Memorias de mi madre
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Sentadas en la cama, mi madre y yo, después de largas horas de conversación -entre historias familiares, parientes fallecidos, juegos de infancia, recuerdos escolares, trabajos pesados- mi madre recuerda, con una mezcla de tristeza y valentía, los maltratos, los golpes en la cara, la humillación, la necesidad de dejar a mis hermanos con algún conocido por miedo a que aquel monstruo les hiciera daño. Sin embargo, el destino, siempre tratando de saldar cuentas, vino a aquel hombre despiadado, a quien, sosteniendo relaciones con diferentes mujeres y repleto de deudas, le llegó su hora. Ahora mi madre, guerrera como siempre y después de muchos años, se presenta ante los desconocidos -con una sonrisa algo traviesa y un brillo especial en sus ojos- como felizmente viuda.
Traduction temporaire :
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Avec ma mère, nous sommes assises sur le lit. Après de longues heures de conversation - mêlant histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - elle se rappelle, dans un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères et sœurs à un proche, de peur que ce monstre ne leur fasse du mal. Toujours en train d'essayer de solder les comptes, le destin s'était cependant abattu sur cet homme sans pitié, qui avait eu des relations avec différentes femmes, était criblé de dettes et dont la dernière heure était arrivée. Maintenant, ma mère, pas moins battante après tant d'années, se présente devant les inconnus, un sourire un peu espiègle aux lèvres et une lueur spéciale dans le regard, en veuve heureuse.
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Sentadas en la cama, mi madre y yo, después de largas horas de conversación -entre historias familiares, parientes fallecidos, juegos de infancia, recuerdos escolares, trabajos pesados- mi madre recuerda, con una mezcla de tristeza y valentía, los maltratos, los golpes en la cara, la humillación, la necesidad de dejar a mis hermanos con algún conocido por miedo a que aquel monstruo les hiciera daño.
Ma mère et moi sommes assises sur le lit, après de longues heures de conversation - entre histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles. Ma mère se rappelle, avec un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères à une connaissance par peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
Auteure ?
Titre ?
Souviens-toi qu'à la fin, je fais le copier-coller avec tout.
Sentadas en la cama, mi madre y yo, después de largas horas de conversación -entre historias familiares, parientes fallecidos, juegos de infancia, recuerdos escolares, trabajos pesados- mi madre recuerda, con una mezcla de tristeza y valentía, los maltratos, los golpes en la cara, la humillación, la necesidad de dejar a mis hermanos con algún conocido por miedo a que aquel monstruo les hiciera daño.
Ma mère et moi sommes assises sur le lit [non, la syntaxe ne va pas],
après de longues heures de conversation - entre histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles. Ma mère se rappelle, avec un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères à une connaissance par peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Assises sur le lit, ma mère et moi, après de longues heures de conversation - entre histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - elle se rappelle, avec un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères à une connaissance de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Assises sur le lit, ma mère et moi, après de longues heures de conversation [la syntaxe n'est pas géniale]
- entre histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - elle se rappelle, avec un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères à une connaissance de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Assises sur le lit, après de longues heures de conversation - entre histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - je suis avec ma mère qui se rappelle, dans un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères à une connaissance de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Commence par : Avec ma mère, nous sommes assises…
Assises sur le lit, après de longues heures de conversation - entre histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - je suis avec ma mère qui se rappelle, dans un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères à une connaissance de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Avec ma mère, nous sommes assises sur le lit, après de longues heures de conversation - entre histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - et elle se rappelle, dans un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères à une connaissance de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Avec ma mère, nous sommes assises sur le lit, [point ?] après de longues heures de conversation - entre [nécessaire ? ou adapté ?] histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - et [du coup, supp] elle se rappelle, dans un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères [juste des garçons ?] à une connaissance de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Avec ma mère, nous sommes assises sur le lit. Après de longues heures de conversation - mêlant histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - elle se rappelle, dans un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères et sœurs à une connaissance de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Avec ma mère, nous sommes assises sur le lit. Après de longues heures de conversation - mêlant histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - elle se rappelle, dans un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères et sœurs à une connaissance [pas très clair] de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Avec ma mère, nous sommes assises sur le lit. Après de longues heures de conversation - mêlant histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - elle se rappelle, dans un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères et sœurs à un proche de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Avec ma mère, nous sommes assises sur le lit. Après de longues heures de conversation - mêlant histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - elle se rappelle, dans un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères et sœurs à un proche [virgule ?] de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Avec ma mère, nous sommes assises sur le lit. Après de longues heures de conversation - mêlant histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - elle se rappelle, dans un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères et sœurs à un proche, de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
ANA MARÍA BUITRAGO ANTORVEZA
Mémoires de ma mère
Avec ma mère, nous sommes assises sur le lit. Après de longues heures de conversation - mêlant histoires de famille, parents défunts, jeux d'enfance, souvenirs d'école, travaux pénibles - elle se rappelle, dans un mélange de tristesse et de courage, les mauvais traitements, les coups au visage, l'humiliation, la nécessité de laisser mes frères et sœurs à un proche, de peur que ce monstre ne leur fasse du mal.
OK.
J'ai collé le début ; tu n'as plus qu'à enchaîner.
Sin embargo, el destino, siempre tratando de saldar cuentas, vino a aquel hombre despiadado, a quien, sosteniendo relaciones con diferentes mujeres y repleto de deudas, le llegó su hora. Ahora mi madre, guerrera como siempre y después de muchos años, se presenta ante los desconocidos -con una sonrisa algo traviesa y un brillo especial en sus ojos- como felizmente viuda.
Cependant, le destin, cherchant toujours à solder les comptes, s'est abattu sur cet homme sans pitié qui entretenait des relations avec différentes femmes, était bourré de dettes et a vu arriver sa dernière heure.
Maintenant, ma mère, toujours battante après de nombreuses années, se présente devant les inconnus, un sourire un peu espiègle aux lèvres et une lueur spéciale dans le regard, comme heureusement veuve.
Sin embargo, el destino, siempre tratando de saldar cuentas, vino a aquel hombre despiadado, a quien, sosteniendo relaciones con diferentes mujeres y repleto de deudas, le llegó su hora.
Cependant, le destin, cherchant toujours [fluide ? Vois si tu as une autre solution ; sinon, tant pis…] à solder les comptes, s'est abattu sur cet homme sans pitié [virgule ? J'hésite] qui entretenait des relations [sexuelles ou pas ? Si oui, je me demande si entretenir est le bon verbe…] avec différentes femmes, était bourré [« criblé » ?] de dettes et a vu [j'hésite sur le passé composé. Si on change, est-ce que ça changera des choses dans ce qu'on a fait avant ?] arriver sa dernière heure.
Cependant, le destin, toujours en train d'essayer de solder les comptes, s'était abattu sur cet homme sans pitié, qui avait eu des relations avec différentes femmes, était criblé de dettes et dont la dernière heure était arrivée. [le passé simple me paraît bizarre avec le début que nous avons déjà traduit. J'ai tenté le plus-que-parfait]
Cependant, le destin, toujours en train d'essayer de solder les comptes [ou : « Toujours…………, le destin s'est cependant » ? Je me demande si ce ne serait pas plus fluide], s'était abattu sur cet homme sans pitié, qui avait eu des relations avec différentes femmes, était criblé de dettes et dont la dernière heure était arrivée.
Toujours en train d'essayer de solder les comptes, le destin s'était cependant abattu sur cet homme sans pitié, qui avait eu des relations avec différentes femmes, était criblé de dettes et dont la dernière heure était arrivée.
Sin embargo, el destino, siempre tratando de saldar cuentas, vino a aquel hombre despiadado, a quien, sosteniendo relaciones con diferentes mujeres y repleto de deudas, le llegó su hora.
Toujours en train d'essayer de solder les comptes, le destin s'était cependant abattu sur cet homme sans pitié, qui avait eu des relations avec différentes femmes, était criblé de dettes et dont la dernière heure était arrivée.
OK.
Ahora mi madre, guerrera como siempre y después de muchos años, se presenta ante los desconocidos -con una sonrisa algo traviesa y un brillo especial en sus ojos- como felizmente viuda.
Maintenant, ma mère, encore battante après tant d'années, se présente devant les inconnus, un sourire un peu espiègle aux lèvres et une lueur spéciale dans le regard, comme heureusement veuve.
Ahora mi madre, guerrera como siempre y después de muchos años, se presenta ante los desconocidos -con una sonrisa algo traviesa y un brillo especial en sus ojos- como felizmente viuda.
Maintenant, ma mère, encore [« toujours aussi » ?] battante après tant d'années, se présente devant les inconnus, un sourire un peu espiègle aux lèvres et une lueur spéciale dans le regard, comme heureusement veuve [naturel ?].
Ahora mi madre, guerrera como siempre y después de muchos años, se presenta ante los desconocidos -con una sonrisa algo traviesa y un brillo especial en sus ojos- como felizmente viuda.
Maintenant, ma mère, encore [« toujours aussi » ? ---> oui c'est ce que j'avais mis mais la phrase du morceau précédent commence par "Toujours en train de..." ] battante après tant d'années, se présente devant les inconnus, un sourire un peu espiègle aux lèvres et une lueur spéciale dans le regard, comme une heureuse veuve.
Ahora mi madre, guerrera como siempre y después de muchos años, se presenta ante los desconocidos -con una sonrisa algo traviesa y un brillo especial en sus ojos- como felizmente viuda.
Maintenant, ma mère, encore [« pas moins » ?] battante après tant d'années, se présente devant les inconnus, un sourire un peu espiègle aux lèvres et une lueur spéciale dans le regard, comme une heureuse veuve [« en veuve heureuse » ?].
Ahora mi madre, guerrera como siempre y después de muchos años, se presenta ante los desconocidos -con una sonrisa algo traviesa y un brillo especial en sus ojos- como felizmente viuda.
Maintenant, ma mère, pas moins battante après tant d'années, se présente devant les inconnus, un sourire un peu espiègle aux lèvres et une lueur spéciale dans le regard, en veuve heureuse.
Ahora mi madre, guerrera como siempre y después de muchos años, se presenta ante los desconocidos -con una sonrisa algo traviesa y un brillo especial en sus ojos- como felizmente viuda.
Maintenant, ma mère, pas moins battante après tant d'années, se présente devant les inconnus, un sourire un peu espiègle aux lèvres et une lueur spéciale dans le regard, en veuve heureuse.
OK.
Je te mets un autre texte de Basta ! Colombie.
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