Lo que pasa es que el César anduvo en la Conafe dando clases por ai: en las sierras, en las comunidades. Fue entonces que encontró su vocación. Cuando vivíamos juntos, él me contaba sus aventuras; me dijo que una vez le ofreció comida una doñita de la sierra y que él no se la aceptó porque la vio muy pobrecita: le dio tristeza quitarle lo poco que ella tuviera. ¿Ya vio cómo sí es un tipazo mi hijo?
Traduction temporaire :
Un beau jour, mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. Voilà comment il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Un beau jour, mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. Voilà comment il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
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Et puis voilà que mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. À ce moment précis, il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la montagne lui avait offert à manger et que lui, il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça lui faisait de la peine de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Et puis voilà que mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. À ce moment précis [naturel et adapté ici ?], il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la montagne [ici, est-ce qu'on ne laisserait pas « sierra » ?] lui avait offert à manger et que lui [nécessaire ? Comme vous voulez], il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. [les caractères ne passent pas ; qu'avez-vous voulu mettre ?]Ça lui faisait [dommage de gaspiller un « faire » pour si peu… Voyez quand même si vous avez une autre solution] de la peine de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Et puis voilà que mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. C'est comme ça qu'il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la montagne sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. [point?] Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Et puis voilà que mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. C'est [je ne vais pas vous faciliter la tâche ; débrouillez-vous pour faire sans le « c'est » ;-))))))] comme ça qu'il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la montagne [supprimez, du coup] sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Et puis voilà que mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. Il a trouvé sa vocation comme ça, d'ailleurs. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Merci de ne pas me faciliter la tâche :-))
Désolée car mes copier-coller laissent parfois à désirer quand je travaille sur mon téléphone. Je ne le referai plus :-))
Je ne vais pas vous reprocher d'être tellement impatiente de traduire que vous vous rabattez sur votre téléphone portable faute de mieux…………… La traduction est une excellente drogue !
Et puis voilà que mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. Il a trouvé sa vocation comme ça [ou alors passez par « voilà comment » / je vous laisse voir ce qui est mieux], d'ailleurs. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Et puis voici [?] que mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. Voilà comment il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Voilà parce qu'on est dans le passé.
Et puis voilà que mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. Voilà [ah mais zut, vous l'avez dans la phrase d'avant ; sorry !!!!!] comment il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Et puis un beau jour [?], mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. Voilà comment il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Et puis [nécessaire ?] un beau jour, mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. Voilà comment il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Un beau jour, mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. Voilà comment il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
Un beau jour, mon César s'est mis à donner des cours avec le CONAFE par-ci, par-là, dans les montagnes, les communautés. Voilà comment il a trouvé sa vocation. Quand nous vivions encore ensemble, il me racontait ses aventures. Il m'a dit qu'une fois, une petite dame de la sierra lui avait offert à manger et qu'il avait refusé parce qu'il voyait bien qu'elle était très pauvre. Ça le peinait de lui prendre le peu qu'elle avait. Vous voyez, un chic type mon fils, non ?
OK.
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