lundi 6 octobre 2014

Projet Joachim 3 – phrase 89

Escuchaba su respiración agitada y entrecortada, la respiración de un animal en el silencio del ascensor,  la caja hermética gris, sin espejos, mi mirada en el suelo, mi bronca, las ganas de romperle la cabeza contra la puerta y el tipo que me hablaba y me deseaba suerte.

Traduction temporaire :
J'écoutais sa respiration agitée et entrecoupée : la respiration d'un animal dans le silence de cet ascenseur – sa cage hermétique, grise, sans miroirs – mon regard fixé sur le sol, ma rage, mon envie de lui fracasser la tête contre la porte, et lui, qui me parlait, me souhaitait bonne chance.

4 commentaires:

Justine a dit…

J'écoutais sa respiration agitée et entrecoupée : la respiration d'un animal dans le silence de cet ascenseur – sa cage hermétique, grise, sans miroirs – mon regard fixé sur le sol, ma rage, mon envie de lui casser la tête contre la porte, et lui, qui me parlait, me souhaitait bonne chance.

Tradabordo a dit…

J'écoutais sa respiration agitée et entrecoupée : la respiration d'un animal dans le silence de cet ascenseur – sa cage hermétique, grise, sans miroirs – mon regard fixé sur le sol, ma rage, mon envie de lui casser [« fracasser » ?] la tête contre la porte, et lui, qui me parlait, me souhaitait bonne chance.

Justine a dit…

J'écoutais sa respiration agitée et entrecoupée : la respiration d'un animal dans le silence de cet ascenseur – sa cage hermétique, grise, sans miroirs – mon regard fixé sur le sol, ma rage, mon envie de lui fracasser la tête contre la porte, et lui, qui me parlait, me souhaitait bonne chance.

Tradabordo a dit…

J'écoutais sa respiration agitée et entrecoupée : la respiration d'un animal dans le silence de cet ascenseur – sa cage hermétique, grise, sans miroirs – mon regard fixé sur le sol, ma rage, mon envie de lui fracasser la tête contre la porte, et lui, qui me parlait, me souhaitait bonne chance.

OK.