Se sentó frente al escritorio, tomó una hoja en blanco y la colocó en su Olivetti Lettera 22. Después volteó hacia la ventana llamando a la inspiración. Sus ojos azules apuntaron a unos largos ventanales en el estudio de la casa de enfrente. A través de ellos se divisaba a un sujeto que leía un libro gordo, probablemente una novela, mientras acariciaba con su mano izquierda el terciopelo verde del sillón donde estaba sentado.
El hombre de una ceja permaneció inerte durante un largo rato. La noche comenzaba a caer mientras él miraba fijamente a su vecino, quien estaba inmerso en su lectura.
El hombre de una ceja permaneció inerte durante un largo rato. La noche comenzaba a caer mientras él miraba fijamente a su vecino, quien estaba inmerso en su lectura.
Traduction temporaire :
Il s’assit face au bureau, prit une feuille blanche et la mit dans son Olivetti Lettera 22. Ensuite, il se tourna vers la fenêtre à la recherche de l'inspiration. Ses yeux bleus se braquèrent sur la longue baie vitrée du studio dans la maison d’en face. À travers, on distinguait un individu qui lisait un gros livre, probablement un roman, pendant qu’il caressait avec sa main gauche le velours vert du fauteuil où il était assis.
L’homme au monosourcil demeura inerte un long moment. La nuit commençait à tomber tandis qu’il dévisageait son voisin qui était plongé dans sa lecture.
Il s’assit face au bureau, prit une feuille blanche et la mit dans son Olivetti Lettera 22. Ensuite, il se tourna vers la fenêtre à la recherche de l'inspiration. Ses yeux bleus se braquèrent sur la longue baie vitrée du studio dans la maison d’en face. À travers, on distinguait un individu qui lisait un gros livre, probablement un roman, pendant qu’il caressait avec sa main gauche le velours vert du fauteuil où il était assis.
L’homme au monosourcil demeura inerte un long moment. La nuit commençait à tomber tandis qu’il dévisageait son voisin qui était plongé dans sa lecture.
7 commentaires:
Il s’assit face au bureau, prit une feuille blanche et la mit dans son Olivetti Lettera 22. Puis il se tourna vers la fenêtre à la recherche d’inspiration. Ses yeux bleus visèrent la longue baie vitrée du studio de la maison d’en face. A travers elles, on distinguait un individu qui lisait un gros livre, probablement un roman, tandis qu’il caressait avec sa main gauche le velours vert du fauteuil où il était assis.
L’homme au monosourcil demeura inerte un long moment. La nuit commençait à tomber pendant qu’il fixait du regard son voisin qui était plongé dans sa lecture.
Il s’assit face au bureau, prit une feuille blanche et la mit [« plaça » ? je crois que dans ce contexte, c'est plutôt ça qu'on dirait… mais n'hésitez pas à vérifier la fréquence d'usage sur Google] dans son Olivetti Lettera 22. Puis [« Ensuite » ?] [virgule] il se tourna vers la fenêtre [virgule ? J'hésite] à la recherche d’inspiration. Ses yeux bleus visèrent [bof] la longue baie vitrée du studio [vérifiez de la maison d’en face. A [accentuez les majuscules / idem dans vos copies] travers elles [le « elles » n'est pas nécessaire], on distinguait un individu qui lisait un gros livre, probablement un roman, tandis qu’il caressait avec sa main gauche le velours vert du fauteuil où il était assis.
L’homme au monosourcil demeura inerte un long moment. La nuit commençait à tomber pendant [il vaut mieux « tandis » ici / du coup, changez celui que vous avez mis avant] qu’il fixait du regard son voisin qui était plongé dans sa lecture.
Il s’assit face au bureau, prit une feuille blanche et la mit [je pense que « plaça » est plus joli que « mit » mais il me semble qu’il y a plus de recherches avec le verbe « mettre » sur Google] dans son Olivetti Lettera 22. Ensuite, il se tourna vers la fenêtre à la recherche d’inspiration. Ses yeux bleus fixèrent la longue baie vitrée du studio dans la maison d’en face. À travers, on distinguait un individu qui lisait un gros livre, probablement un roman, pendant qu’il caressait avec sa main gauche le velours vert du fauteuil où il était assis.
L’homme au monosourcil demeura inerte un long moment. La nuit commençait à tomber tandis qu’il dévisageait son voisin qui était plongé dans sa lecture.
Il s’assit face au bureau, prit une feuille blanche et la mit dans son Olivetti Lettera 22. Ensuite, il se tourna vers la fenêtre à la recherche d’inspiration. Ses yeux bleus fixèrent la longue baie vitrée du studio dans la maison d’en face. À travers, on distinguait un individu qui lisait un gros livre, probablement un roman, pendant qu’il caressait avec sa main gauche le velours vert du fauteuil où il était assis.
L’homme au monosourcil demeura inerte un long moment. La nuit commençait à tomber tandis qu’il dévisageait son voisin qui était plongé dans sa lecture.
Ne vous étonnez pas du ralentissement de l'activité le mardi / le mercredi / le jeudi : j'ai cours :-)
Il s’assit face au bureau, prit une feuille blanche et la mit dans son Olivetti Lettera 22. Ensuite, il se tourna vers la fenêtre à la recherche d’[« de l' » ?]inspiration. Ses yeux bleus fixèrent [« se braquèrent sur » ?] la longue baie vitrée du studio dans la maison d’en face. À travers, on distinguait un individu qui lisait un gros livre, probablement un roman, pendant qu’il caressait avec sa main gauche le velours vert du fauteuil où il était assis.
L’homme au monosourcil demeura inerte un long moment. La nuit commençait à tomber tandis qu’il dévisageait son voisin qui était plongé dans sa lecture.
Il s’assit face au bureau, prit une feuille blanche et la mit dans son Olivetti Lettera 22. Ensuite, il se tourna vers la fenêtre à la recherche de l'inspiration. Ses yeux bleus se braquèrent sur la longue baie vitrée du studio dans la maison d’en face. À travers, on distinguait un individu qui lisait un gros livre, probablement un roman, pendant qu’il caressait avec sa main gauche le velours vert du fauteuil où il était assis.
L’homme au monosourcil demeura inerte un long moment. La nuit commençait à tomber tandis qu’il dévisageait son voisin qui était plongé dans sa lecture.
Il s’assit face au bureau, prit une feuille blanche et la mit dans son Olivetti Lettera 22. Ensuite, il se tourna vers la fenêtre à la recherche de l'inspiration. Ses yeux bleus se braquèrent sur la longue baie vitrée du studio dans la maison d’en face. À travers, on distinguait un individu qui lisait un gros livre, probablement un roman, pendant qu’il caressait avec sa main gauche le velours vert du fauteuil où il était assis.
L’homme au monosourcil demeura inerte un long moment. La nuit commençait à tomber tandis qu’il dévisageait son voisin qui était plongé dans sa lecture.
OK.
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