samedi 15 octobre 2016

Projet Pauline M.G. 2 – phrases 92-104

—Eso no es problema. Vamos a caminar hacia la autopista, por ahí debe haber algo...
Los dos caminaron mientras Galaor correteaba alrededor de ellos.
— ¿Ya no me odias?— se animó a preguntar el muchacho.
—No te odio,  te desprecio... Eres un asesino de palomas. Ya todos te conocen por acá. Todos saben de tu calaña. Pero yo no puedo odiar, soy incapaz de hacerlo... Yo he nacido para amar,  eso me dice mi mamá siempre y ¿por qué no lo voy a creer? Lo que pasa es que tú no tienes quién te quiera. Debe ser muy triste llevar la vida que llevas.
El Espantajo se quedó mudo.

Traduction temporaire :
— C'est pas grave, ça. On va aller en direction de l'autoroute, là-bas on devrait trouver quelque chose… Ils marchèrent ensemble, avec Galaor qui gambadait autour d'eux. Alors tu ne me détestes plus ? risqua le garçon.
— Je ne te déteste pas, je te méprise… Tu es un tueur de colombes. Tu es connu par ici. Tout le monde sait de quel espèce tu es. Mais je ne peux pas détester, j'en suis incapable… Je suis née pour aimer, c'est ce que maman me répète tout le temps, alors pourquoi j'y croirais pas ? Le problème c'est que tu n'as personne pour t'aimer. Ça doit être très triste d'avoir la vie que tu mènes. L'Épouvantail resta silencieux.

13 commentaires:

Unknown a dit…

— C'est pas un problème ça. On va marcher jusqu'à l'autoroute, il doit y avoir quelque chose là-bas… Ils marchèrent ensemble, avec Galaor qui gambadait autour d'eux. — Alors tu ne me détestes plus ? osa demander le garçon. — Je ne te déteste pas, je te méprise… Tu es un tueur de colombes. Tu es connu par ici. Tout le monde sait de quel espèce tu es. Mais je ne peux pas détester, j'en suis incapable… Je suis née pour aimer, ma maman me le dit toujours, alors pourquoi je n'y croirais pas ? Le problème c'est que tu n'as personne pour t'aimer. Tu dois être très triste de la vie que tu mènes. L'Épouvantail resta silencieux.

Tradabordo a dit…

— C'est pas un problème [virgule] ça [et d'ailleurs, je me demande si le « ça » est bien nécessaire ; je vous laisse trancher]. On va marcher jusqu'à [texte] l'autoroute, il doit y avoir quelque chose [clair] là-bas [placé avant ?]… Ils marchèrent ensemble, avec Galaor qui gambadait [« gambadant » ? Comme vous voulez] autour d'eux. Alors tu ne me détestes plus ? osa [« s'aventura à » ?] demander le garçon.
— Je ne te déteste pas, je te méprise… Tu es un tueur de colombes. Tu es connu par ici. Tout le monde sait de quel espèce tu es. Mais je ne peux pas détester, j'en suis incapable… Je suis née pour aimer, ma maman me le dit [« répète » ?] toujours, alors [ou en mettant en « vu » avant ? Je me demande si ça ne rendrait pas l'ensemble plus fluide] pourquoi je n'y croirais pas ? Le problème c'est que tu n'as personne pour t'aimer. Tu dois être très triste [texte ; pas ce qui est dit] de la vie que tu mènes. L'Épouvantail resta silencieux.

Unknown a dit…

Bonjour, désolée mais je n'ai pas compris votre avant-dernière correction : " [ou en mettant en « vu » avant ? Je me demande si ça ne rendrait pas l'ensemble plus fluide]", alors en attendant j'ai laissé cette partie du texte identique…!
Je choisis de garder le "ça" de la première phrase, qui me semble plus naturel et plus adapté au niveau de langage de ce dialogue, ainsi que "gambadait" pour à peu près les mêmes raisons.


— C'est pas un problème, ça. On va marcher en direction de l'autoroute, là-bas on devrait trouver quelque chose… Ils marchèrent ensemble, avec Galaor qui gambadait autour d'eux. Alors tu ne me détestes plus ? s'aventura le garçon.
— Je ne te déteste pas, je te méprise… Tu es un tueur de colombes. Tu es connu par ici. Tout le monde sait de quel espèce tu es. Mais je ne peux pas détester, j'en suis incapable… Je suis née pour aimer, ma maman me le répète tout le temps, alors pourquoi je n'y croirais pas ? Le problème c'est que tu n'as personne pour t'aimer. Ça doit être très triste d'avoir la vie que tu mènes. L'Épouvantail resta silencieux.

Tradabordo a dit…

Vu que maman me répète…………

Unknown a dit…

Ou alors :
"C'est ce que maman me répète tout le temps, alors pourquoi j'y croirais pas ?"

Unknown a dit…

— C'est pas un problème, ça. On va marcher en direction de l'autoroute, là-bas on devrait trouver quelque chose… Ils marchèrent ensemble, avec Galaor qui gambadait autour d'eux. Alors tu ne me détestes plus ? s'aventura le garçon.
— Je ne te déteste pas, je te méprise… Tu es un tueur de colombes. Tu es connu par ici. Tout le monde sait de quel espèce tu es. Mais je ne peux pas détester, j'en suis incapable… Je suis née pour aimer, c'est ce que maman me répète tout le temps, alors pourquoi j'y croirais pas ? Le problème c'est que tu n'as personne pour t'aimer. Ça doit être très triste d'avoir la vie que tu mènes. L'Épouvantail resta silencieux.

Tradabordo a dit…

— C'est pas un problème, ça. On va marcher en direction de l'autoroute, là-bas on devrait trouver quelque chose… Ils marchèrent [au fait, essayez de ne pas répéter] ensemble, avec Galaor qui gambadait autour d'eux. Alors tu ne me détestes plus ? s'[non]aventura le garçon.
— Je ne te déteste pas, je te méprise… Tu es un tueur de colombes. Tu es connu par ici. Tout le monde sait de quel espèce tu es. Mais je ne peux pas détester, j'en suis incapable… Je suis née pour aimer, c'est ce que maman me répète tout le temps, alors pourquoi j'y croirais pas ? Le problème c'est [vous en avez déjà un dans la phrase d'avant] que tu n'as personne pour t'aimer. Ça doit être très triste d'avoir la vie que tu mènes. L'Épouvantail resta silencieux.

Unknown a dit…

Bonjour
Désolée mais je ne comprends pas le "s'(non)aventura le garçon" : j'en déduis que le "s'" est de trop, pourtant on ne peut pas du tout l'enlever. Pourrais-je avoir des précisions ?

— C'est pas grave, ça. On va aller en direction de l'autoroute, là-bas on devrait trouver quelque chose… Ils marchèrent ensemble, avec Galaor qui gambadait autour d'eux. Alors tu ne me détestes plus ? s'aventura le garçon.
— Je ne te déteste pas, je te méprise… Tu es un tueur de colombes. Tu es connu par ici. Tout le monde sait de quel espèce tu es. Mais je ne peux pas détester, j'en suis incapable… Je suis née pour aimer, c'est ce que maman me répète tout le temps, alors pourquoi j'y croirais pas ? Le problème c'est que tu n'as personne pour t'aimer. Ça doit être très triste d'avoir la vie que tu mènes. L'Épouvantail resta silencieux.

Tradabordo a dit…

« s'aventura le garçon » n'est pas très adapté ici. « aventura » est mieux, mais pas non plus génial. Voyez si vous avez autre chose en stock.

Unknown a dit…

Vous voulez dire "Alors tu ne me détestes plus ? aventura le garçon" ? je suis d'accord que "s'aventura" n'est pas super mais cette formulation là n'existe pas ?!
Ou "demanda timidement", "risqua", "tenta"...
Je reste sur "Osa", que je trouve plus naturel et fluide que ma première proposition un peu lourde "osa demander"

— C'est pas grave, ça. On va aller en direction de l'autoroute, là-bas on devrait trouver quelque chose… Ils marchèrent ensemble, avec Galaor qui gambadait autour d'eux. Alors tu ne me détestes plus ? osa le garçon.
— Je ne te déteste pas, je te méprise… Tu es un tueur de colombes. Tu es connu par ici. Tout le monde sait de quel espèce tu es. Mais je ne peux pas détester, j'en suis incapable… Je suis née pour aimer, c'est ce que maman me répète tout le temps, alors pourquoi j'y croirais pas ? Le problème c'est que tu n'as personne pour t'aimer. Ça doit être très triste d'avoir la vie que tu mènes. L'Épouvantail resta silencieux.

Tradabordo a dit…

Voilà.
« Risque » me semble mieux.

Unknown a dit…

— C'est pas grave, ça. On va aller en direction de l'autoroute, là-bas on devrait trouver quelque chose… Ils marchèrent ensemble, avec Galaor qui gambadait autour d'eux. Alors tu ne me détestes plus ? risqua le garçon.
— Je ne te déteste pas, je te méprise… Tu es un tueur de colombes. Tu es connu par ici. Tout le monde sait de quel espèce tu es. Mais je ne peux pas détester, j'en suis incapable… Je suis née pour aimer, c'est ce que maman me répète tout le temps, alors pourquoi j'y croirais pas ? Le problème c'est que tu n'as personne pour t'aimer. Ça doit être très triste d'avoir la vie que tu mènes. L'Épouvantail resta silencieux.

Tradabordo a dit…

— C'est pas grave, ça. On va aller en direction de l'autoroute, là-bas on devrait trouver quelque chose… Ils marchèrent ensemble, avec Galaor qui gambadait autour d'eux. Alors tu ne me détestes plus ? risqua le garçon.
— Je ne te déteste pas, je te méprise… Tu es un tueur de colombes. Tu es connu par ici. Tout le monde sait de quel espèce tu es. Mais je ne peux pas détester, j'en suis incapable… Je suis née pour aimer, c'est ce que maman me répète tout le temps, alors pourquoi j'y croirais pas ? Le problème c'est que tu n'as personne pour t'aimer. Ça doit être très triste d'avoir la vie que tu mènes. L'Épouvantail resta silencieux.

OK.