―¡Oh, venga, Samuel! Nosotros no tenemos insertadas en el cerebro unas leyes que rijan nuestro comportamiento. Podemos saltarnos nuestras propias normas tantas veces como queramos. De hecho, lo hacemos a menudo; probablemente demasiado a menudo. Se llama “libre albedrío”.
Danny frunce el ceño en un gesto de desagrado. Intenta ocultarlo tras una ligera sonrisa que lo transforma en eso que los humanos llaman “ironía”. Apura el último sorbo de la taza y la aparta de sí. Empieza a levantarse de la silla. Entonces, hablo.
Danny frunce el ceño en un gesto de desagrado. Intenta ocultarlo tras una ligera sonrisa que lo transforma en eso que los humanos llaman “ironía”. Apura el último sorbo de la taza y la aparta de sí. Empieza a levantarse de la silla. Entonces, hablo.
Traduction temporaire :
― Oh, voyons, Samuel ! Aucune loi n'est insérée dans le cerveau humain pour régir notre comportement. Nous pouvons enfreindre nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire que les hommes nomment l'« ironie ». Il avale sa dernière gorgée et repose la tasse. Il commence à se lever. À ce moment, je prends la parole.
― Oh, voyons, Samuel ! Aucune loi n'est insérée dans le cerveau humain pour régir notre comportement. Nous pouvons enfreindre nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire que les hommes nomment l'« ironie ». Il avale sa dernière gorgée et repose la tasse. Il commence à se lever. À ce moment, je prends la parole.
16 commentaires:
―¡Oh, venga, Samuel! Nosotros no tenemos insertadas en el cerebro unas leyes que rijan nuestro comportamiento. Podemos saltarnos nuestras propias normas tantas veces como queramos. De hecho, lo hacemos a menudo; probablemente demasiado a menudo. Se llama “libre albedrío”.
Danny frunce el ceño en un gesto de desagrado. Intenta ocultarlo tras una ligera sonrisa que lo transforma en eso que los humanos llaman “ironía”. Apura el último sorbo de la taza y la aparta de sí. Empieza a levantarse de la silla. Entonces, hablo.
― Ne dis pas n'importe quoi, Samuel ! Aucune loi insérée dans notre cerveau ne régit notre comportement. Nous pouvons contourner nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ». Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire qui le transforme en ce que les humains nomment l'« ironie ». Il termine la dernière gorgée et écarte la tasse. Il commence à se lever. Alors, je prends la parole.
―¡Oh, venga, Samuel! Nosotros no tenemos insertadas en el cerebro unas leyes que rijan nuestro comportamiento. Podemos saltarnos nuestras propias normas tantas veces como queramos. De hecho, lo hacemos a menudo; probablemente demasiado a menudo. Se llama “libre albedrío”.
Danny frunce el ceño en un gesto de desagrado. Intenta ocultarlo tras una ligera sonrisa que lo transforma en eso que los humanos llaman “ironía”. Apura el último sorbo de la taza y la aparta de sí. Empieza a levantarse de la silla. Entonces, hablo.
― Ne dis pas n'importe quoi, Samuel [surtraduit ?] ! Aucune loi insérée dans notre cerveau ne régit notre comportement [pas moyen de rester plus près de la V.O. ? Ça va, mais je remarque que plus ça va, plus tu t'éloignes du texte… attention au piège de la réécriture ;-) Je te laisse voir et éventuellement re-jeter un œil à la suite]. Nous pouvons contourner nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ». Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire qui le transforme en ce que les humains nomment l'« ironie ». Il termine la dernière gorgée et écarte la tasse. Il commence à se lever. Alors, je prends la parole.
―¡Oh, venga, Samuel! Nosotros no tenemos insertadas en el cerebro unas leyes que rijan nuestro comportamiento. Podemos saltarnos nuestras propias normas tantas veces como queramos. De hecho, lo hacemos a menudo; probablemente demasiado a menudo. Se llama “libre albedrío”.
Danny frunce el ceño en un gesto de desagrado. Intenta ocultarlo tras una ligera sonrisa que lo transforma en eso que los humanos llaman “ironía”. Apura el último sorbo de la taza y la aparta de sí. Empieza a levantarse de la silla. Entonces, hablo.
― Oh, voyons, Samuel ! Nous, nous n'avons aucune loi insérée dans le cerveau qui régisse notre comportement. Nous pouvons contourner nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire qui le transforme en ce que les humains nomment l'« ironie ». Il termine la dernière gorgée et éloigne la tasse. Il commence à se lever. Alors, je prends la parole.
OK
―¡Oh, venga, Samuel! Nosotros no tenemos insertadas en el cerebro unas leyes que rijan nuestro comportamiento. Podemos saltarnos nuestras propias normas tantas veces como queramos. De hecho, lo hacemos a menudo; probablemente demasiado a menudo. Se llama “libre albedrío”.
Danny frunce el ceño en un gesto de desagrado. Intenta ocultarlo tras una ligera sonrisa que lo transforma en eso que los humanos llaman “ironía”. Apura el último sorbo de la taza y la aparta de sí. Empieza a levantarse de la silla. Entonces, hablo.
― Oh, voyons, Samuel ! Nous, nous n'avons aucune loi insérée dans le cerveau qui régisse [ou : « pour régir » ?] notre comportement. Nous pouvons contourner [« enfreindre » ?] nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire qui le transforme en ce que [naturel et fluide ? J'hésite] les humains nomment l'« ironie ». Il termine la dernière gorgée et éloigne la tasse [naturel ?]. Il commence à se lever. Alors, je [enchaînement avec la phrase précédente ?] prends la parole.
― Oh, voyons, Samuel ! Nous, nous n'avons aucune loi insérée dans le cerveau pour régir notre comportement. Nous pouvons enfreindre nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire que les humains nomment l'« ironie ». Il termine la dernière gorgée et repose la tasse. Il commence à se lever. À ce moment, je prends la parole.
― Oh, voyons, Samuel ! Nous, nous n'avons aucune loi insérée dans le cerveau pour régir notre comportement [pas plus fluide avec : « Aucune loi n'est………… » ? Essaie et vois ce qui est mieux]. Nous pouvons enfreindre nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire que les humains nomment l'« ironie ». Il termine la [possessif ?] dernière gorgée et repose la tasse. Il commence à se lever. À ce moment, je prends la parole.
― Oh, voyons, Samuel ! Aucune loi insérée dans le cerveau ne régit notre comportement. Nous pouvons enfreindre nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire que les humains nomment l'« ironie ». Il prend sa dernière gorgée et repose la tasse. Il commence à se lever. À ce moment, je prends la parole.
― Oh, voyons, Samuel ! Aucune loi insérée dans le cerveau [ça fait bizarre ; on se demande de quel cerveau il s'agit…] ne régit notre comportement. Nous pouvons enfreindre nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire que les humains nomment l'« ironie ». Il prend [« avale » ?] sa dernière gorgée et repose la tasse. Il commence à se lever. À ce moment, je prends la parole.
― Oh, voyons, Samuel ! Aucune loi insérée dans notre cerveau ne régit notre comportement. Nous pouvons enfreindre nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire que les humains nomment l'« ironie ». Il avale sa dernière gorgée et repose la tasse. Il commence à se lever. À ce moment, je prends la parole.
― Oh, voyons, Samuel ! Aucune loi insérée dans notre cerveau ne régit notre comportement [ça reste peu fluide ; je pense que tu devrais reformuler complètement. Comment le dirais-tu spontanément en français ?]. Nous pouvons enfreindre nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire que les humains nomment l'« ironie ». Il avale sa dernière gorgée et repose la tasse. Il commence à se lever. À ce moment, je prends la parole.
― Oh, voyons, Samuel ! Aucune loi n'est insérée dans le cerveau humain pour régir notre comportement. Nous pouvons enfreindre nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire que les hommes nomment l'« ironie ». Il avale sa dernière gorgée et repose la tasse. Il commence à se lever. À ce moment, je prends la parole.
― Oh, voyons, Samuel ! Aucune loi n'est insérée dans le cerveau humain pour régir notre comportement. Nous pouvons enfreindre nos propres règles autant que nous le voulons. D'ailleurs, on le fait souvent, probablement trop. On appelle ça le « libre arbitre ».
Danny fronce les sourcils, l'air contrarié. Il tente de le dissimuler derrière un léger sourire que les hommes nomment l'« ironie ». Il avale sa dernière gorgée et repose la tasse. Il commence à se lever. À ce moment, je prends la parole.
OK.
Sébastien ?
Je ne me souviens plus si la suite est déjà publiée. Dites-moi ce que je dois faire.
Ne publie pas la suite, il me reste un passage à traduire avant de rejoindre Sébastien.
OK. Donc, je ne touche à rien.
OK
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