El interrogador me busca una vena y ahí va la spike, va, va, fue, y yo dejo de ser y cuando abro los ojos estoy tirada nel suelo y él ya no está, nadie más está en la celda, ni siquiera los ciempiés y las zhizus, ni siquiera el olor de la comida de papá, lánsès al horno con miel, corderos marinados en linde. Veintitrés horas. Veintitrés. Eso. Larga la espera hasta su regreso. Me daña cuando viene, más es peor cuando no.
En Jaelle probamos cosas alucinantes tu. Ah la maravilla de los colores dese planeta. Las dunas doradas, el amarillo incendiario de las hojas de los árboles. Un espectro de matices que hacían creer nuna perpetua explosión de otoño.
En Jaelle probamos cosas alucinantes tu. Ah la maravilla de los colores dese planeta. Las dunas doradas, el amarillo incendiario de las hojas de los árboles. Un espectro de matices que hacían creer nuna perpetua explosión de otoño.
Traduction temporaire :
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il s'est volatilisé, et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, il n'y a personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde. Vingt-trois heures. Vingt-trois. Voilà. Une longue attente jusqu'à son retour. Il me fait du mal quant il vient, plus encore quand il ne vient pas.
À Jaelle, nous avons aussi essayé des trucs hallucinatoires. Ah, quelle merveille, les couleurs de cette planète ! Les dunes dorées, le jaune incendiaire des feuilles des arbres. Un tel spectre de nuances, on aurait dit une perpétuelle explosion de l'automne.
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il s'est volatilisé, et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, il n'y a personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde. Vingt-trois heures. Vingt-trois. Voilà. Une longue attente jusqu'à son retour. Il me fait du mal quant il vient, plus encore quand il ne vient pas.
À Jaelle, nous avons aussi essayé des trucs hallucinatoires. Ah, quelle merveille, les couleurs de cette planète ! Les dunes dorées, le jaune incendiaire des feuilles des arbres. Un tel spectre de nuances, on aurait dit une perpétuelle explosion de l'automne.
12 commentaires:
El interrogador me busca una vena y ahí va la spike, va, va, fue, y yo dejo de ser y cuando abro los ojos estoy tirada nel suelo y él ya no está, nadie más está en la celda, ni siquiera los ciempiés y las zhizus, ni siquiera el olor de la comida de papá, lánsès al horno con miel, corderos marinados en linde.
L'interrogateur cherche une veine et le voici le spike, il y va, il y va, il est parti et moi, je cesse d'exister et lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'y est plus, personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, pas non plus l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde.
Veintitrés horas. Veintitrés. Eso. Larga la espera hasta su regreso. Me daña cuando viene, más es peor cuando no.
Vingt-trois heures. Vingt-trois. Voilà. Une longue attente jusqu'à son retour. Il me fait du mal quant il vient, pire encore quand il ne vient pas.
En Jaelle probamos cosas alucinantes tu. Ah la maravilla de los colores dese planeta. Las dunas doradas, el amarillo incendiario de las hojas de los árboles. Un espectro de matices que hacían creer nuna perpetua explosión de otoño.
À Jaelle, nous avons essayé des trucs hallucinatoires aussi. Ah, la merveille des couleurs de cette planète. Les dunes dorées, le jaune incendiaire des feuilles des arbres. Un spectre de nuances qui faisait penser à une perpétuelle explosion de l'automne.
El interrogador me busca una vena y ahí va la spike, va, va, fue, y yo dejo de ser y cuando abro los ojos estoy tirada nel suelo y él ya no está, nadie más está en la celda, ni siquiera los ciempiés y las zhizus, ni siquiera el olor de la comida de papá, lánsès al horno con miel, corderos marinados en linde.
L'interrogateur cherche une veine [là, tu ne dis pas que c'est une veine de la narratrice] et le voici le [bof] spike, il y [?] va, il y [?] va, il est parti [j'hésite] [virgule] et moi, je cesse d'exister et [point à la place N] lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'y [?] est plus, personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, pas non plus [supprime] l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde.
El interrogador me busca una vena y ahí va la spike, va, va, fue, y yo dejo de ser y cuando abro los ojos estoy tirada nel suelo y él ya no está, nadie más está en la celda, ni siquiera los ciempiés y las zhizus, ni siquiera el olor de la comida de papá, lánsès al horno con miel, corderos marinados en linde.
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il est disparu, et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde.
El interrogador me busca una vena y ahí va la spike, va, va, fue, y yo dejo de ser y cuando abro los ojos estoy tirada nel suelo y él ya no está, nadie más está en la celda, ni siquiera los ciempiés y las zhizus, ni siquiera el olor de la comida de papá, lánsès al horno con miel, corderos marinados en linde.
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il est disparu [incorrect], et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, [« il n'y a » ?] personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde.
El interrogador me busca una vena y ahí va la spike, va, va, fue, y yo dejo de ser y cuando abro los ojos estoy tirada nel suelo y él ya no está, nadie más está en la celda, ni siquiera los ciempiés y las zhizus, ni siquiera el olor de la comida de papá, lánsès al horno con miel, corderos marinados en linde.
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il s'est volatilisé, et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, il n'y a personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde.
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il s'est volatilisé, et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, il n'y a personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde.
OK. Tu peux ajouter la suite. Laisse le début – je ferai le copier-coller en même temps.
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il s'est volatilisé, et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, il n'y a personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde.
Veintitrés horas. Veintitrés. Eso. Larga la espera hasta su regreso. Me daña cuando viene, más es peor cuando no.
Vingt-trois heures. Vingt-trois. Voilà. Une longue attente jusqu'à son retour. Il me fait du mal quant il vient, pire encore quand il ne vient pas.
En Jaelle probamos cosas alucinantes tu. Ah la maravilla de los colores dese planeta. Las dunas doradas, el amarillo incendiario de las hojas de los árboles. Un espectro de matices que hacían creer nuna perpetua explosión de otoño.
À Jaelle, nous avons essayé des trucs hallucinatoires aussi. Ah, la merveille des couleurs de cette planète. Les dunes dorées, le jaune incendiaire des feuilles des arbres. Un spectre de nuances qui faisait penser à une perpétuelle explosion de l'automne.
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il s'est volatilisé, et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, il n'y a personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde.
Veintitrés horas. Veintitrés. Eso. Larga la espera hasta su regreso. Me daña cuando viene, más es peor cuando no.
Vingt-trois heures. Vingt-trois. Voilà. Une longue attente jusqu'à son retour. Il me fait du mal quant il vient, pire [« plus »] encore quand il ne vient pas.
En Jaelle probamos cosas alucinantes tu. Ah la maravilla de los colores dese planeta. Las dunas doradas, el amarillo incendiario de las hojas de los árboles. Un espectro de matices que hacían creer nuna perpetua explosión de otoño.
À Jaelle, nous avons essayé des trucs hallucinatoires aussi [ou placé avant ? Essaie]. Ah, la merveille des [pas très naturel] couleurs de cette planète. [point d'exclamation] Les dunes dorées, le jaune incendiaire des feuilles des arbres. Un spectre de nuances qui faisait [tu en as un avant] penser à une perpétuelle explosion de l'automne.
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il s'est volatilisé, et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, il n'y a personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde.
Vingt-trois heures. Vingt-trois. Voilà. Une longue attente jusqu'à son retour. Il me fait du mal quant il vient, plus encore quand il ne vient pas.
En Jaelle probamos cosas alucinantes tu. Ah la maravilla de los colores dese planeta. Las dunas doradas, el amarillo incendiario de las hojas de los árboles. Un espectro de matices que hacían creer nuna perpetua explosión de otoño.
À Jaelle, nous avons aussi essayé des trucs hallucinatoires. Ah, quelle merveille les couleurs de cette planète ! Les dunes dorées, le jaune incendiaire des feuilles des arbres. Un tel spectre de nuances, on aurait dit une perpétuelle explosion de l'automne.
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il s'est volatilisé, et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, il n'y a personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde. Vingt-trois heures. Vingt-trois. Voilà. Une longue attente jusqu'à son retour. Il me fait du mal quant il vient, plus encore quand il ne vient pas.
À Jaelle, nous avons aussi essayé des trucs hallucinatoires. Ah, quelle merveille [virgule] les couleurs de cette planète ! Les dunes dorées, le jaune incendiaire des feuilles des arbres. Un tel spectre de nuances, on aurait dit une perpétuelle explosion de l'automne.
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il s'est volatilisé, et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, il n'y a personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde. Vingt-trois heures. Vingt-trois. Voilà. Une longue attente jusqu'à son retour. Il me fait du mal quant il vient, plus encore quand il ne vient pas.
À Jaelle, nous avons aussi essayé des trucs hallucinatoires. Ah, quelle merveille, les couleurs de cette planète ! Les dunes dorées, le jaune incendiaire des feuilles des arbres. Un tel spectre de nuances, on aurait dit une perpétuelle explosion de l'automne.
L'interrogateur cherche ma veine et voici mon spike, il circule, il circule, il s'est volatilisé, et moi, je cesse d'exister. Lorsque j'ouvre les yeux, je suis par terre et il n'est plus là, il n'y a personne d'autre dans ma cellule, pas même les millepattes ou les shizus, l'odeur de la nourriture de papa, des lánsès au four avec du miel, des agneaux marinés dans du linde. Vingt-trois heures. Vingt-trois. Voilà. Une longue attente jusqu'à son retour. Il me fait du mal quant il vient, plus encore quand il ne vient pas.
À Jaelle, nous avons aussi essayé des trucs hallucinatoires. Ah, quelle merveille, les couleurs de cette planète ! Les dunes dorées, le jaune incendiaire des feuilles des arbres. Un tel spectre de nuances, on aurait dit une perpétuelle explosion de l'automne.
OK.
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