jeudi 27 octobre 2016

Projet Sonita / Alexia – phrases 185-187

Por las madrugadas, un subgrupo de participantes empezó a desarrollar su propio evento, donde según ellos se abordaban temas que no eran considerados serios o importantes en el evento diurno, ideas y formas que se dejaban de lado. El subgrupo lo encabezaban autores (algunos de mis amigos) que decían sentirse censurados porque no los dejaban leer (o porque no los dejaban no leer), y tras ellos fueron otros cuya opinión era, básicamente, que el espacio diario del hangar se había acomodado en la normalidad freak, que ya no era suficientemente subversivo y radical: faltaban humores, blasfemias, esqueletos nuevos. Mientras tanto, un tercer subgrupo ojeroso y medio zombi empataba alegremente la madrugada con el día sin prestar atención al cisma (sin prestar atención a nada), o dividía el tiempo a su manera para poder tomar notas cuando fuera necesario.

Traduction temporaire :

À l’aube, un sous-groupe de participants a organisé son propre événement, où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement qui se déroulait  durant les journées du Skate Fiction Days, ainsi que des idées et des formes qui étaient laissées de côté. Ledit sous-groupe était dirigé par des auteurs (certains étaient des amis à moi) qui disaient se sentir censurés parce qu’on ne les laissait pas lire (ou parce qu’on ne les laissait pas ne pas lire), d’autres les suivirent, estimant, fondamentalement, que l’espace quotidien du hangar s’était installé dans  la normalité freak, que ce n’était plus un événement assez subversif et radical : ça manquait d’extravagances, de blasphèmes et de nouveaux squelettes.
Dans l'intervalle, un troisième sous-groupe aux yeux cernés et à moitié zombie y restait jusqu'au petit matin sans remarquer le schisme (sans rien remarquer), ou divisait le temps à sa convenance, afin de pouvoir prendre des notes quand cela était nécessaire.

19 commentaires:

Sonita a dit…

À l’aube, un sous-groupe de participants a commencé à tenir leur propre événement où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement de la journée, des idées et des formes que l’on laissait de côté. Ce sous-groupe était mené par des auteurs (certains étaient des amis à moi) qui disaient se sentir censurés parce qu’on ne les laissait pas lire (ou parce qu’on ne les laissait pas ne pas lire), et d’autres les suivirent dont l’opinion était, en somme, que l’espace quotidien du hangar s’était installé dans la normalité freak, que ce n’était plus un événement assez subversif et radical : ça manquait d’humeurs, de blasphèmes et de nouveaux squelettes.
Entre-temps, un troisième sous-groupe aux yeux cernés et à moitié zombie épissait joyeusement l’aube avec la journée sans faire attention au schisme (sans faire attention à rien), ou divisait le temps a sa convenance afin de pouvoir prendre des notes quand cela était nécessaire.

Tradabordo a dit…

À l’aube, un sous-groupe de participants a commencé à tenir leur propre événement [peu clair / peut-être à cause de « tenir »] où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement de la journée [peu clair], des idées et des formes que l’on [ambigu / qui ? quoi ?] laissait de côté.

Sonita a dit…

À l’aube, un sous-groupe de participants a commencé à faire leur propre événement où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement qui se déroulait durant la journée, des idées et des formes qui étaient laissées de côté.

Tradabordo a dit…

À l’aube, un sous-groupe de participants a commencé à faire [il y a mieux] leur [grammaire] propre événement [virgule] où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement qui se déroulait durant la journée [pas clair / en référence à quoi ?], des idées et des formes qui étaient laissées de côté.

Sonita a dit…

À l’aube, un sous-groupe de participants a commencé à organiser son propre événement, où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement qui se déroulait durant les journées du Skate Fiction Days, des idées et des formes qui étaient laissées de côté.

Tradabordo a dit…

À l’aube, un sous-groupe de participants a commencé [nécessaire, au fait ?] à organiser son propre événement, où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement qui se déroulait durant les journées du Skate Fiction Days, [« ainsi que »?] des idées et des formes qui étaient laissées de côté.

Sonita a dit…

À l’aube, un sous-groupe de participants a organisé son propre événement, où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement qui se déroulait durant les journées du Skate Fiction Days, ainsi que des idées et des formes qui étaient laissées de côté. Ce sous-groupe était mené par des auteurs (certains étaient des amis à moi) qui disaient se sentir censurés parce qu’on ne les laissait pas lire (ou parce qu’on ne les laissait pas ne pas lire), et d’autres les suivirent dont l’opinion était, en somme, que l’espace quotidien du hangar s’était installé dans la normalité freak, que ce n’était plus un événement assez subversif et radical : ça manquait d’humeurs, de blasphèmes et de nouveaux squelettes.
Entre-temps, un troisième sous-groupe aux yeux cernés et à moitié zombie épissait joyeusement l’aube avec la journée sans faire attention au schisme (sans faire attention à rien), ou divisait le temps à sa convenance afin de pouvoir prendre des notes quand cela était nécessaire.

Tradabordo a dit…

À l’aube, un sous-groupe de participants a organisé son propre événement, où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement qui se déroulait durant les journées du Skate Fiction Days, ainsi que des idées et des formes qui étaient laissées de côté.

El subgrupo lo encabezaban autores (algunos de mis amigos) que decían sentirse censurados porque no los dejaban leer (o porque no los dejaban no leer), y tras ellos fueron otros cuya opinión era, básicamente, que el espacio diario del hangar se había acomodado en la normalidad freak, que ya no era suficientemente subversivo y radical: faltaban humores, blasfemias, esqueletos nuevos.

Ce [« Ledit » ?] sous-groupe était mené [bof] par des auteurs (certains étaient des amis à moi) qui disaient se sentir censurés parce qu’on ne les laissait pas lire (ou parce qu’on ne les laissait pas ne pas lire), et d’autres les suivirent dont [tu ne peux pas le construire comme] l’opinion était, en somme [FS], que l’espace quotidien du hangar s’était installé dans la normalité freak, que ce n’était plus un événement assez subversif et radical : ça manquait d’humeurs [sens ?], de blasphèmes et de nouveaux squelettes.

Sonita a dit…

Pour "humeurs", je trouve ceci dans le dico :
humeurs , nom féminin
Sens 1 Forme plurielle de humeur, un état d'esprit
qui perdure plus ou moins longtemps.
Exemple : J'en ai assez de ses humeurs changeantes. Il peut être tout à fait calme et se mettre subitement en colère sans raison.

Je pense que ça colle avec notre contexte où tout et n'importe quoi peut arriver lors de cet événement. Il y a de place pour tous types d'humeur, apparemment.

***
Ledit sous-groupe était dirigé par des auteurs (certains étaient des amis à moi) qui disaient se sentir censurés parce qu’on ne les laissait pas lire (ou parce qu’on ne les laissait pas ne pas lire), d’autres les suivirent et ils estimaient, fondamentalement, que l’espace quotidien du hangar s’était installé dans la normalité freak, que ce n’était plus un événement assez subversif et radical : ça manquait d’humeurs, de blasphèmes et de nouveaux squelettes.

Tradabordo a dit…

Non, car en français dans ce contexte, ça n'est pas clair et, surtout, pas naturel.

Sonita a dit…

Ledit sous-groupe était dirigé par des auteurs (certains étaient des amis à moi) qui disaient se sentir censurés parce qu’on ne les laissait pas lire (ou parce qu’on ne les laissait pas ne pas lire), d’autres les suivirent et ils estimaient, fondamentalement, que l’espace quotidien du hangar s’était installé dans la normalité freak, que ce n’était plus un événement assez subversif et radical : ça manquait d’extravagances, de blasphèmes et de nouveaux squelettes.

Tradabordo a dit…

Ledit sous-groupe était dirigé par des auteurs (certains étaient des amis à moi) qui disaient se sentir censurés parce qu’on ne les laissait pas lire (ou parce qu’on ne les laissait pas ne pas lire), d’autres les suivirent et ils [« , estimant »] estimaient, fondamentalement, que l’espace quotidien du hangar s’était installé dans la normalité freak, que ce n’était plus un événement assez subversif et radical : ça manquait d’extravagances, de blasphèmes et de nouveaux squelettes.

Sonita a dit…

À l’aube, un sous-groupe de participants a organisé son propre événement, où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement qui se déroulait durant les journées du Skate Fiction Days, ainsi que des idées et des formes qui étaient laissées de côté. Ledit sous-groupe était dirigé par des auteurs (certains étaient des amis à moi) qui disaient se sentir censurés parce qu’on ne les laissait pas lire (ou parce qu’on ne les laissait pas ne pas lire), d’autres les suivirent, estimant, fondamentalement, que l’espace quotidien du hangar s’était installé dans la normalité freak, que ce n’était plus un événement assez subversif et radical : ça manquait d’extravagances, de blasphèmes et de nouveaux squelettes.
Entre-temps, un troisième sous-groupe aux yeux cernés et à moitié zombie épissait joyeusement l’aube avec la journée sans faire attention au schisme (sans faire attention à rien), ou divisait le temps à sa convenance afin de pouvoir prendre des notes quand cela était nécessaire.

Tradabordo a dit…

À l’aube, un sous-groupe de participants a organisé son propre événement, où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement qui se déroulait durant les journées du Skate Fiction Days, ainsi que des idées et des formes qui étaient laissées de côté. Ledit sous-groupe était dirigé par des auteurs (certains étaient des amis à moi) qui disaient se sentir censurés parce qu’on ne les laissait pas lire (ou parce qu’on ne les laissait pas ne pas lire), d’autres les suivirent, estimant, fondamentalement, que l’espace quotidien du hangar s’était installé dans la normalité freak, que ce n’était plus un événement assez subversif et radical : ça manquait d’extravagances, de blasphèmes et de nouveaux squelettes.

Mientras tanto, un tercer subgrupo ojeroso y medio zombi empataba alegremente la madrugada con el día sin prestar atención al cisma (sin prestar atención a nada), o dividía el tiempo a su manera para poder tomar notas cuando fuera necesario.

Entre-temps [« Dans l'intervalle » ?], un troisième sous-groupe aux yeux cernés et à moitié zombie épissait [?] joyeusement l’aube avec la journée [virgule] sans faire attention [ou dans le sens de « remarquer » ? Je sais pas trop] au schisme (sans faire attention à rien), ou divisait le temps à sa convenance [virgule] afin de pouvoir prendre des notes quand cela était nécessaire.

Sonita a dit…

À l’aube, un sous-groupe de participants a organisé son propre événement, où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement qui se déroulait durant les journées du Skate Fiction Days, ainsi que des idées et des formes qui étaient laissées de côté. Ledit sous-groupe était dirigé par des auteurs (certains étaient des amis à moi) qui disaient se sentir censurés parce qu’on ne les laissait pas lire (ou parce qu’on ne les laissait pas ne pas lire), d’autres les suivirent, estimant, fondamentalement, que l’espace quotidien du hangar s’était installé dans la normalité freak, que ce n’était plus un événement assez subversif et radical : ça manquait d’extravagances, de blasphèmes et de nouveaux squelettes.

Dans l'intervalle, un troisième sous-groupe aux yeux cernés et à moitié zombie joignait joyeusement l’aube avec la journée, sans remarquer le schisme (sans rien remarquer), ou divisait le temps à sa convenance, afin de pouvoir prendre des notes quand cela était nécessaire.

Tradabordo a dit…

Dans l'intervalle, un troisième sous-groupe aux yeux cernés et à moitié zombie joignait joyeusement l’aube avec la journée [on ne comprend pas cette phrase], sans remarquer le schisme (sans rien remarquer), ou divisait le temps à sa convenance, afin de pouvoir prendre des notes quand cela était nécessaire.

Sonita a dit…

Dans l'intervalle, un troisième sous-groupe aux yeux cernés et à moitié zombie y restait jusqu'au petit matin sans remarquer le schisme (sans rien remarquer), ou divisait le temps à sa convenance, afin de pouvoir prendre des notes quand cela était nécessaire.

Tradabordo a dit…

Dans l'intervalle, un troisième sous-groupe aux yeux cernés et à moitié zombie y restait jusqu'au petit matin sans remarquer le schisme (sans rien remarquer), ou divisait le temps à sa convenance, afin de pouvoir prendre des notes quand cela était nécessaire.

OK.

Je colle. Tu peux ajouter la suite.

Sonita a dit…

On a fini avec cette phrase ;)

***

À l’aube, un sous-groupe de participants a organisé son propre événement, où, d’après eux, on abordait des thèmes qui n’étaient pas considérés sérieux ou importants lors de l’événement qui se déroulait durant les journées du Skate Fiction Days, ainsi que des idées et des formes qui étaient laissées de côté. Ledit sous-groupe était dirigé par des auteurs (certains étaient des amis à moi) qui disaient se sentir censurés parce qu’on ne les laissait pas lire (ou parce qu’on ne les laissait pas ne pas lire), d’autres les suivirent, estimant, fondamentalement, que l’espace quotidien du hangar s’était installé dans la normalité freak, que ce n’était plus un événement assez subversif et radical : ça manquait d’extravagances, de blasphèmes et de nouveaux squelettes.
Dans l'intervalle, un troisième sous-groupe aux yeux cernés et à moitié zombie y restait jusqu'au petit matin sans remarquer le schisme (sans rien remarquer), ou divisait le temps à sa convenance, afin de pouvoir prendre des notes quand cela était nécessaire.