Ésa es de las que, débiles, ceden a la moral social como un perro a una mordaza, y se ha desbocado en ocasión única con toda la presión contenida durante una existencia. -¡Pues ya sos oportuno! -Casualidad, caer en el momento único. Las copas están vacías, ya no hay gente en el baño. Las mujeres se pasean, el cutis lustrado de gran aire salino, y se saludan o conversan con gestos de púdico recato.
Traduction temporaire :
Elle fait partie de celles, faibles, qui se soumettent à la morale sociale tel un chien à une muselière, et elle s’est emballée en une seule occasion, se libérant de toute la pression accumulée durant une existence entière.
— Eh bien, tu en as eu, de la chance !
— Le hasard, j’étais là au bon moment.
Les verres sont vides, il n’y a plus personne dans le bain. Les femmes se promènent, la peau lustrée par le grand air salin, et se saluent ou conversent en affichant une pudique réserve.
Elle fait partie de celles, faibles, qui se soumettent à la morale sociale tel un chien à une muselière, et elle s’est emballée en une seule occasion, se libérant de toute la pression accumulée durant une existence entière.
— Eh bien, tu en as eu, de la chance !
— Le hasard, j’étais là au bon moment.
Les verres sont vides, il n’y a plus personne dans le bain. Les femmes se promènent, la peau lustrée par le grand air salin, et se saluent ou conversent en affichant une pudique réserve.
6 commentaires:
Elle fait partie de celles, faibles, qui cèdent à la morale sociale tel un chien à une muselière, et elle s’est emballée en une occasion unique, avec toute la pression contenue durant une existence entière.
— Eh bien, tu en as eu, de la chance !
— Le hasard, j’étais là au bon moment.
Les verres sont vides, il n’y a plus personne dans le bain. Les femmes se promènent, la peau lustrée par le grand air salin, et se saluent ou conversent en affichant une pudique réserve.
Elle fait partie de celles, faibles, qui cèdent [« se soumettent » ? Comme tu préfères…] à la morale sociale tel un chien à une muselière, et elle s’est emballée en une occasion unique, avec toute la pression contenue durant une existence entière [je me demande si tout cela est assez clair / j'hésite].
— Eh bien, tu en as eu, de la chance !
— Le hasard, j’étais là au bon moment.
Les verres sont vides, il n’y a plus personne dans le bain. Les femmes se promènent, la peau lustrée par le grand air salin, et se saluent ou conversent en affichant une pudique réserve.
Elle fait partie de celles, faibles, qui se soumettent à la morale sociale tel un chien à une muselière, et elle s’est emballée en une seule occasion, se libérant de toute la pression accumulée durant une existence entière.
— Eh bien, tu en as eu, de la chance !
— Le hasard, j’étais là au bon moment.
Les verres sont vides, il n’y a plus personne dans le bain. Les femmes se promènent, la peau lustrée par le grand air salin, et se saluent ou conversent en affichant une pudique réserve.
Elle fait partie de celles, faibles, qui se soumettent à la morale sociale tel un chien à une muselière, et elle s’est emballée en une seule occasion, se libérant de toute la pression accumulée durant une existence entière.
— Eh bien, tu en as eu, de la chance !
— Le hasard, j’étais là au bon moment.
Les verres sont vides, il n’y a plus personne dans le bain. Les femmes se promènent, la peau lustrée par le grand air salin, et se saluent ou conversent en affichant une pudique réserve.
OK.
Si je ne me trompe pas, le texte est terminé. Tu peux relire – n'oublie pas de bien vérifier qu'il ne manque pas une phrase ici ou là + remets la mise en page de la V.O.
En effet, le texte est terminé. Je t'envoie le résultat dès que c'est relu.
OK. Prends bien le temps pour qu'il me reste le minimum de travail dessus – avec l'intégration de tas de nouveaux binômes, je suis vraiment occupée.
Enregistrer un commentaire