También me gustan los ómnibus llenos de extraños que no molestan para nada (de preferencia de noche, cuando viajan todos cansados, durmiendo). O la cola de algún banco, donde la espera puede ayudarte a terminar en un sólo trámite las novelas de Vargas Llosa. En mi rutina diaria he incluido caminatas que me permiten adentrarme en los cuentos de Cortázar, o paseos a media tarde en los que siempre está Chéjov, Kafka o Hemingway.
Traduction temporaire :
J'aime aussi les bus bondés d'étrangers parce qu'eux, ils ne sont absolument pas dérangeants (surtout la nuit, lorsque, fatigués, ils passent le voyage à dormir). Ou la file d'attente d'une banque : là, je peux terminer d'une seule traite les romans de Vargas Llosa. J'ai inclus dans mes routines journalières, des randonnées qui me permettent de plonger dans les nouvelles de Cortázar, ou bien des promenades en milieu d'après-midi, accompagnées de Tchekhov, Kafka ou Hemingway.
J'aime aussi les bus bondés d'étrangers parce qu'eux, ils ne sont absolument pas dérangeants (surtout la nuit, lorsque, fatigués, ils passent le voyage à dormir). Ou la file d'attente d'une banque : là, je peux terminer d'une seule traite les romans de Vargas Llosa. J'ai inclus dans mes routines journalières, des randonnées qui me permettent de plonger dans les nouvelles de Cortázar, ou bien des promenades en milieu d'après-midi, accompagnées de Tchekhov, Kafka ou Hemingway.
6 commentaires:
J'aime aussi les bus bondés d'étrangers qui ne sont absolument pas dérangeants (surtout la nuit, lorsqu'ils voyagent, fatigués, et qu'ils dorment). Ou la file d'attente d'une banque, grâce à laquelle je peux terminer en une seule fois les romans de Vargas Llosa. J'ai inclus des marches dans mes routines journalières qui me permettent de plonger dans les nouvelles de Cortázar, ou bien des promenades en milieu d'après-midi qui sont accompagnées de Chéjov, Kafka ou Hemingway.
J'aime aussi les bus bondés d'étrangers qui [« , eux, » ou inutile ? Comme tu veux…] ne sont absolument pas dérangeants (surtout la nuit, lorsqu'ils voyagent, fatigués [avance-le], et qu'ils dorment). Ou la file d'attente d'une banque, grâce à laquelle [ou : « là, » ?] je peux terminer en une seule fois [« d'une seule traite » ?] les romans de Vargas Llosa. J'ai inclus des marches [bizarre…] dans mes routines journalières [virgule ?] qui me permettent de plonger dans les nouvelles de Cortázar, ou bien des promenades en milieu d'après-midi qui sont [nécessaire ?] accompagnées de Chéjov [orthographe !], Kafka ou Hemingway.
J'aime aussi les bus bondés d'étrangers qui ne sont absolument pas dérangeants (surtout la nuit, lorsque, fatigués, ils voyagent en dormant). Ou la file d'attente d'une banque : là, je peux terminer d'une seule traite les romans de Vargas Llosa. J'ai inclus, dans mes routines journalières, des randonnées qui me permettent de plonger dans les nouvelles de Cortázar, ou bien des promenades en milieu d'après-midi, accompagnées de Tchekhov, Kafka ou Hemingway.
J'aime aussi les bus bondés d'étrangers qui [ou : « parce qu'eux, ils » ?] ne sont absolument pas dérangeants (surtout la nuit, lorsque, fatigués, ils voyagent en dormant [« ils passent le voyage à dormir » ?]). Ou la file d'attente d'une banque : là, je peux terminer d'une seule traite les romans de Vargas Llosa. J'ai inclus, [sans la virgule] dans mes routines journalières, des randonnées qui me permettent de plonger dans les nouvelles de Cortázar, ou bien des promenades en milieu d'après-midi, accompagnées de Tchekhov, Kafka ou Hemingway.
J'aime aussi les bus bondés d'étrangers parce qu'eux, ils ne sont absolument pas dérangeants (surtout la nuit, lorsque, fatigués, ils passent le voyage à dormir). Ou la file d'attente d'une banque : là, je peux terminer d'une seule traite les romans de Vargas Llosa. J'ai inclus dans mes routines journalières, des randonnées qui me permettent de plonger dans les nouvelles de Cortázar, ou bien des promenades en milieu d'après-midi, accompagnées de Tchekhov, Kafka ou Hemingway.
J'aime aussi les bus bondés d'étrangers parce qu'eux, ils ne sont absolument pas dérangeants (surtout la nuit, lorsque, fatigués, ils passent le voyage à dormir). Ou la file d'attente d'une banque : là, je peux terminer d'une seule traite les romans de Vargas Llosa. J'ai inclus dans mes routines journalières, des randonnées qui me permettent de plonger dans les nouvelles de Cortázar, ou bien des promenades en milieu d'après-midi, accompagnées de Tchekhov, Kafka ou Hemingway.
OK.
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