— ¡Ves!— le dijo la niña sorbiendo los mocos —hasta él está arrepentido de lo que ha hecho.
—Llora cada vez que escucha llorar a alguien... es como el experimento del ruso ése...
—Nada... llora porque tiene los sentimientos que a ti te faltan.
— ¿Que a mí me falta qué?
—Sentimientos... Eso es lo que he dicho. Que tienes menos sentimientos que un perro.
El Espantajo se quedó pensando. La chica estrechaba con más fuerza a la paloma junto a su pecho
—Puede ser— adujo de forma cínica instalándose cómodamente en su mejor trinchera —de hecho tengo menos sentimientos que ese estúpido animal... pero en todo caso no llora porque se haya dado cuenta de nada, sino porque tú lo haces... Mira, ya dejó de hacerlo...
Galaor se había acercado a su dueño moviendo la cola. Nuevamente estaba feliz. Los perros sólo necesitan de un segundo o de un gesto para cambiar de estado de ánimo. El Espantajo envidiaba a Galaor.
Traduction temporaire :
— Tu vois ! répliqua la fillette en reniflant. Même lui, il regrette ce qu'il a fait.
— Il pleure chaque fois qu'il entend quelqu'un pleurer… il est pareil que dans l'expérience de ce Russe, là…
— N'importe quoi… Il pleure parce qu'il a des sentiments, justement ce qu'il te manque à toi.
— Qu'est ce-qu'il me manque ?
— Les sentiments… Voilà ce que j'ai dit. Que tu as moins de sentiments qu'un chien.
L'Epouvantail demeura pensif. La petite serrait plus fort la colombe contre sa poitrine.
— Peut-être, railla-t-il, cynique, en se retranchant derrière son air le plus détaché. Alors comme ça, j'ai moins de sentiments que ce stupide animal… En tout cas, il ne pleure pas parce qu'il s'est rendu compte de quelque chose, mais parce que toi, tu pleurais… Regarde, il s'est déjà arrêté...
Galaor s'était approché de son maître en remuant la queue. Maintenant, il était heureux. Il suffit simplement d'une seconde ou d'un geste pour que les chiens changent d'humeur. L'Epouvantail enviait Galaor.
9 commentaires:
— Tu vois ! Dit la fillette en reniflant. Même lui il regrette ce qu'il a fait.
— Il pleure à chaque fois qu'il entend quelqu'un pleurer… il est comme l'expérience russe lui…
— N'importe quoi… Il pleure parce qu'il a les sentiments qui te manque à toi.
— Qu'est ce qu'il me manque ?
— Les sentiments… C'est ce que j'ai dit. Que tu as moins de sentiments qu'un chien.
L'Epouvantail resta pensif. La petite serra un peu plus fort la colombe sur sa poitrine — Peut-être — affirma-t-il, cynique, affichant son air le plus détachée — alors comme ça j'ai moins de sentiments que ce stupide animal… mais en tout cas il ne pleure pas parce qu'il s'est rendu compte de quelque chose, mais parce que tu le fait… Regarde, il a déjà arrêté...
Galaor s'était approché de son maître en remuant la queue. Maintenant il était heureux. Les chiens ont juste besoin d'une seconde ou d'un geste pour changer d'état. L'Epouvantail enviait Galaor.
— Tu vois ! D[pas de majuscule]it [un autre verbe plus intéressant – d'autant que vous en avez un après ?] la fillette en reniflant. Même lui [virgule] il regrette ce qu'il a fait.
— Il pleure à [nécessaire ?] chaque fois qu'il entend quelqu'un pleurer… il est comme l'expérience russe lui [???]…
— N'importe quoi… Il pleure parce qu'il a les sentiments qui te manque à toi [petit manque de fluidité].
— Qu'est ce [tiret] qu'il me manque ?
— Les sentiments… C'est [« Voilà » ?] ce que j'ai dit. Que tu as moins de sentiments qu'un chien.
L'Epouvantail resta [« demeura »] pensif. La petite serra [temps] un peu [texte] plus fort la colombe sur [« contre » ?] sa poitrine [point] [à la ligne] — Peut-être — [virgule, pas tiret] affirma-t-il, cynique, affichant son air le plus détachée [vous avez bien vérifié ? Je ne dis pas que c'est faux, mais il faut être sûrs…] — [point] alors comme ça [virgule] j'ai moins de sentiments que ce stupide animal… mais [nécessaire ? Vous en avez un après] en tout cas [virgule] il ne pleure pas parce qu'il s'est rendu compte de quelque chose, mais parce que tu le fait [clair ?]… Regarde, il a déjà arrêté [mal dit]...
Faisons déjà cela. Attention, ça manque de maîtrise. Travaillez plus étroitement le premier jet.
Galaor s'était approché de son maître en remuant la queue. Maintenant il était heureux. Les chiens ont juste besoin d'une seconde ou d'un geste pour changer d'état. L'Epouvantail enviait Galaor.
Je ne vois vraiment pas comment traduire "es como el experimento del ruso ése". Je ne comprends pas vraiment le sens ni l'allusion, la seule piste que je vois serait une référence aux expérimentations russe sur des chiens maintenus en vie après décapitation dans les années 30...
— Tu vois ! répliqua la fillette en reniflant. Même lui, il regrette ce qu'il a fait.
— Il pleure chaque fois qu'il entend quelqu'un pleurer… il est comme dans l'expérience russe lui…
— N'importe quoi… Il pleure parce qu'il a des sentiments, c'est ce qu'il te manque à toi.
— Qu'est ce-qu'il me manque ?
— Les sentiments… Voilà ce que j'ai dit. Que tu as moins de sentiments qu'un chien.
L'Epouvantail demeura pensif. La petite serrait plus fort la colombe sur contre sa poitrine.
— Peut-être, affirma-t-il, cynique, se retranchant derrière son air le plus détaché. Alors comme ça, j'ai moins de sentiments que ce stupide animal… En tout cas, il ne pleure pas parce qu'il s'est rendu compte de quelque chose, mais parce que toi tu pleurais… Regarde, il s'est déjà arrêté...
Galaor s'était approché de son maître en remuant la queue. Maintenant il était heureux. Il suffit d'une seconde ou d'un geste pour que les chiens changent d'humeur. L'Epouvantail enviait Galaor.
Je demande son avis à Elena.
es como el experimento del ruso ése...
Je comprends : "pareil que dans /lors des experiments de ce Russe..."
Merci beaucoup Elena, j'ai aussi demandé leur avis à 2 amis espagnols, qui rejoignent cette proposition…
Ils ont également validé la traduction de la phrase "adujo de forma cínica instalándose cómodamente en su major trinchera".
— Tu vois ! répliqua la fillette en reniflant. Même lui, il regrette ce qu'il a fait.
— Il pleure chaque fois qu'il entend quelqu'un pleurer… il est pareil que dans l'expérience de ce russe là…
— N'importe quoi… Il pleure parce qu'il a des sentiments, c'est ce qu'il te manque à toi.
— Qu'est ce-qu'il me manque ?
— Les sentiments… Voilà ce que j'ai dit. Que tu as moins de sentiments qu'un chien.
L'Epouvantail demeura pensif. La petite serrait plus fort la colombe sur contre sa poitrine.
— Peut-être, se targua-t-il, cynique, en se retranchant derrière son air le plus détaché. Alors comme ça, j'ai moins de sentiments que ce stupide animal… En tout cas, il ne pleure pas parce qu'il s'est rendu compte de quelque chose, mais parce que toi tu pleurais… Regarde, il s'est déjà arrêté...
Galaor s'était approché de son maître en remuant la queue. Maintenant il était heureux. Il suffit simplement d'une seconde ou d'un geste pour que les chiens changent d'humeur. L'Epouvantail enviait Galaor.
— Tu vois ! répliqua la fillette en reniflant. Même lui, il regrette ce qu'il a fait.
— Il pleure chaque fois qu'il entend quelqu'un pleurer… il est pareil que dans l'expérience de ce r[maj]usse [virgule ? Ou « du fameux Russe »] là…
— N'importe quoi… Il pleure parce qu'il a des sentiments, c'est [ou « à savoir » / « exactement » – ça permettra d'économiser un « c'est » ; pensez-y, car je remarque que je vous en fait supprimer d'un côté et vous en ajoutez de l'autre] ce qu'il te manque à toi.
— Qu'est ce-qu'il me manque ?
— Les sentiments… Voilà ce que j'ai dit. Que tu as moins de sentiments qu'un chien.
L'Epouvantail demeura pensif. La petite serrait plus fort la colombe sur contre [coquille ; relisez-vous… Cette année, je vais devoir suivre une soixantaine d'équipes en même temps, alors il faut que les anciennes soient beaucoup plus autonomes ; je ne peux pas perdre de temps avec des trucs aussi basiques] sa poitrine.
— Peut-être, se targua[bof]-t-il, cynique, en se retranchant derrière son air le plus détaché. Alors comme ça, j'ai moins de sentiments que ce stupide animal… En tout cas, il ne pleure pas parce qu'il s'est rendu compte de quelque chose, mais parce que toi [virgule] tu pleurais… Regarde, il s'est déjà arrêté...
Galaor s'était approché de son maître en remuant la queue. Maintenant [virgule puisque vous ne commencez pas par le sujet !] il était heureux. Il suffit simplement d'une seconde ou d'un geste pour que les chiens changent d'humeur. L'Epouvantail enviait Galaor.
— Tu vois ! répliqua la fillette en reniflant. Même lui, il regrette ce qu'il a fait.
— Il pleure chaque fois qu'il entend quelqu'un pleurer… il est pareil que dans l'expérience de ce Russe, là…
— N'importe quoi… Il pleure parce qu'il a des sentiments, justement ce qu'il te manque à toi.
— Qu'est ce-qu'il me manque ?
— Les sentiments… Voilà ce que j'ai dit. Que tu as moins de sentiments qu'un chien.
L'Epouvantail demeura pensif. La petite serrait plus fort la colombe contre sa poitrine.
— Peut-être, railla-t-il, cynique, en se retranchant derrière son air le plus détaché. Alors comme ça, j'ai moins de sentiments que ce stupide animal… En tout cas, il ne pleure pas parce qu'il s'est rendu compte de quelque chose, mais parce que toi, tu pleurais… Regarde, il s'est déjà arrêté...
Galaor s'était approché de son maître en remuant la queue. Maintenant, il était heureux. Il suffit simplement d'une seconde ou d'un geste pour que les chiens changent d'humeur. L'Epouvantail enviait Galaor.
— Tu vois ! répliqua la fillette en reniflant. Même lui, il regrette ce qu'il a fait.
— Il pleure chaque fois qu'il entend quelqu'un pleurer… il est pareil que dans l'expérience de ce Russe, là…
— N'importe quoi… Il pleure parce qu'il a des sentiments, justement ce qu'il te manque à toi.
— Qu'est ce-qu'il me manque ?
— Les sentiments… Voilà ce que j'ai dit. Que tu as moins de sentiments qu'un chien.
L'Epouvantail demeura pensif. La petite serrait plus fort la colombe contre sa poitrine.
— Peut-être, railla-t-il, cynique, en se retranchant derrière son air le plus détaché. Alors comme ça, j'ai moins de sentiments que ce stupide animal… En tout cas, il ne pleure pas parce qu'il s'est rendu compte de quelque chose, mais parce que toi, tu pleurais… Regarde, il s'est déjà arrêté...
Galaor s'était approché de son maître en remuant la queue. Maintenant, il était heureux. Il suffit simplement d'une seconde ou d'un geste pour que les chiens changent d'humeur. L'Epouvantail enviait Galaor.
OK.
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