mercredi 24 mai 2017

Projet Elsa / Sabrina – phrases 7-9

Su sayo blanco, algo raído ya, ceñido a la cintura y escotado de acuerdo a la moda que le tocó vivir, estaba manchado de crema y migajas. Nadie la había traído jamás, me dijo, desde su muerte; siglos creía llevar sumida en una oscuridad con olor a tierra. ¿Cuánto tiempo ha pasado?, me preguntó sorprendida.

Traduction temporaire :
 Sa tunique blanche, déjà passablement usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais convoquée, depuis sa mort, m'a-t-elle confié ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

26 commentaires:

Unknown a dit…

Sa tunique blanche, un peu usée maintenant, cintrée et décolletée, comme le voulait la mode à son époque, était tachée de crème et de miettes. Personne ne l’avait jamais ramenée, me révéla-t-elle, depuis sa mort ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps est passé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Sabrina a dit…

Sa tunique blanche, déjà quelque peu usée, ajustée à la taille et décolletée en accord avec la mode de son époque, était tâchée de crème et de miettes. Personne ne l'avait jamais ramenée ici, m'a-t-elle confié, depuis sa mort ; elle croyait passer des siècles, plongée dans l'obscurité à l'odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m'a-t-elle demandé, surprise.

Tradabordo a dit…

Je prends la première traduction postée.

Sa tunique blanche, un peu usée maintenant [ou « à présent » ? Je vous laisse évaluer, y compris avec la propo de Sabrina], cintrée [j'hésite ; ça se dit pour une « tunique » ?] et décolletée, comme le voulait [ou : « conformément à » ? Je vous laisse évaluer] la mode à son époque, était tachée de crème et de miettes [« tachée de miettes » ?]. Personne ne l’avait jamais ramenée [clair ?], me révéla[la soluss de Sabrina ?]-t-elle, depuis sa mort ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps est passé [soluss de Sabrina ?] ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Unknown a dit…

Sa tunique blanche, déjà quelque peu usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et remplie de miettes. Personne ne l’avait jamais fait [je dirais "faite", mais ça fait pas bizarre? / mais "ramenéé" me semble aussi clair que dans la VO] revenir, m'a-t-elle confié, depuis sa mort ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Tradabordo a dit…

Sa tunique blanche, déjà quelque peu usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et remplie [mal dit] de miettes. Personne ne l’avait jamais fait [je dirais "faite", mais ça fait pas bizarre? / mais "ramenéé" me semble aussi clair que dans la VO //// quelle est l'idée ? Je ne veux pas que tu me le traduises, mais m'expliques ce que l'auteure a voulu dire] revenir, m'a-t-elle confié, depuis sa mort ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Sabrina a dit…

Je dirais que "regresar" a le même sens que dans le fragment précédent : tirer de l'oubli, ramener parmi les vivants.

Sa tunique blanche, déjà quelque peu usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais ramenée ici parmi nous, m'a-t-elle confié, depuis sa mort ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Unknown a dit…

je dirais que "traido" a le sens de "faire revenir" le mort (j'ajouterais, puisque c'est dans le cadre du jour des morts, le faire revenir le temps des festivités )

Sa tunique blanche, déjà quelque peu usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais ramenée ici parmi nous [c'est Elsa qui parle : je ne pense pas que "ici parmi nous" traduise l'idée] , m'a-t-elle confié, depuis sa mort ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Tradabordo a dit…

Sa tunique blanche, déjà quelque peu [dans le sens de « passablement » ?] usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais ramenée ici [virgule] parmi nous, m'a-t-elle confié, depuis sa mort [elle a confié depuis sa mort / ou ramenée depuis sa mort… ambigu] ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles [cheville : « durant » ou inutile ? Comme vous voulez…] dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Tradabordo a dit…

Elsa, nos commentaires se sont croisés. Regarde ce que je dis à Sabrina et enchaîne.

Sabrina a dit…

Oui, c'est aussi comme ça que j'avais compris "traido". En déplaçant le CC de temps, ça permettrait alors de lever l'ambiguïté.
Je trouve que c'est mieux sans la cheville ;)
Oui à "passablement", j'aime bcp, merci :)

Sa tunique blanche, déjà passablement usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais ramenée ici, parmi nous, depuis sa mort, m'a-t-elle confié ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Tradabordo a dit…

Sa tunique blanche, déjà passablement usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais ramenée ici, parmi nous, depuis sa mort, m'a-t-elle confié ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

OK.

Elsa ?

Unknown a dit…

Je pense que "ici, parmi nous" est en trop parce que je comprends que personne ne l'a jamais convoquée, et dans la trad comme ça, on comprend qu'elle a pu revenir autre part, convoquée par quelqu'un d'autre... non??

Tradabordo a dit…

Le cas échéant, demandez à Elena…, pour avoir un œil neuf.

Sabrina a dit…

"Ici, parmi nous" signifie "ici, dans le monde des vivants", pas "ici, dans la famille / dans la maison de famille". Sans rien, ça fait un peu bizarre, je trouve. Mais le but n'est pas de rajouter une ambiguïté alors oui, on va appeler Elena à la rescousse ;)

Tradabordo a dit…

OK. Dites-moi quand elle vous aura répondu.

Anonyme a dit…

Elena propose "ramenée à la vie". Pour ma part, je suis tout à fait ok. Et vous ?

Sa tunique blanche, déjà passablement usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais ramenée à la vie, depuis sa mort, m'a-t-elle confié ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Tradabordo a dit…

Sa tunique blanche, déjà passablement usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais ramenée à la vie, depuis sa mort, m'a-t-elle confié ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

OK.

Elsa ?

Unknown a dit…

Je suis désolée de faire ma rabat-joie, mais je pense que "ramenée" tout court serait mieux... Si on laisse "à la vie", on dirait qu'il lui redonne la vie, qu'elle redevient vivante, en chair et en os. Or, si je comprends bien, Rosenda est une âme, un "ente", qu'on convoque normalement le temps des festivités, et qu'on doit laisser repartir après, chose que ne fait pas le/la protagoniste justement...non??

Tradabordo a dit…

Re-demandez à Elena avec l'argument d'Elsa.

Anonyme a dit…

Et si on disait "convoquée" ou "faite revenir" ?

Sa tunique blanche, déjà passablement usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais convoquée ["faite revenir " si vous préférez], depuis sa mort, m'a-t-elle confié ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Tradabordo a dit…

Elsa, ton avis ?

Unknown a dit…

J avais proposé "faite revenir" et ça avait soulevé un souci de clarté, donc "convoquée" me semble parfait!

Tradabordo a dit…

Dans ce cas, remettez la bonne version.

Unknown a dit…

Sa tunique blanche, déjà passablement usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais convoquée, depuis sa mort, m'a-t-elle confié ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Anonyme a dit…

Oup's, j'avais oublié, Elsa.

Sa tunique blanche, déjà passablement usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais convoquée, depuis sa mort, m'a-t-elle confié ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

Tradabordo a dit…


Sa tunique blanche, déjà passablement usée, ajustée à la taille et décolletée, conformément à la mode de son époque, était tachée de crème et parsemée de miettes. Personne ne l’avait jamais convoquée, depuis sa mort, m'a-t-elle confié ; elle avait l’impression d’être restée plongée des siècles dans une obscurité à l’odeur de terre. Combien de temps s'est-il écoulé ? m’a-t-elle demandé, surprise.

OK.