samedi 15 octobre 2016

Projet Lauriane / Nassera / Sylvie – phrases 10-14

Mi Philip, todo sucedió tan rápido. Sin embargo, cuando pienso en ello, vuelvo a ver la precisión de los cortes, la sangre, lo correoso de la carne abierta. Todo regresa a mi memoria con espantosa pulcritud.
No era feliz, pero mis días por entonces eran tranquilos.
Mi marido se iba temprano por las mañanas y yo me pasaba las horas sentada en el porche mirando a los gatos con un libro sin abrir en el regazo. 

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

7 commentaires:

Lauriane D a dit…

Mon Philip, tout alla si rapidement. Cependant, quand j'y pense, je revois la précision des entailles, le sang, l'aspect caoutchouteux de la chair ouverte. Tout me revient en mémoire avec une effrayante clarté. Je n'étais pas heureuse, mais mes journées, alors, étaient tranquilles. Mon mari s'en allait tôt le matin et je passais des heures, assise sous le porche, à regarder les chats, avec un livre que je n'ouvrais pas sur les genoux.

Tradabordo a dit…

Mon Philip, tout alla si rapidement. Cependant, quand j'y pense, je revois la précision des entailles, le sang, l'aspect caoutchouteux de la chair ouverte. Tout me revient en mémoire avec une effrayante clarté [« netteté » ? Comme vous préférez]. Je n'étais pas heureuse, mais mes journées, alors, étaient tranquilles. Mon mari s'en allait [vous l'avez déjà au début de votre section] tôt le matin et [cheville : « moi, » ?] je passais des heures, [la vigule ?] assise sous le porche, à regarder les chats, avec un livre que je n'ouvrais pas sur les genoux [la fin ne va pas].

Nasserra a dit…

Mon Philip, tout alla si rapidement. Cependant, quand j'y pense, je revois la précision des entailles, le sang, l'aspect caoutchouteux de la chair ouverte. Tout me revient en mémoire avec une effrayante netteté. Je n'étais pas heureuse, mais mes journées, alors, étaient tranquilles. Mon mari s'en allait tôt le matin et moi,je passais des heures assise sous le porche, à regarder les chats, avec un livre fermé sur les genoux.

Tradabordo a dit…

Mon Philip, tout alla si rapidement. Cependant, quand j'y pense, je revois la précision des entailles, le sang, l'aspect caoutchouteux de la chair ouverte. Tout me revient en mémoire avec une effrayante netteté. Je n'étais pas heureuse, mais mes journées, alors, étaient tranquilles. Mon mari s'en allait [cf mon commentaire précédent au sujet de ce « allait »] tôt le matin et moi,je passais des heures assise sous le porche, à regarder les chats, avec un livre fermé sur les genoux.

Lauriane D a dit…

Mon Philip, tout alla si rapidement. Cependant, quand j'y pense, je revois la précision des entailles, le sang, l'aspect caoutchouteux de la chair ouverte. Tout me revient en mémoire avec une effrayante netteté. Je n'étais pas heureuse, mais mes journées, alors, étaient tranquilles. Mon mari partait tôt le matin et moi, je passais des heures assise sous le porche, à regarder les chats, avec un livre fermé sur les genoux.

Nasserra a dit…

Mon Philip, tout alla si rapidement. Cependant, quand j'y pense, je revois la précision des entailles, le sang, l'aspect caoutchouteux de la chair ouverte. Tout me revient en mémoire avec une effrayante netteté. Je n'étais pas heureuse, mais mes journées, alors, étaient tranquilles. Mon mari partait tôt le matin et moi,je passais des heures assise sous le porche, à regarder les chats, avec un livre fermé sur les genoux.

Tradabordo a dit…

Je prends la première proposition publiée.

Mon Philip, tout alla si rapidement. Cependant, quand j'y pense, je revois la précision des entailles, le sang, l'aspect caoutchouteux de la chair ouverte. Tout me revient en mémoire avec une effrayante netteté. Je n'étais pas heureuse, mais mes journées, alors, étaient tranquilles. Mon mari partait tôt le matin et moi, je passais des heures assise sous le porche, à regarder les chats, avec un livre fermé sur les genoux.

OK.

Nasserra ?

Je mets la suite.