lundi 12 septembre 2016

Projet Virginia / Laëtitia – phrases 4-7

Su rostro se iluminó con una sonrisa, parecía un buen encargo. Alguien quería un avatar de primerísimo nivel, su empleador lo reclamaba en una sala de reuniones virtuales para hablar del proyecto. Suspiró desconsoladamente, una reunión virtual siempre salía caro pues se sumaban los costes de la conexión de baja latencia que requería el espacio virtual y que las operadoras cobraban diferenciadamente del tráfico normal de datos, los impuestos, las licencias de uso del software y sobre todo los derechos de autor que reclamaban ferozmente las entidades de gestión digitales por el uso de los avatares. De nada servía que él fuera el legítimo autor de su avatar personal pues misteriosamente de esas tasas recibía siempre míseros beneficios.

Traduction temporaire :
Son visage s'illumina d'un sourire, cela semblait être une bonne commande. Quelqu'un voulait un avatar de toute première catégorie, son employeur réclamait sa présence dans une salle de réunions virtuelles pour parler du projet. Accablé, il soupira ; une réunion virtuelle revenait toujours cher, car aux coûts de la connexion bas-débit que requérait l'espace virtuel et que les opérateurs facturaient séparément du débit normal de données, s'ajoutaient les impôts, les licences d'utilisation du software et, surtout, les droits d'auteur que réclamaient férocement les entités de gestion digitales pour l'utilisation des avatars. Qu'il fût l'auteur légitime de son propre avatar n’avait aucun impact puisque, mystérieusement, il recevait toujours de maigres bénéfices sur ces taxes-là.

9 commentaires:

Laetitia a dit…

Son visage s'illumina d'un sourire, cela avait tout l'air d'une bonne commande. Quelqu'un voulait un avatar de première catégorie, son employeur le réclamait dans une salle de réunions virtuelles pour parler du projet. Inquiet, il soupira ; une réunion virtuelle coûtait toujours cher, car, aux coûts de la connection bas-débit que requérait l'espace virtuel et que les opérateurs faisaient payer séparément du débit normal de données, s'ajoutaient les impôts, les licences d'utilisation du software et, surtout, les droits d'auteur que réclamaient férocement les entités de gestion digitales pour l'utilisation des avatars. Cela ne servait à rien qu'il fût l'auteur légitime de son propre avatar puisque, mystérieusement, il recevait toujours de maigres bénéfices de ces taxes-là.

Tradabordo a dit…

Son visage s'illumina d'un sourire, cela avait tout [nécessaire ? Dommage de gaspiller ce qui est précieux et qu'au moment de la relecture, vous aurez tant de mal à supprimer quand vous en verrez partout ;-)] l'air d'une bonne commande. Quelqu'un voulait un avatar de [cheville ici, tiens : « toute », pour rendre le superlatif ?] première catégorie, son employeur le réclamait [j'hésite… C'est la trad littérale et ça va, mais je me demande si on le dirait vraiment / réfléchissez ; si vous avez mieux, tant mieux, sinon, laissez…] dans une salle de réunions virtuelles pour parler du projet. Inquiet [texte ?], il soupira ; une réunion virtuelle coûtait toujours cher, car, [j'hésite sur cette virgule] aux coûts de la connection [ortho] bas-débit que requérait l'espace virtuel et que les opérateurs faisaient payer [« facturaient », pour économiser un « faire » ?] séparément du débit normal de données, s'ajoutaient les impôts, les licences d'utilisation du software et, surtout, les droits d'auteur que réclamaient [ah, cela achève de me convaincre qu'il faut changer celui que vous avez avant] férocement les entités de gestion digitales pour l'utilisation des avatars. Cela ne servait à rien [naturel ?] qu'il fût l'auteur légitime de son propre avatar puisque, mystérieusement, il recevait toujours de maigres bénéfices de [« sur » ?] ces taxes-là.

Unknown a dit…

Son visage s'illumina d'un sourire, cela semblait être une bonne commande. Quelqu'un voulait un avatar de toute première catégorie, son employeur l’exigeait dans une salle de réunions virtuelles pour parler du projet. Accablé, il soupira ; une réunion virtuelle revenait toujours cher, car aux coûts de la connexion bas-débit que requérait l'espace virtuel et que les opérateurs facturaient séparément du débit normal de données, s'ajoutaient les impôts, les licences d'utilisation du software et, surtout, les droits d'auteur que réclamaient férocement les entités de gestion digitales pour l'utilisation des avatars. Qu'il fût l'auteur légitime de son propre avatar n’avait aucun impact puisque, mystérieusement, il recevait toujours de maigres bénéfices sur ces taxes-là.

Tradabordo a dit…

Son visage s'illumina d'un sourire, cela semblait être une bonne commande. Quelqu'un voulait un avatar de toute première catégorie, son employeur l’exigeait [mal dit / incorrect] dans une salle de réunions virtuelles pour parler du projet. Accablé, il soupira ; une réunion virtuelle revenait toujours cher, car aux coûts de la connexion bas-débit que requérait l'espace virtuel et que les opérateurs facturaient séparément du débit normal de données, s'ajoutaient les impôts, les licences d'utilisation du software et, surtout, les droits d'auteur que réclamaient férocement les entités de gestion digitales pour l'utilisation des avatars. Qu'il fût l'auteur légitime de son propre avatar n’avait aucun impact puisque, mystérieusement, il recevait toujours de maigres bénéfices sur ces taxes-là.

Laetitia a dit…

Son visage s'illumina d'un sourire, cela semblait être une bonne commande. Quelqu'un voulait un avatar de toute première catégorie, son employeur le voulait, lui, [mais verbe utilisé déjà 2 fois dans ce passage... Ou alors "réclamait"?] dans une salle de réunions virtuelles pour parler du projet. Accablé, il soupira ; une réunion virtuelle revenait toujours cher, car aux coûts de la connexion bas-débit que requérait l'espace virtuel et que les opérateurs facturaient séparément du débit normal de données, s'ajoutaient les impôts, les licences d'utilisation du software et, surtout, les droits d'auteur que réclamaient férocement les entités de gestion digitales pour l'utilisation des avatars. Qu'il fût l'auteur légitime de son propre avatar n’avait aucun impact puisque, mystérieusement, il recevait toujours de maigres bénéfices sur ces taxes-là.

Tradabordo a dit…

Son visage s'illumina d'un sourire, cela semblait être une bonne commande. Quelqu'un voulait un avatar de toute première catégorie, son employeur le voulait, lui, [mais verbe utilisé déjà 2 fois dans ce passage... Ou alors "réclamait"? /// OK, mais il faut lui ajouter des chevilles : « réclamait sa présence » ou quelque chose comme ça] dans une salle de réunions virtuelles pour parler du projet. Accablé, il soupira ; une réunion virtuelle revenait toujours cher, car aux coûts de la connexion bas-débit que requérait l'espace virtuel et que les opérateurs facturaient séparément du débit normal de données, s'ajoutaient les impôts, les licences d'utilisation du software et, surtout, les droits d'auteur que réclamaient férocement les entités de gestion digitales pour l'utilisation des avatars. Qu'il fût l'auteur légitime de son propre avatar n’avait aucun impact puisque, mystérieusement, il recevait toujours de maigres bénéfices sur ces taxes-là.

Laetitia a dit…


Son visage s'illumina d'un sourire, cela semblait être une bonne commande. Quelqu'un voulait un avatar de toute première catégorie, son employeur réclamait sa présence dans une salle de réunions virtuelles pour parler du projet. Accablé, il soupira ; une réunion virtuelle revenait toujours cher, car aux coûts de la connexion bas-débit que requérait l'espace virtuel et que les opérateurs facturaient séparément du débit normal de données, s'ajoutaient les impôts, les licences d'utilisation du software et, surtout, les droits d'auteur que réclamaient férocement les entités de gestion digitales pour l'utilisation des avatars. Qu'il fût l'auteur légitime de son propre avatar n’avait aucun impact puisque, mystérieusement, il recevait toujours de maigres bénéfices sur ces taxes-là.

Tradabordo a dit…

Son visage s'illumina d'un sourire, cela semblait être une bonne commande. Quelqu'un voulait un avatar de toute première catégorie, son employeur réclamait sa présence dans une salle de réunions virtuelles pour parler du projet. Accablé, il soupira ; une réunion virtuelle revenait toujours cher, car aux coûts de la connexion bas-débit que requérait l'espace virtuel et que les opérateurs facturaient séparément du débit normal de données, s'ajoutaient les impôts, les licences d'utilisation du software et, surtout, les droits d'auteur que réclamaient férocement les entités de gestion digitales pour l'utilisation des avatars. Qu'il fût l'auteur légitime de son propre avatar n’avait aucun impact puisque, mystérieusement, il recevait toujours de maigres bénéfices sur ces taxes-là.

OK.

Virginia ?

Laëtitia, en attendant que Virginia valide…, je vous mets la suite.

Unknown a dit…

OK