Encuentro con el jefe de los lobos
Por completar unas planillas se me ha hecho tarde. Absurda imprudencia!
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo. No importa. Tomo el abrigo y la cartera. Salgo de la oficina. Forcejeo con la cerradura, el apuro entorpece mis manos, finalmente logro poner llave. Fingiendo tranquilidad comienzo a caminar. Me separan cinco cuadras del edificio donde vivo.
No los veo, pero sé que están ahí, al acecho.
Silencio. El hedor atraviesa la noche. Huelen a carroña.
El aire frío me lastima la cara. Ciño el sobretodo al cuerpo. Levanto las solapas. Apuro el paso.
Mis tacos retumban contra el asfalto. Todavía restan dos cuadras.
—Debería estar acostumbrada —pienso. Cuando cae el sol, las calles son de ellos. La Autoridad es impotente para controlarlos. Desde cuándo es así? No lo recuerdo. Desde ayer, desde hace un mes. Quizá llevemos así veinte años.
Comienza a lloviznar. Hay un farol en la esquina, las gotas brillan contra su luz. Debajo, una joven. Paso a su lado. Minifalda de cuero, botas altas, labios rojos.
Me sorprende su presencia. Debemos ser las dos únicas personas que están fuera a estas horas, supongo.
Supongo mal. Un auto se acerca, para y la levanta. La Autoridad está al volante. La chica señala con la cabeza al conductor y grita a través de la ventanilla: “Los lobos no tienen la culpa, cumplen órdenes”.
El coche se aleja.
No entendí el mensaje, no quiero entenderlo.
—Basta —digo—. Si sobrevivo a esta noche, mañana mismo abandono la ciudad.
Traduction temporaire :
Rencontre avec le chef des loups
Je suis en retard, à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence ! Je m'arrête subitement. Laisse les papiers en plan. Le stylo atterrit par terre. Peu importe. Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte paralyse mes mains. Je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être calme. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
Je ne les vois pas, mais je sais qu'ils sont là, à l'affût. Silence. La puanteur traverse la nuit. Ils sentent la charogne. L'air froid me fouette le visage. Je serre mon imperméable contre mon corps. Je remonte les revers. Je presse le pas. Mes talons résonnent contre l'asphalte. Il me reste encore deux pâtes de maisons à parcourir.
— Je devrais être au lit, me dis-je. Quand le soleil se couche, les rues leur appartiennent. Les Autorités sont impuissantes et ne parviennent pas à les contrôler. Depuis quand c'est comme ça ? Je ne m'en souviens plus. Depuis hier, depuis un mois. Peut-être vingt ans déjà.
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. Dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à une heure pareille, je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et l'embarque. Les Autorités sont au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
La voiture s’éloigne.
Je n’ai pas compris le message, je ne veux pas le comprendre.
— Ça suffit ! m'écrié-je. Si je survis à cette nuit, je quitte la ville demain.
Rencontre avec le chef des loups
Je suis en retard, à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence ! Je m'arrête subitement. Laisse les papiers en plan. Le stylo atterrit par terre. Peu importe. Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte paralyse mes mains. Je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être calme. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
Je ne les vois pas, mais je sais qu'ils sont là, à l'affût. Silence. La puanteur traverse la nuit. Ils sentent la charogne. L'air froid me fouette le visage. Je serre mon imperméable contre mon corps. Je remonte les revers. Je presse le pas. Mes talons résonnent contre l'asphalte. Il me reste encore deux pâtes de maisons à parcourir.
— Je devrais être au lit, me dis-je. Quand le soleil se couche, les rues leur appartiennent. Les Autorités sont impuissantes et ne parviennent pas à les contrôler. Depuis quand c'est comme ça ? Je ne m'en souviens plus. Depuis hier, depuis un mois. Peut-être vingt ans déjà.
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. Dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à une heure pareille, je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et l'embarque. Les Autorités sont au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
La voiture s’éloigne.
Je n’ai pas compris le message, je ne veux pas le comprendre.
— Ça suffit ! m'écrié-je. Si je survis à cette nuit, je quitte la ville demain.
40 commentaires:
Encuentro con el jefe de los lobos
« Rencontre avec le chef des loups »
Por completar unas planillas se me ha hecho tarde. Absurda imprudencia!
À cause de quelques formulaires à compléter, je suis en retard. Absurde imprudence !
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo. No importa.
Je m'arrête d'un coup. Les papiers restent tel quel. Le stylo par terre. Peu importe.
Tomo el abrigo y la cartera. Salgo de la oficina. Forcejeo con la cerradura, el apuro entorpece mis manos, finalmente logro poner llave. Fingiendo tranquilidad comienzo a caminar. Me separan cinco cuadras del edificio donde vivo.
Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte engourdit mes mains, je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être tranquille. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
« Rencontre avec le chef des loups » [pas de «»]
Por completar unas planillas se me ha hecho tarde.
À cause de quelques formulaires à compléter, je suis en retard [inverse la syntaxe]. Absurde imprudence !
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo.
Je m'arrête d'un coup [bof]. Les papiers restent tel quel [mal dit]. Le stylo [« atterrit » ?] par terre. Peu importe.
Tomo el abrigo y la cartera. Salgo de la oficina. Forcejeo con la cerradura, el apuro entorpece mis manos, finalmente logro poner llave. Fingiendo tranquilidad comienzo a caminar. Me separan cinco cuadras del edificio donde vivo.
Je prends mon manteau et mon sac [sûre ?]. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte engourdit [FS ici] mes mains, [point ?] je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être tranquille [« calme » / « serein » ?]. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
Rencontre avec le chef des loups
Por completar unas planillas se me ha hecho tarde.
Je suis en retard, à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence !
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo.
Je m'arrête en sursaut. Les papiers restent dans l'état. Le stylo atterrit sur le sol. Peu importe.
Tomo el abrigo y la cartera*. Salgo de la oficina. Forcejeo con la cerradura, el apuro entorpece mis manos, finalmente logro poner llave. Fingiendo tranquilidad comienzo a caminar. Me separan cinco cuadras del edificio donde vivo.
Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte raidit mes mains. Je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être calme. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
*Le narrateur est une femme, "cartera", en Argentine = sac-à-main.
Rencontre avec le chef des loups
Por completar unas planillas se me ha hecho tarde.
Je suis en retard à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence !
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo.
Je m'arrête subitement. Les papiers restent en plan. Le stylo atterrit par terre. Peu importe.
Tomo el abrigo y la cartera. Salgo de la oficina. Forcejeo con la cerradura, el apuro entorpece mis manos, finalmente logro poner llave. Fingiendo tranquilidad comienzo a caminar. Me separan cinco cuadras del edificio donde vivo.
Je prends mon manteau et mon portefeuille. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte bride mes mains. Je parviens finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être serein. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
Rencontre avec le chef des loups
Je suis en retard, à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence !
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo.
Je m'arrête en sursaut [ça marche avec se réveiller, mais là, bizarre]. Les papiers restent dans [non] l'état. Le stylo atterrit sur le sol [« par terre »]. Peu importe.
Salgo de la oficina. Forcejeo con la cerradura, el apuro entorpece mis manos, finalmente logro poner llave. Fingiendo tranquilidad comienzo a caminar. Me separan cinco cuadras del edificio donde vivo.
Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte raidit [FS] mes mains. Je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être calme. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
Rencontre avec le chef des loups
Je suis en retard, à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence !
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo.
Je m'arrête subitement. Les papiers restent en plan. Le stylo atterrit par terre. Peu importe.
Tomo el abrigo y la cartera. Salgo de la oficina. Forcejeo con la cerradura, el apuro entorpece mis manos, finalmente logro poner llave. Fingiendo tranquilidad comienzo a caminar. Me separan cinco cuadras del edificio donde vivo.
Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte bride mes mains. Je parviens finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être serein. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
Rencontre avec le chef des loups
Je suis en retard, à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence !
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo.
Tout à coup, je m'arrête. Les papiers restent en l'état. Le stylo atterrit par terre. Peu importe.
Salgo de la oficina. Forcejeo con la cerradura, el apuro entorpece mis manos, finalmente logro poner llave. Fingiendo tranquilidad comienzo a caminar. Me separan cinco cuadras del edificio donde vivo.
Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte paralyse mes mains. Je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être calme. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
Rencontre avec le chef des loups
Je suis en retard, à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence !
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo.
Tout à coup [dommage de griller un « tout » pour ça ; il doit y avoir d'autres solutions], je m'arrête. Les papiers restent en l'état. Le stylo atterrit par terre. Peu importe.
Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte paralyse mes mains. Je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être calme. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
Rencontre avec le chef des loups
Je suis en retard, à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence !
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo.
Je m'arrête subitement. Les papiers restent en plan. Le stylo atterrit par terre. Peu importe.
Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte paralyse mes mains. Je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être calme. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
Rencontre avec le chef des loups
Je suis en retard, à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence !
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo.
Je m'arrête subitement. Les papiers restent en plan [juste un doute : est-ce clair ?]. Le stylo atterrit par terre. Peu importe.
Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte paralyse mes mains. Je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être calme. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
Rencontre avec le chef des loups
Je suis en retard, à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence !
Me paro de un salto. Los papeles quedan como están. La lapicera en el suelo.
Je m'arrête subitement. Laisse les papiers en plan. Le stylo atterrit par terre. Peu importe.
Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte paralyse mes mains. Je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être calme. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
Rencontre avec le chef des loups
Je suis en retard, à cause de quelques formulaires à compléter. Absurde imprudence ! Je m'arrête subitement. Laisse les papiers en plan. Le stylo atterrit par terre. Peu importe. Je prends mon manteau et mon sac. Je sors du bureau. Je me débats avec la serrure, la hâte paralyse mes mains. Je réussis finalement à y introduire la clé. Je commence à marcher en feignant d'être calme. Cinq pâtés de maisons me séparent de l'immeuble où je vis.
OK.
Elena ?
🆗
No los veo, pero sé que están ahí, al acecho. Silencio. El hedor atraviesa la noche. Huelen a carroña. El aire frío me lastima la cara. Ciño el sobretodo al cuerpo. Levanto las solapas. Apuro el paso. Mis tacos retumban contra el asfalto. Todavía restan dos cuadras. —Debería estar acostumbrada —pienso. Cuando cae el sol, las calles son de ellos. La Autoridad es impotente para controlarlos. Desde cuándo es así? No lo recuerdo. Desde ayer, desde hace un mes. Quizá llevemos así veinte años.
Je ne les vois pas, mais je sais qu'ils sont là, à l'affût. Silence. La puanteur traverse la nuit. Ils sentent la charogne. L"air froid me fouette le visage. Je resserre mon imperméable contre mon corps. Je remonte les revers. Je presse le pas. Mes talons résonnent sur l'asphalte. Il me reste encore deux pâtes de maisons à parcourir.
— Je devrais être au lit, me dis-je. Quand le soleil se couche, les rues leur appartiennent. L'Autorité est impuissante et ne parvient pas à les contrôler. Depuis quand c'est comme ça ? Je ne m'en souviens plus. Depuis hier, depuis un mois. Peut-être vingt ans déjà.
Je ne les vois pas, mais je sais qu'ils sont là, à l'affût. Silence. La puanteur traverse la nuit. Ils sentent la charogne. L"air froid me fouette le visage. Je res[j'hésite]serre mon imperméable contre mon corps. Je remonte les revers. Je presse le pas. Mes talons résonnent sur [littéral ?] l'asphalte. Il me reste encore deux pâtes de maisons à parcourir.
— Je devrais être au lit, me dis-je. Quand le soleil se couche, les rues leur appartiennent. L'Autorité est impuissante et ne parvient pas à les contrôler. Depuis quand c'est comme ça ? Je ne m'en souviens plus. Depuis hier, depuis un mois. Peut-être vingt ans déjà.
Je ne les vois pas, mais je sais qu'ils sont là, à l'affût. Silence. La puanteur traverse la nuit. Ils sentent la charogne. L'air froid me fouette le visage. Je serre mon imperméable contre mon corps. Je remonte les revers. Je presse le pas. Mes talons résonnent contre l'asphalte. Il me reste encore deux pâtes de maisons à parcourir.
— Je devrais être au lit, me dis-je. Quand le soleil se couche, les rues leur appartiennent. L'Autorité est impuissante et ne parvient pas à les contrôler. Depuis quand c'est comme ça ? Je ne m'en souviens plus. Depuis hier, depuis un mois. Peut-être vingt ans déjà.
Je ne les vois pas, mais je sais qu'ils sont là, à l'affût. Silence. La puanteur traverse la nuit. Ils sentent la charogne. L'air froid me fouette le visage. Je serre mon imperméable contre mon corps. Je remonte les revers. Je presse le pas. Mes talons résonnent contre l'asphalte. Il me reste encore deux pâtes de maisons à parcourir.
— Je devrais être au lit, me dis-je. Quand le soleil se couche, les rues leur appartiennent. L'Autorité est impuissante et ne parvient pas à les contrôler. Depuis quand c'est comme ça ? Je ne m'en souviens plus. Depuis hier, depuis un mois. Peut-être vingt ans déjà.
OK.
Elena ?
OK.
Comienza a lloviznar. Hay un farol en la esquina, las gotas brillan contra su luz. Debajo, una joven. Paso a su lado. Minifalda de cuero, botas altas, labios rojos. Me sorprende su presencia. Debemos ser las dos únicas personas que están fuera a estas horas, supongo.
Supongo mal. Un auto se acerca, para y la levanta. La Autoridad está al volante. La chica señala con la cabeza al conductor y grita a través de la ventanilla: “Los lobos no tienen la culpa, cumplen órdenes”.
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. En-dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à des heures pareilles, je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et la soulève. L'Autorité est au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. En-[nécessaire ?]dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à des heures pareilles [pluriel ?], je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et la soulève [?]. L'Autorité [?] est au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. Dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à une heure pareille, je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et la prend. Les Autorités sont au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. Dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à une heure pareille, je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et la prend [bof]. Les Autorités sont au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
Si on met « Les Autorités » au pluriel, il faudra penser à changer dans le fragment précédent.
« Les Autorités sont impuissantes et ne parviennent pas à les contrôler. »
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. Dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à une heure pareille, je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et la fait monter. Les Autorités sont au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
Remets-moi le fragment précédent dans sa bonne version, stp.
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. Dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à une heure pareille, je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et la fait monter [« l'embarque » ou trop ?]. Les Autorités sont au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
Les Autorités sont impuissantes et ne parviennent pas à les contrôler. Depuis quand c'est comme ça ? Je ne m'en souviens plus. Depuis hier, depuis un mois. Peut-être vingt ans déjà.
Et la suite :
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. Dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à une heure pareille, je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et la fait monter [« l'embarque » ou trop ?]. Les Autorités sont au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
OK. C'est changé.
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. Dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à une heure pareille, je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et la fait monter [« l'embarque » ou trop ? TU N'AS PAS RÉPONDU À CE COMMENTAIRE]. Les Autorités sont au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
Désolée, je n'avais pas vu ton commentaire.
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. Dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à une heure pareille, je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et l'embarque. Les Autorités sont au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
Il commence à bruiner. Il y a un lampadaire au coin de la rue, les gouttes brillent contre sa lumière. Dessous, une jeune fille. Je passe à côté d'elle. Mini-jupe en cuir, bottes montantes, lèvres rouges. Sa présence me surprend. On doit être les deux seules personnes dehors à une heure pareille, je suppose.
Je suppose mal. Une voiture s'approche, s'arrête et l'embarque. Les Autorités sont au volant. De la tête, la fille désigne le conducteur et crie à travers la vitre : « Ce n'est pas de la faute des loups, ils exécutent les ordres ».
OK.
Elena ?
OK.
OK.
Plus que quelques lignes.
El coche se aleja.
No entendí el mensaje, no quiero entenderlo.
—Basta —digo—. Si sobrevivo a esta noche, mañana mismo abandono la ciudad.
La voiture s’éloigne.
Je n’ai pas compris le message, je ne veux pas le comprendre.
— Ça suffit ! estimé-je. Si je survis à cette nuit, demain je quitte la ville.
El coche se aleja.
No entendí el mensaje, no quiero entenderlo.
—Basta —digo—. Si sobrevivo a esta noche, mañana mismo abandono la ciudad.
La voiture s’éloigne.
Je n’ai pas compris le message, je ne veux pas le comprendre.
— Ça suffit ! estimé-je. Si je survis à cette nuit, demain je quitte la ville.
El coche se aleja.
No entendí el mensaje, no quiero entenderlo.
—Basta —digo—. Si sobrevivo a esta noche, mañana mismo abandono la ciudad.
La voiture s’éloigne.
Je n’ai pas compris le message, je ne veux pas le comprendre.
— Ça suffit ! estimé-je [« m'écriai-je » ?]. Si je survis à cette nuit, demain [placé à la fin ?] je quitte la ville.
El coche se aleja.
No entendí el mensaje, no quiero entenderlo.
—Basta —digo—. Si sobrevivo a esta noche, mañana mismo abandono la ciudad.
La voiture s’éloigne.
Je n’ai pas compris le message, je ne veux pas le comprendre.
— Ça suffit ! m'écrié-je. Si je survis à cette nuit, je quitte la ville demain.
La voiture s’éloigne.
Je n’ai pas compris le message, je ne veux pas le comprendre.
— Ça suffit ! m'écrié-je. Si je survis à cette nuit, je quitte la ville demain.
OK.
Elena ?
OK.
OK.
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