GRACIELA YÁÑEZ VICENTINI
TARÁNTULA
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña? Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece. Me molestan tus patas profundamente. Deja ya de moverte bicho asqueroso.
Si quieres escóndete ahí en la esquina. En las sombras donde no te ves y no significas nada en esta vida. Ahí debajo de la cama es el mejor rincón de la habitación.
Encima me dueles hasta las entrañas.
TARÁNTULA
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña? Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece. Me molestan tus patas profundamente. Deja ya de moverte bicho asqueroso.
Si quieres escóndete ahí en la esquina. En las sombras donde no te ves y no significas nada en esta vida. Ahí debajo de la cama es el mejor rincón de la habitación.
Encima me dueles hasta las entrañas.
Traduction temporaire :
Graciela Yáñez Vicentini
Tarantule
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée ? Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée si ce qui me gêne tant chez elles est précisément ce mouvement nerveux, menaçant ? Celui d’un animal qui ne reste jamais tranquille, d'un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou. Tes pattes me dérangent profondément. Arrête de bouger une fois pour toute, espèce de bestiole dégoûtante.
Cache-toi là, dans le coin, si tu veux. Au cœur de l'ombre, où on ne te voit pas et où dans cette vie tu ne signifies rien. Là, sous le lit, le meilleur recoin de la chambre.
Dessus, tu me fais mal jusque dans les tripes.
Graciela Yáñez Vicentini
Tarantule
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée ? Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée si ce qui me gêne tant chez elles est précisément ce mouvement nerveux, menaçant ? Celui d’un animal qui ne reste jamais tranquille, d'un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou. Tes pattes me dérangent profondément. Arrête de bouger une fois pour toute, espèce de bestiole dégoûtante.
Cache-toi là, dans le coin, si tu veux. Au cœur de l'ombre, où on ne te voit pas et où dans cette vie tu ne signifies rien. Là, sous le lit, le meilleur recoin de la chambre.
Dessus, tu me fais mal jusque dans les tripes.
37 commentaires:
GRACIELA YÁÑEZ VICENTINI
TARÁNTULA
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña?
Graciela Yáñez Vicentini
Tarantule
Les araignées ne meurent jamais. Tu les écrases, et leurs pattes s’agitent comme des folles. Pour quelle raison j’essaierais de tuer une araignée ?
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña?
Graciela Yáñez Vicentini
Tarantule
Les araignées ne meurent jamais. [« Quand » ? Je pense que ce sera plus naturel…] Tu les écrases, et leurs pattes s’agitent comme des folles. Pour quelle raison j’essaierais de tuer une araignée [texte] ?
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña?
Graciela Yáñez Vicentini
Tarantule
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaye de tuer une araignée ?
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña?
Graciela Yáñez Vicentini
Tarantule
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles [ou avec l'adverbe ? J'hésite… Essaie les deux et vois ce qui est mieux]. Quel sens cela a-t-il que j'essaye [essaie ?] de tuer une araignée ?
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña?
Graciela Yáñez Vicentini
Tarantule
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée ?
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña?
Graciela Yáñez Vicentini
Tarantule
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée ?
OK.
Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Si ce qui me gêne tant est précisément ce mouvement nerveux, menaçant, d’un animal qui ne reste tranquille en aucun cas ; un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou.
Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Si [tu crois pas qu'il manque l'accent en esp. ?] ce qui me gêne tant est précisément ce mouvement nerveux, menaçant, d’un animal qui ne reste tranquille en aucun cas ; un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou.
Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Si [tu crois pas qu'il manque l'accent en esp. ? / Je suis d'accord : soit il manque l'accent en espagnol, soit la ponctuation est à revoir] ce qui me gêne tant est précisément ce mouvement nerveux, menaçant, d’un animal qui ne reste tranquille en aucun cas ; un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou.
Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Si [tu crois pas qu'il manque l'accent en esp. ? / Je suis d'accord : soit il manque l'accent en espagnol, soit la ponctuation est à revoir /// je pense qu'il manque l'accent] ce qui me gêne tant est précisément ce mouvement nerveux, menaçant, d’un animal qui ne reste tranquille en aucun cas ; un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou.
Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Effectivement [on n'aurait pas besoin d'une conjonction de cause, ici ?], ce qui me gêne tant, c'est précisément ce mouvement nerveux, menaçant, d’un animal qui ne reste tranquille en aucun cas ; un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou.
Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Effectivement [on n'aurait pas besoin d'une conjonction de cause, ici ?], ce qui me gêne tant, c'est précisément ce mouvement nerveux, menaçant, d’un animal qui ne reste tranquille en aucun cas ; un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou.Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Attends, demande qd même son avis à Elena sur cette histoire de coquille ; histoire qu'on ne fasse pas d'erreur.
Elena a posté un commentaire, mais apparemment il y a eu un bug au moment de le publier. Voici ce qu'elle y disait, peu ou prou : "Il n'y a pas de coquille, le narrateur se dit que puisque ce qui la dérange est le mouvement nerveux de la tarentule au moment de la mort, les tuer n'a aucun sens".
OK. Alors voyons ce que cela donne.
Je recolle depuis le début pour nous rafraîchir la mémoire, et pour corriger une faute d'orthographe que nous avons laissée passer dans le titre.
Graciela Yáñez Vicentini
Tarentule
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée ?
Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Si ce qui me gêne tant est précisément ce mouvement nerveux, menaçant, d’un animal qui ne reste tranquille en aucun cas ; un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou.
Graciela Yáñez Vicentini
Tarentule
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée ?
Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Si ce qui me gêne tant est précisément ce mouvement nerveux, menaçant, d’un animal qui ne reste tranquille en aucun cas ; un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou.
L'ensemble manque beaucoup de fluidité.
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña? Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée si ce qui me gêne tant est précisément ce mouvement nerveux, menaçant ? Celui d’un animal qui ne reste tranquille en aucun cas, d'un animal malade qui transmet des maladies, qui est aux aguets, qui joue avec tes nerfs et te rend fou.
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña? Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée si ce qui me gêne tant [cheville : chez elles ?] est précisément ce mouvement nerveux, menaçant ? Celui d’un animal qui ne reste tranquille en aucun cas [mal dit / fluidité], d'un animal malade qui transmet des maladies, qui [nécessaire ?] est aux aguets, qui [idem ?] joue avec tes nerfs et te rend fou.
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña? Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée si ce qui me gêne tant chez elles est précisément ce mouvement nerveux, menaçant ? Celui d’un animal qui ne reste jamais tranquille, d'un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou.
Las arañas nunca mueren. Las pisas y sus patas se agitan como locas. ¿Qué sentido tiene que trate de matar una araña? Si lo que me molesta tanto es precisamente ese movimiento nervioso, amenazante, de un animal que no se queda quieto de ninguna forma; un animal enfermo que enferma y acecha y te altera los nervios y te enloquece.
Les araignées ne meurent jamais. Quand tu les écrases, leurs pattes s’agitent comme des folles. Quel sens cela a-t-il que j'essaie de tuer une araignée si ce qui me gêne tant chez elles est précisément ce mouvement nerveux, menaçant ? Celui d’un animal qui ne reste jamais tranquille, d'un animal malade qui transmet des maladies, est aux aguets, joue avec tes nerfs et te rend fou.
OK.
Me molestan tus patas profundamente. Deja ya de moverte bicho asqueroso.
Si quieres escóndete ahí en la esquina.
Tes pattes me dérangent profondément. Arrête de bouger maintenant, espèce de bestiole dégoûtante.
Cache-toi là, dans le coin, si tu veux.
Me molestan tus patas profundamente. Deja ya de moverte bicho asqueroso.
Si quieres escóndete ahí en la esquina.
Tes pattes me dérangent profondément. Arrête de bouger maintenant [je pense que c'est dans le sens « une fois pour toute »], espèce de bestiole dégoûtante.
Cache-toi là, dans le coin, si tu veux.
Me molestan tus patas profundamente. Deja ya de moverte bicho asqueroso.
Si quieres escóndete ahí en la esquina.
Tes pattes me dérangent profondément. Arrête de bouger une fois pour toute, espèce de bestiole dégoûtante.
Cache-toi là, dans le coin, si tu veux.
Me molestan tus patas profundamente. Deja ya de moverte bicho asqueroso.
Si quieres escóndete ahí en la esquina.
Tes pattes me dérangent profondément. Arrête de bouger une fois pour toute, espèce de bestiole dégoûtante.
Cache-toi là, dans le coin, si tu veux.
Me molestan tus patas profundamente. Deja ya de moverte bicho asqueroso.
Si quieres escóndete ahí en la esquina.
Tes pattes me dérangent profondément. Arrête de bouger une fois pour toute, espèce de bestiole dégoûtante.
Cache-toi là, dans le coin, si tu veux.
OK.
En las sombras donde no te ves y no significas nada en esta vida. Ahí debajo de la cama es el mejor rincón de la habitación.
Encima me dueles hasta las entrañas.
Dans la pénombre, où on ne te voit pas et où tu ne signifies rien dans cette vie. Là, sous le lit, le meilleur recoin de la chambre.
Sur le lit, tu me fais mal jusque dans les tripes.
En las sombras donde no te ves y no significas nada en esta vida. Ahí debajo de la cama es el mejor rincón de la habitación.
Encima me dueles hasta las entrañas.
Dans la pénombre [texte ?], où on ne te voit pas et où tu ne signifies rien dans cette vie [placé avant ? Essaie et vois ce que ça donne]. Là, sous le lit, le meilleur recoin de la chambre.
Sur le lit [?], tu me fais mal jusque dans les tripes.
En las sombras donde no te ves y no significas nada en esta vida. Ahí debajo de la cama es el mejor rincón de la habitación.
Encima me dueles hasta las entrañas.
Dans l'ombre, où on ne te voit pas et où dans cette vie tu ne signifies rien. Là, sous le lit, le meilleur recoin de la chambre.
Dessus, tu me fais mal jusque dans les tripes.
En las sombras donde no te ves y no significas nada en esta vida. Ahí debajo de la cama es el mejor rincón de la habitación.
Encima me dueles hasta las entrañas.
Dans l'ombre, où on ne te voit pas et où dans [embêtant ces deux « dans » ; ça mets sur le même plan ce qui ne l'est pas… Je pense que ce sera plus simple de changer le premier] cette vie tu ne signifies rien. Là, sous le lit, le meilleur recoin de la chambre.
Dessus, tu me fais mal jusque dans les tripes.
Je bloque pour le remplacement du premier "dans"... Ma proposition me satisfait moyennement car elle change quand même pas mal le texte original :
En las sombras donde no te ves y no significas nada en esta vida. Ahí debajo de la cama es el mejor rincón de la habitación.
Encima me dueles hasta las entrañas.
À l'abri de la lumière, où on ne te voit pas et où dans cette vie tu ne signifies rien. Là, sous le lit, le meilleur recoin de la chambre.
Dessus, tu me fais mal jusque dans les tripes.
En las sombras donde no te ves y no significas nada en esta vida. Ahí debajo de la cama es el mejor rincón de la habitación.
Encima me dueles hasta las entrañas.
À l'abri de la lumière [« Au cœur de l'ombre »], où on ne te voit pas et où dans cette vie tu ne signifies rien. Là, sous le lit, le meilleur recoin de la chambre.
Dessus, tu me fais mal jusque dans les tripes.
En las sombras donde no te ves y no significas nada en esta vida. Ahí debajo de la cama es el mejor rincón de la habitación.
Encima me dueles hasta las entrañas.
Au cœur de l'ombre, où on ne te voit pas et où dans cette vie tu ne signifies rien. Là, sous le lit, le meilleur recoin de la chambre.
Dessus, tu me fais mal jusque dans les tripes.
En las sombras donde no te ves y no significas nada en esta vida. Ahí debajo de la cama es el mejor rincón de la habitación.
Encima me dueles hasta las entrañas.
Au cœur de l'ombre, où on ne te voit pas et où dans cette vie tu ne signifies rien. Là, sous le lit, le meilleur recoin de la chambre.
Dessus, tu me fais mal jusque dans les tripes.
OK.
Juste une petite suggestion, ya que estoy ;-)
Au cœur de l'ombre, où on ne te voit pas et où dans cette vie tu ne signifies rien. Là, sous le lit, le meilleur recoin de la chambre.
Dessus, tu me fais mal jusque dans les tripes. → ["jusqu'aux entrailles" ?]
Chloé, ton avis ?
Merci, Elena !
Effectivement, ça se discute... Peut-être ai-je une préférence pour la première version, car elle a le mérite de conserver la préposition "dans". Caroline, tu as une préférence?
Entrailles.
Enregistrer un commentaire