“Es cual un leño que no sabe arder”, decía el bolero. Y ella ardía con la radio puesta a todo volumen y el torso asomado al vacío. Pasaba erguido: cruzado el saco de solapas anchas, la espalda como una cama de dos plazas, el paso cansino... Todas las tardes, desde hacía treinta años, a la misma hora.
Traduction temporaire :
« Elle ressemble à une bûche qui ne sait pas brûler », disait le boléro. Et elle, elle brûlait, la radio allumée, le volume à fond, et le buste penché vers le vide. Il passait, tout raide : vêtu d’une veste croisée à larges revers, le dos tel un lit deux places, son pas fatigué… Tous les après-midis, depuis trente ans, à la même heure.
« Elle ressemble à une bûche qui ne sait pas brûler », disait le boléro. Et elle, elle brûlait, la radio allumée, le volume à fond, et le buste penché vers le vide. Il passait, tout raide : vêtu d’une veste croisée à larges revers, le dos tel un lit deux places, son pas fatigué… Tous les après-midis, depuis trente ans, à la même heure.
6 commentaires:
« Elle est telle une bûche qui ne sait pas brûler » disait le boléro. Et elle, elle brûlait la radio allumée avec le volume à fond et le torse penché vers le vide.
Il passait tout droit : il traversait avec un sac à larges rabats, le dos comme un lit deux places, le pas fatigué... Tous les après-midis, depuis trente ans, à la même heure.
« Elle est telle une bûche qui ne sait pas brûler » [virgule] disait le boléro. Et elle, elle brûlait [virgule ?] la radio allumée avec [virgule à la place ?] le volume à fond et le torse [pas plutôt « buste » pour une femme ? Je vous laisse réfléchir…] penché vers le vide.
Il passait tout droit [ou « raide » ? J'hésite… Je vous laisse trancher] : il traversait avec un sac [FS] à larges rabats, le dos comme un lit deux places, le [possessif ?] pas fatigué... [le raccourci clavier des points de suspension] Tous les après-midis, depuis trente ans, à la même heure.
« Elle est telle une bûche qui ne sait pas brûler », disait le boléro. Et elle, elle brûlait, la radio allumée, le volume à fond et le buste penché vers le vide.
Il passait tout raide : il traversait vêtu d’une veste à larges revers, le dos tel un lit deux places, son pas fatigué…Tous les après-midis, depuis trente ans, à la même heure.
« Elle est telle [ou simplement « ressemble » ? Comme vous voulez…] une bûche qui ne sait pas brûler », disait le boléro. Et elle, elle brûlait, la radio allumée, le volume à fond [virgule] et le buste penché vers le vide.
Il passait [virgule] tout raide : il traversait [« cruzado » ; pas un verbe…] vêtu d’une veste à larges revers, le dos tel un lit deux places, son pas fatigué…[espace]Tous les après-midis, depuis trente ans, à la même heure.
« Elle ressemble à une bûche qui ne sait pas brûler », disait le boléro. Et elle, elle brûlait, la radio allumée, le volume à fond, et le buste penché vers le vide.
Il passait, tout raide : vêtu d’une veste croisée à larges revers, le dos tel un lit deux places, son pas fatigué… Tous les après-midis, depuis trente ans, à la même heure.
« Elle ressemble à une bûche qui ne sait pas brûler », disait le boléro. Et elle, elle brûlait, la radio allumée, le volume à fond, et le buste penché vers le vide.
Il passait, tout raide : vêtu d’une veste croisée à larges revers, le dos tel un lit deux places, son pas fatigué… Tous les après-midis, depuis trente ans, à la même heure.
OK.
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