Retrato de mujer con rodocrosita
La gema se desprende de su soporte de plata y ella recuerda mal al artesano, compró el anillo pocas horas atrás. Se agacha, la toma con su mano derecha —sobre el cerámico gris del piso de la cocina el rosa de la gema se distingue con facilidad— y la deposita sobre la izquierda, mano que ahueca como ofreciendo un nido para recibirla. Aún en cuclillas, cree ver algo extraño.
La gema se desprende de su soporte de plata y ella recuerda mal al artesano, compró el anillo pocas horas atrás. Se agacha, la toma con su mano derecha —sobre el cerámico gris del piso de la cocina el rosa de la gema se distingue con facilidad— y la deposita sobre la izquierda, mano que ahueca como ofreciendo un nido para recibirla. Aún en cuclillas, cree ver algo extraño.
La tarde invernal decrece, de modo que se pone de pie y, picada por la curiosidad, pronto acerca su nido improvisado a la última luz que filtra la ventana. Dentro del paisaje rosa hay un rostro. Su rostro. Es ella, sí, sin embargo, el gesto, el color artificioso de las mejillas y el peinado, indican una foto de otra época, quizá realizada para un guardapelo. Por absurdo y anacrónico que resulte, piensa en el período colonial, doscientos, trescientos años atrás. Piensa, pensó, pensaba, desconoce cuánto tiempo ha transcurrido, paralizada por la sorpresa y el espanto, con la mano hecha garra cerrada sobre el objeto de sus terrores. La oscuridad de la noche es perfecta.
—Velas, doñita. Velas. Velas, doñ… — desde la calle, la oferta del pregonero que se aleja.
Traduction temporaire :
Voyant la gemme se détacher de son support en argent, elle a une mauvaise image de l'artisan, à qui elle a acheté cette bague à peine quelques heures plus tôt.
Elle se penche, la prend dans sa main droite – sur le sol en céramique grise de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa main gauche, creusée tel un nid offert pour la recevoir. Toujours accroupie, elle croit apercevoir quelque chose d'étrange.
Comme le soir d'hiver tombe, elle se lève et, piquée par la curiosité, approche aussitôt son nid improvisé vers le dernier rayon de lumière qui filtre par la fenêtre.Dans le paysage rose, il y a un visage. Son visage. C'est bien elle, oui. Cependant, l'expression, la couleur artificielle des joues et la coiffure indiquent qu'il s'agit d'une photo d'une autre époque, peut-être prise pour garnir un médaillon. Aussi absurde et anachronique que cela paraisse, elle pense à la période coloniale, deux cents, trois cents ans plus tôt. Elle pense, elle pensa, elle pensait, elle ignore combien de temps a passé, paralysée par la surprise et l'effroi, sa main formant une griffe repliée sur l'objet de ses terreurs. L'obscurité de la nuit est parfaite.
— Bougies, ma petite dame. Bougies ! Bougies, ma…
Depuis la rue, l'annonce du crieur public qui s'éloigne.
Voyant la gemme se détacher de son support en argent, elle a une mauvaise image de l'artisan, à qui elle a acheté cette bague à peine quelques heures plus tôt.
Elle se penche, la prend dans sa main droite – sur le sol en céramique grise de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa main gauche, creusée tel un nid offert pour la recevoir. Toujours accroupie, elle croit apercevoir quelque chose d'étrange.
Comme le soir d'hiver tombe, elle se lève et, piquée par la curiosité, approche aussitôt son nid improvisé vers le dernier rayon de lumière qui filtre par la fenêtre.Dans le paysage rose, il y a un visage. Son visage. C'est bien elle, oui. Cependant, l'expression, la couleur artificielle des joues et la coiffure indiquent qu'il s'agit d'une photo d'une autre époque, peut-être prise pour garnir un médaillon. Aussi absurde et anachronique que cela paraisse, elle pense à la période coloniale, deux cents, trois cents ans plus tôt. Elle pense, elle pensa, elle pensait, elle ignore combien de temps a passé, paralysée par la surprise et l'effroi, sa main formant une griffe repliée sur l'objet de ses terreurs. L'obscurité de la nuit est parfaite.
— Bougies, ma petite dame. Bougies ! Bougies, ma…
Depuis la rue, l'annonce du crieur public qui s'éloigne.
31 commentaires:
Retrato de mujer con rodocrosita
Portrait de femme avec rhodochrosite
La gema se desprende de su soporte de plata y ella recuerda mal al artesano, compró el anillo pocas horas atrás.
La gemme se détache de son support en argent, elle a donc une mauvaise image de l'artisan, elle lui a acheté cette bague à peine des heures plus tôt.
Se agacha, la toma con su mano derecha —sobre el cerámico gris del piso de la cocina el rosa de la gema se distingue con facilidad— y la deposita sobre la izquierda, mano que ahueca como ofreciendo un nido para recibirla.
Elle se penche, la prend avec sa main droite – sur le sol en céramique gris de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa gauche, main qu'elle creuse tel un nid offert pour la recevoir.
Aún en cuclillas, cree ver algo extraño.
Même accroupie, elle croît percevoir quelque chose d'étrange.
Portrait de femme avec rhodochrosite
La gema se desprende de su soporte de plata y ella recuerda mal al artesano, compró el anillo pocas horas atrás.
La gemme se détache de son support en argent, elle a donc [crée une autre construction pour mettre en avant le lien de cause à effet] une mauvaise image de l'artisan, elle lui a acheté cette bague à peine des heures plus tôt.
Se agacha, la toma con su mano derecha —sobre el cerámico gris del piso de la cocina el rosa de la gema se distingue con facilidad— y la deposita sobre la izquierda, mano que ahueca como ofreciendo un nido para recibirla.
Elle se penche, la prend avec sa main droite – sur le sol en céramique gris de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa gauche, main qu'elle creuse tel un nid offert pour la recevoir.
Aún en cuclillas, cree ver algo extraño.
Même accroupie, elle croît percevoir quelque chose d'étrange.
Portrait de femme avec rhodochrosite
La gema se desprende de su soporte de plata y ella recuerda mal al artesano, compró el anillo pocas horas atrás.
Comme la gemme se détache de son support en argent, elle a une mauvaise image de l'artisan, elle lui a acheté cette bague à peine des heures plus tôt.
Se agacha, la toma con su mano derecha —sobre el cerámico gris del piso de la cocina el rosa de la gema se distingue con facilidad— y la deposita sobre la izquierda, mano que ahueca como ofreciendo un nido para recibirla.
Elle se penche, la prend avec sa main droite – sur le sol en céramique gris de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa gauche, main qu'elle creuse tel un nid offert pour la recevoir.
Aún en cuclillas, cree ver algo extraño.
Même accroupie, elle croît percevoir quelque chose d'étrange.
Portrait de femme avec rhodochrosite
La gema se desprende de su soporte de plata y ella recuerda mal al artesano, compró el anillo pocas horas atrás.
Comme [« Voyant »] la gemme se détache de son support en argent, elle a une mauvaise image de l'artisan, elle lui a acheté cette bague à peine des heures plus tôt.
Se agacha, la toma con su mano derecha —sobre el cerámico gris del piso de la cocina el rosa de la gema se distingue con facilidad— y la deposita sobre la izquierda, mano que ahueca como ofreciendo un nido para recibirla.
Elle se penche, la prend avec sa main droite – sur le sol en céramique gris de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa gauche, main qu'elle creuse tel un nid offert pour la recevoir.
Aún en cuclillas, cree ver algo extraño.
Même accroupie, elle croît percevoir quelque chose d'étrange.
Portrait de femme avec rhodochrosite
La gema se desprende de su soporte de plata y ella recuerda mal al artesano, compró el anillo pocas horas atrás.
Voyant la gemme se détacher de son support en argent, elle a une mauvaise image de l'artisan, elle lui a acheté cette bague à peine quelques heures plus tôt.
Se agacha, la toma con su mano derecha —sobre el cerámico gris del piso de la cocina el rosa de la gema se distingue con facilidad— y la deposita sobre la izquierda, mano que ahueca como ofreciendo un nido para recibirla.
Elle se penche, la prend avec sa main droite – sur le sol en céramique gris de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa gauche, main qu'elle creuse tel un nid offert pour la recevoir.
Aún en cuclillas, cree ver algo extraño.
Même accroupie, elle croît apercevoir quelque chose d'étrange.
Portrait de femme avec rhodochrosite
La gema se desprende de su soporte de plata y ella recuerda mal al artesano, compró el anillo pocas horas atrás.
Voyant la gemme se détacher de son support en argent, elle a une mauvaise image de l'artisan, elle lui a acheté cette bague à peine des heures plus tôt.
Se agacha, la toma con su mano derecha —sobre el cerámico gris del piso de la cocina el rosa de la gema se distingue con facilidad— y la deposita sobre la izquierda, mano que ahueca como ofreciendo un nido para recibirla.
Elle se penche, la prend avec sa main droite – sur le sol en céramique gris de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa gauche, main qu'elle creuse tel un nid offert pour la recevoir.
Aún en cuclillas, cree ver algo extraño.
Même accroupie, elle croît percevoir quelque chose d'étrange.
Portrait de femme avec rhodochrosite
La gema se desprende de su soporte de plata y ella recuerda mal al artesano, compró el anillo pocas horas atrás.
Voyant la gemme se détacher de son support en argent, elle a une mauvaise image de l'artisan, elle lui a [« à qui elle a » ?] acheté cette bague à peine quelques heures plus tôt.
Se agacha, la toma con su mano derecha —sobre el cerámico gris del piso de la cocina el rosa de la gema se distingue con facilidad— y la deposita sobre la izquierda, mano que ahueca como ofreciendo un nido para recibirla.
Elle se penche, la prend avec [« dans » ? J'hésite] sa main droite – sur le sol en céramique gris [féminin ?] de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa gauche, main qu'elle creuse [ou avec l'adjectif ?] tel un nid offert pour la recevoir.
Aún en cuclillas, cree ver algo extraño.
Même [FS] accroupie, elle croît apercevoir quelque chose d'étrange.
Portrait de femme avec rhodochrosite
La gema se desprende de su soporte de plata y ella recuerda mal al artesano, compró el anillo pocas horas atrás.
Voyant la gemme se détacher de son support en argent, elle a une mauvaise image de l'artisan à qui elle a acheté cette bague à peine quelques heures plus tôt.
Se agacha, la toma con su mano derecha —sobre el cerámico gris del piso de la cocina el rosa de la gema se distingue con facilidad— y la deposita sobre la izquierda, mano que ahueca como ofreciendo un nido para recibirla.
Elle se penche, la prend dans sa main droite – sur le sol en céramique grise de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa main gauche, creusée tel un nid offert pour la recevoir.
Aún en cuclillas, cree ver algo extraño.
Toujours accroupie, elle croit apercevoir quelque chose d'étrange.
Portrait de femme avec rhodochrosite
Voyant la gemme se détacher de son support en argent, elle a une mauvaise image de l'artisan [virgule] à qui elle a acheté cette bague à peine quelques heures plus tôt.
Elle se penche, la prend dans sa main droite – sur le sol en céramique grise de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa main gauche, creusée tel un nid offert pour la recevoir.
Toujours accroupie, elle croit apercevoir quelque chose d'étrange.
Portrait de femme avec rhodochrosite
Voyant la gemme se détacher de son support en argent, elle a une mauvaise image de l'artisan, à qui elle a acheté cette bague à peine quelques heures plus tôt.
Elle se penche, la prend dans sa main droite – sur le sol en céramique grise de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa main gauche, creusée tel un nid offert pour la recevoir.
Toujours accroupie, elle croit apercevoir quelque chose d'étrange.
Portrait de femme avec rhodochrosite
Voyant la gemme se détacher de son support en argent, elle a une mauvaise image de l'artisan, à qui elle a acheté cette bague à peine quelques heures plus tôt.
Elle se penche, la prend dans sa main droite – sur le sol en céramique grise de la cuisine, la couleur rose de la gemme se distingue facilement – et la pose sur sa main gauche, creusée tel un nid offert pour la recevoir.
Toujours accroupie, elle croit apercevoir quelque chose d'étrange.
OK.
Elena ?
Oui.
Vous pouvez continuer.
La tarde invernal decrece, de modo que se pone de pie y, picada por la curiosidad, pronto acerca su nido improvisado a la última luz que filtra la ventana.
Le jour d'hiver tombe, donc elle se met debout et, piquée de curiosité, tout de suite, elle approche son nid improvisé de la dernière lumière qui se filtre par la fenêtre.
Dentro del paisaje rosa hay un rostro. Su rostro.
À l'intérieur de paysage rose, il y a un visage. Son visage.
Es ella, sí, sin embargo, el gesto, el color artificioso de las mejillas y el peinado, indican una foto de otra época, quizá realizada para un guardapelo.
C'est elle, oui, cependant, l'expression, la couleur artificielle des pommettes et la coiffure, indiquent qu'il s'agit d'une photo d'une autre époque, peut-être prise pour un pendentif porte-photo.
La tarde invernal decrece, de modo que se pone de pie y, picada por la curiosidad, pronto acerca su nido improvisado a la última luz que filtra la ventana. Dentro del paisaje rosa hay un rostro. Su rostro. Es ella, sí, sin embargo, el gesto, el color artificioso de las mejillas y el peinado, indican una foto de otra época, quizá realizada para un guardapelo.
La soirée hivernale décroît, si bien qu'elle se met debout et, piquée par la curiosité, approche soudain son nid improvisé du dernier rayon de lumière qui filtre par la fenêtre. Dans le paysage rose, il y a un visage. Son visage. C'est bien elle, oui, cependant, l'expression, la couleur trompeuse des joues et la coiffure indiquent une photo d'une autre époque, peut-être prise pour garnir un médaillon.
La tarde invernal decrece, de modo que se pone de pie y, picada por la curiosidad, pronto acerca su nido improvisado a la última luz que filtra la ventana.
Le jour [FS ?] d'hiver tombe, donc [marquez le lien de cause à effet autrement] elle se met debout [« lève » ?] et, piquée de [incorrect] curiosité, tout de suite [mal dit], elle approche son nid improvisé de la dernière lumière qui se filtre [incorrect] par la fenêtre.
Faisons déjà cela.
La tarde invernal decrece, de modo que se pone de pie y, picada por la curiosidad, pronto acerca su nido improvisado a la última luz que filtra la ventana.
Comme le soir d'hiver tombe, elle se lève et, piquée par la curiosité, approche soudain son nid improvisé du dernier rayon de lumière qui filtre par la fenêtre.
La tarde invernal decrece, de modo que se pone de pie y, picada por la curiosidad, pronto acerca su nido improvisado a la última luz que filtra la ventana.
Comme le soir d'hiver tombe, elle se lève et, piquée par la curiosité, approche soudain [FS ?] son nid improvisé du [« vers le » ? J'hésite / vois ce qui est mieux] dernier rayon de lumière qui filtre par la fenêtre.
La tarde invernal decrece, de modo que se pone de pie y, picada por la curiosidad, pronto acerca su nido improvisado a la última luz que filtra la ventana.
Comme le soir d'hiver tombe, elle se lève et, piquée par la curiosité, approche aussitôt son nid improvisé vers le dernier rayon de lumière qui filtre par la fenêtre.
Comme le soir d'hiver tombe, elle se lève et, piquée par la curiosité, approche aussitôt son nid improvisé vers le dernier rayon de lumière qui filtre par la fenêtre.
OK.
Elena ?
🆗
Comme le soir d'hiver tombe, elle se lève et, piquée par la curiosité, approche aussitôt son nid improvisé vers le dernier rayon de lumière qui filtre par la fenêtre.
Dentro del paisaje rosa hay un rostro. Su rostro. Es ella, sí, sin embargo, el gesto, el color artificioso de las mejillas y el peinado, indican una foto de otra época, quizá realizada para un guardapelo.
Dans le paysage rose, il y a un visage. Son visage. C'est bien elle, oui, cependant, l'expression, la couleur artificielle des joues et la coiffure indiquent qu'il s'agit d'une photo d'une autre époque, peut-être prise pour garnir un médaillon.
Dentro del paisaje rosa hay un rostro. Su rostro. Es ella, sí, sin embargo, el gesto, el color artificioso de las mejillas y el peinado, indican una foto de otra época, quizá realizada para un guardapelo.
Dans le paysage rose, il y a un visage. Son visage. C'est bien elle, oui, [point] cependant, l'expression, la couleur artificielle des joues et la coiffure indiquent qu'il s'agit d'une photo d'une autre époque, peut-être prise pour garnir un médaillon.
Dentro del paisaje rosa hay un rostro. Su rostro. Es ella, sí, sin embargo, el gesto, el color artificioso de las mejillas y el peinado, indican una foto de otra época, quizá realizada para un guardapelo.
Dans le paysage rose, il y a un visage. Son visage. C'est bien elle, oui. Cependant, l'expression, la couleur artificielle des joues et la coiffure indiquent qu'il s'agit d'une photo d'une autre époque, peut-être prise pour garnir un médaillon.
Dans le paysage rose, il y a un visage. Son visage. C'est bien elle, oui. Cependant, l'expression, la couleur artificielle des joues et la coiffure indiquent qu'il s'agit d'une photo d'une autre époque, peut-être prise pour garnir un médaillon.
OK.
Elena ?
Por absurdo y anacrónico que resulte, piensa en el período colonial, doscientos, trescientos años atrás. Piensa, pensó, pensaba, desconoce cuánto tiempo ha transcurrido, paralizada por la sorpresa y el espanto, con la mano hecha garra cerrada sobre el objeto de sus terrores. La oscuridad de la noche es perfecta.
Aussi absurde et anachronique que cela paraisse, elle pense à la période coloniale, deux-cent, trois-cent ans plus tôt. Elle pense, elle pensa, elle pensait, elle ignore combien de temps a passé, paralysée par la surprise et l'effroi, sa main formant une griffe sur l'objet de ses terreurs. L'obscurité de la nuit est parfaite.
—Velas, doñita. Velas. Velas, doñ… — desde la calle, la oferta del pregonero que se aleja.
— Bougies, ma petite dame. Bougies ! Bougies, ma…, depuis la rue, l'annonce du crieur public qui s'éloigne.
Por absurdo y anacrónico que resulte, piensa en el período colonial, doscientos, trescientos años atrás. Piensa, pensó, pensaba, desconoce cuánto tiempo ha transcurrido, paralizada por la sorpresa y el espanto, con la mano hecha garra cerrada sobre el objeto de sus terrores. La oscuridad de la noche es perfecta.
Aussi absurde et anachronique que cela paraisse, elle pense à la période coloniale, deux-cent [tiret ? Grammaire ?], trois-cent [idem] ans plus tôt. Elle pense, elle pensa, elle pensait, elle ignore combien de temps a passé [vous étiez au PC ? Vérifiez], paralysée par la surprise et l'effroi, sa main formant une griffe [« cerrada » ?] sur l'objet de ses terreurs. L'obscurité de la nuit est parfaite.
—Velas, doñita. Velas. Velas, doñ… — desde la calle, la oferta del pregonero que se aleja.
— Bougies, ma petite dame. Bougies ! Bougies, ma…, depuis la rue, l'annonce du crieur public qui s'éloigne.
On est au présent avant, d'où mon choix du PC
Por absurdo y anacrónico que resulte, piensa en el período colonial, doscientos, trescientos años atrás. Piensa, pensó, pensaba, desconoce cuánto tiempo ha transcurrido, paralizada por la sorpresa y el espanto, con la mano hecha garra cerrada sobre el objeto de sus terrores. La oscuridad de la noche es perfecta.
Aussi absurde et anachronique que cela paraisse, elle pense à la période coloniale, deux cents, trois cents ans plus tôt. Elle pense, elle pensa, elle pensait, elle ignore combien de temps a passé, paralysée par la surprise et l'effroi, sa main formant une griffe fermée sur l'objet de ses terreurs. L'obscurité de la nuit est parfaite.
—Velas, doñita. Velas. Velas, doñ… — desde la calle, la oferta del pregonero que se aleja.
— Bougies, ma petite dame. Bougies ! Bougies, ma…, depuis la rue, l'annonce du crieur public qui s'éloigne.
Ça n'est pas un critère. Tu peux retenir le PC ici, mais pas pour cette raison-là.
***
Por absurdo y anacrónico que resulte, piensa en el período colonial, doscientos, trescientos años atrás. Piensa, pensó, pensaba, desconoce cuánto tiempo ha transcurrido, paralizada por la sorpresa y el espanto, con la mano hecha garra cerrada sobre el objeto de sus terrores. La oscuridad de la noche es perfecta.
Aussi absurde et anachronique que cela paraisse, elle pense à la période coloniale, deux cents, trois cents ans plus tôt. Elle pense, elle pensa, elle pensait, elle ignore combien de temps a passé, paralysée par la surprise et l'effroi, sa main formant une griffe fermée [« rempliée » ? Comme vous préférez] sur l'objet de ses terreurs. L'obscurité de la nuit est parfaite.
— Bougies, ma petite dame. Bougies ! Bougies, ma…
Depuis la rue, l'annonce du crieur public qui s'éloigne.
Aussi absurde et anachronique que cela paraisse, elle pense à la période coloniale, deux cents, trois cents ans plus tôt. Elle pense, elle pensa, elle pensait, elle ignore combien de temps a passé, paralysée par la surprise et l'effroi, sa main formant une griffe repliée sur l'objet de ses terreurs. L'obscurité de la nuit est parfaite.
— Bougies, ma petite dame. Bougies ! Bougies, ma…
Depuis la rue, l'annonce du crieur public qui s'éloigne.
Aussi absurde et anachronique que cela paraisse, elle pense à la période coloniale, deux cents, trois cents ans plus tôt. Elle pense, elle pensa, elle pensait, elle ignore combien de temps a passé, paralysée par la surprise et l'effroi, sa main formant une griffe repliée sur l'objet de ses terreurs. L'obscurité de la nuit est parfaite.
— Bougies, ma petite dame. Bougies ! Bougies, ma…
Depuis la rue, l'annonce du crieur public qui s'éloigne.
OK.
Elena ?
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