestabilizarnos! Quieren que perdamos la paciencia, llevarnos a cometer una locura, para así justificar sus planes, ya no la destrucción de nuestra fraternidad, sino nuestra destrucción final. ¡Sí, hermanos! Lo que quieren es eso, que les demos ocasión para que ellos nos acaben como quisieran acabarnos. Pero ese final no está escrito como ellos creen, o quisieran. El final, somos nosotros los que lo vamos a escribir. Será como nosotros queramos, o lo permitamos, y no habrá otro. Ahora hablaba directamente al cielo, en trance. Además, misteriosos son los caminos de la verdad. También nos ocurren cosas buenas. En realidad, nunca llegamos a saber cuándo sabemos algo de verdad, ni cuándo no lo sabemos. En forma súbita se tornó hacia él y le puso la mano en el hombro otra vez. Aquí tenemos un hermano, por ejemplo, que no conocíamos ayer, que no sabemos quién es y que, de pronto, nos ayuda.

Traduction temporaire :
— Je vous le dis, mes frères... !
L’homme poursuivit son plaidoyer et sa litanie de bravades. C’est la troisième fois que ces fils de putes viennent, et vous savez bien ce que ça cache. Nous sommes face à une évidente entreprise de déstabilisation. Ils veulent nous indigner, nous provoquer ! Ils veulent que l'on perde patience, que l’on commette une folie, pour justifier leurs plans : la destruction non plus de notre fraternité, mais bien notre destruction finale. Eh oui, mes frères, c’est ce qu’ils cherchent, qu’on leur donne l’occasion de nous achever à leur guise. Mais cette fin n’est pas écrite comme ils le croient ou le voudraient. La fin, c’est nous qui allons l’écrire. Ça se passera comme nous le déciderons, ou le permettrons, pas autrement. En transe, il s’adressait alors directement au ciel. En plus, les chemins de la vérité sont mystérieux. Des événements heureux nous arrivent, à nous aussi. En fait, on ne sait jamais quand on tient une part de la vérité, ni quand on ne tient rien du tout. Subitement, il se tourna vers lui et lui posa de nouveau la main sur l’épaule. Voici un frère, par exemple, que l’on ne connaissait pas hier et qui, d’un coup, nous aide.

8 commentaires:

Hélène a dit…

— Je vous le dis, mes frères !
L’homme poursuivit son plaidoyer et sa litanie de provocations. C’est la troisième fois que ces fils de putes viennent, et vous savez bien ce que ça cache. Nous sommes face à une évidente entreprise de déstabilisation. Ils veulent nous indigner, nous intimider ! Ils cherchent à nous faire perdre notre patience, à ce que l’on commette une folie, pour justifier leurs plans : la destruction non pas de notre fraternité, mais bien notre destruction finale. Et oui, mes frères. C’est ce qu’ils veulent, qu’on leur donne l’occasion de nous achever à leur guise. Mais cette fin n’est pas écrite comme ils le croient ou le voudraient. La fin, c’est nous qui allons l’écrire. Ça se passera comme on le décidera, ou le permettra, pas autrement. En transe, il s’adressait alors directement au ciel. En plus, les chemins de la vérité sont mystérieux. Des évènements heureux peuvent aussi nous arriver. En fait, on ne sait jamais quand on tient une part de la vérité, ni quand on ne tient rien du tout. Subitement, il se tourna vers lui et lui posa de nouveau la main sur l’épaule. Voici un frère, par exemple, que l’on ne connaissait pas hier et qui, d’un coup, nous aide.

Tradabordo a dit…

— Je vous le dis, mes frères [les points de suspension] !
L’homme poursuivit son plaidoyer et sa litanie de provocations. C’est la troisième fois que ces fils de putes viennent, et vous savez bien ce que ça cache. Nous sommes face à une évidente entreprise de déstabilisation [texte ?]. Ils veulent nous indigner, nous intimider [texte ?] ! Ils cherchent à nous faire [un moyen d'éviter « faire » ?] perdre notre patience, à ce que l’on commette une folie, pour justifier leurs plans : la destruction non pas [tu ne traduit pas vraiment le « ya no… »] de notre fraternité, mais bien notre destruction finale. Et [« Eh »] oui, mes frères. C’est ce qu’ils veulent, qu’on leur donne l’occasion de nous achever à leur guise. Mais cette fin n’est pas écrite comme ils le croient ou le voudraient. La fin, c’est nous qui allons l’écrire. Ça se passera comme on le décidera [tu devrais mettre le « nous »], ou le permettra, pas autrement. En transe, il s’adressait alors directement au ciel. En plus, les chemins de la vérité sont mystérieux. Des évènements heureux peuvent [texte ?] aussi nous arriver. En fait, on ne sait jamais quand on tient une part de la vérité, ni quand on ne tient rien du tout. Subitement, il se tourna vers lui et lui posa de nouveau la main sur l’épaule. Voici un frère, par exemple, que l’on ne connaissait pas hier et qui, d’un coup, nous aide.

Hélène a dit…

— Je vous le dis, mes frères... !
L’homme poursuivit son plaidoyer et sa litanie de bravades. C’est la troisième fois que ces fils de putes viennent, et vous savez bien ce que ça cache. Nous sommes face à une évidente entreprise de provocation [texte ? // J'avais déjà "provocation" au-dessus; du coup, je l'ai gardé ici et j'ai changé plus haut]. Ils veulent nous indigner, nous déstabiliser ! Ils cherchent à ce que l'on perde patience, à ce que l’on commette une folie, pour justifier leurs plans : la destruction non plus de notre fraternité, mais bien notre destruction finale. Eh oui, mes frères. C’est ce qu’ils veulent, qu’on leur donne l’occasion de nous achever à leur guise. Mais cette fin n’est pas écrite comme ils le croient ou le voudraient. La fin, c’est nous qui allons l’écrire. Ça se passera comme nous le déciderons, ou le permettrons, pas autrement. En transe, il s’adressait alors directement au ciel. En plus, les chemins de la vérité sont mystérieux. Des évènements heureux nous arrivent à nous aussi. En fait, on ne sait jamais quand on tient une part de la vérité, ni quand on ne tient rien du tout. Subitement, il se tourna vers lui et lui posa de nouveau la main sur l’épaule. Voici un frère, par exemple, que l’on ne connaissait pas hier et qui, d’un coup, nous aide.

Tradabordo a dit…

— Je vous le dis, mes frères... !
L’homme poursuivit son plaidoyer et sa litanie de bravades. C’est la troisième fois que ces fils de putes viennent, et vous savez bien ce que ça cache. Nous sommes face à une évidente entreprise de provocation [texte ? // J'avais déjà "provocation" au-dessus; du coup, je l'ai gardé ici et j'ai changé plus haut //// mais « entreprise de provocation », ça ne va pas… Essaie de tourner la phrase autrement – regarde dans le dico des synonymes]. Ils veulent nous indigner, nous déstabiliser ! Ils cherchent à ce [avec « veulent », ça risque d'alléger] que l'on perde patience, à ce que l’on commette une folie, pour justifier leurs plans : la destruction non plus de notre fraternité, mais bien notre destruction finale. Eh oui, mes frères. [virgule ?] C’est ce qu’ils veulent [du coup, mets « cherchent » ici], qu’on leur donne l’occasion de nous achever à leur guise. Mais cette fin n’est pas écrite comme ils le croient ou le voudraient. La fin, c’est nous qui allons l’écrire. Ça se passera comme nous le déciderons, ou le permettrons, pas autrement. En transe, il s’adressait alors directement au ciel. En plus, les chemins de la vérité sont mystérieux. Des évènements [privilégie les deux accents aigus ;-)] heureux nous arrivent [virgule ?] à nous aussi. En fait, on ne sait jamais quand on tient une part de la vérité, ni quand on ne tient rien du tout. Subitement, il se tourna vers lui et lui posa de nouveau la main sur l’épaule. Voici un frère, par exemple, que l’on ne connaissait pas hier et qui, d’un coup, nous aide.

Hélène a dit…

— Je vous le dis, mes frères... !
L’homme poursuivit son plaidoyer et sa litanie de bravades. C’est la troisième fois que ces fils de putes viennent, et vous savez bien ce que ça cache. Nous sommes face à une évidente entreprise de provocation [Si on veut garder "entreprise", je ne vois rien d'autre que ma première solu "entreprise de déstabilisation". Sinon, on change en privilégiant le sens : "Nous sommes face à un acte d'agression flagrant". Lequel te semble le mieux ?]. Ils veulent nous indigner, nous déstabiliser ! Ils veulent que l'on perde patience, à ce que l’on commette une folie, pour justifier leurs plans : la destruction non plus de notre fraternité, mais bien notre destruction finale. Eh oui, mes frères, c’est ce qu’ils cherchent, qu’on leur donne l’occasion de nous achever à leur guise. Mais cette fin n’est pas écrite comme ils le croient ou le voudraient. La fin, c’est nous qui allons l’écrire. Ça se passera comme nous le déciderons, ou le permettrons, pas autrement. En transe, il s’adressait alors directement au ciel. En plus, les chemins de la vérité sont mystérieux. Des événements heureux nous arrivent, à nous aussi. En fait, on ne sait jamais quand on tient une part de la vérité, ni quand on ne tient rien du tout. Subitement, il se tourna vers lui et lui posa de nouveau la main sur l’épaule. Voici un frère, par exemple, que l’on ne connaissait pas hier et qui, d’un coup, nous aide.

Tradabordo a dit…

— Je vous le dis, mes frères... !
L’homme poursuivit son plaidoyer et sa litanie de bravades. C’est la troisième fois que ces fils de putes viennent, et vous savez bien ce que ça cache. Nous sommes face à une évidente entreprise de provocation [Si on veut garder "entreprise", je ne vois rien d'autre que ma première solu "entreprise de déstabilisation". Sinon, on change en privilégiant le sens : "Nous sommes face à un acte d'agression flagrant". Lequel te semble le mieux ? ////// bon, mets « déstabilisation » ici et change dans la phrase d'après… Ce sera sans doute le mieux…]. Ils veulent nous indigner, nous déstabiliser ! Ils veulent que l'on perde patience, à ce que l’on commette une folie, pour justifier leurs plans : la destruction non plus de notre fraternité, mais bien notre destruction finale. Eh oui, mes frères, c’est ce qu’ils cherchent, qu’on leur donne l’occasion de nous achever à leur guise. Mais cette fin n’est pas écrite comme ils le croient ou le voudraient. La fin, c’est nous qui allons l’écrire. Ça se passera comme nous le déciderons, ou le permettrons, pas autrement. En transe, il s’adressait alors directement au ciel. En plus, les chemins de la vérité sont mystérieux. Des événements heureux nous arrivent, à nous aussi. En fait, on ne sait jamais quand on tient une part de la vérité, ni quand on ne tient rien du tout. Subitement, il se tourna vers lui et lui posa de nouveau la main sur l’épaule. Voici un frère, par exemple, que l’on ne connaissait pas hier et qui, d’un coup, nous aide.

Hélène a dit…

— Je vous le dis, mes frères... !
L’homme poursuivit son plaidoyer et sa litanie de bravades. C’est la troisième fois que ces fils de putes viennent, et vous savez bien ce que ça cache. Nous sommes face à une évidente entreprise de déstabilisation. Ils veulent nous indigner, nous provoquer ! Ils veulent que l'on perde patience, que l’on commette une folie, pour justifier leurs plans : la destruction non plus de notre fraternité, mais bien notre destruction finale. Eh oui, mes frères, c’est ce qu’ils cherchent, qu’on leur donne l’occasion de nous achever à leur guise. Mais cette fin n’est pas écrite comme ils le croient ou le voudraient. La fin, c’est nous qui allons l’écrire. Ça se passera comme nous le déciderons, ou le permettrons, pas autrement. En transe, il s’adressait alors directement au ciel. En plus, les chemins de la vérité sont mystérieux. Des événements heureux nous arrivent, à nous aussi. En fait, on ne sait jamais quand on tient une part de la vérité, ni quand on ne tient rien du tout. Subitement, il se tourna vers lui et lui posa de nouveau la main sur l’épaule. Voici un frère, par exemple, que l’on ne connaissait pas hier et qui, d’un coup, nous aide.

Tradabordo a dit…

— Je vous le dis, mes frères... !
L’homme poursuivit son plaidoyer et sa litanie de bravades. C’est la troisième fois que ces fils de putes viennent, et vous savez bien ce que ça cache. Nous sommes face à une évidente entreprise de déstabilisation. Ils veulent nous indigner, nous provoquer ! Ils veulent que l'on perde patience, que l’on commette une folie, pour justifier leurs plans : la destruction non plus de notre fraternité, mais bien notre destruction finale. Eh oui, mes frères, c’est ce qu’ils cherchent, qu’on leur donne l’occasion de nous achever à leur guise. Mais cette fin n’est pas écrite comme ils le croient ou le voudraient. La fin, c’est nous qui allons l’écrire. Ça se passera comme nous le déciderons, ou le permettrons, pas autrement. En transe, il s’adressait alors directement au ciel. En plus, les chemins de la vérité sont mystérieux. Des événements heureux nous arrivent, à nous aussi. En fait, on ne sait jamais quand on tient une part de la vérité, ni quand on ne tient rien du tout. Subitement, il se tourna vers lui et lui posa de nouveau la main sur l’épaule. Voici un frère, par exemple, que l’on ne connaissait pas hier et qui, d’un coup, nous aide.

OK.