lundi 15 décembre 2014

Projet Sophie L – titre + phrases 1-3

Juan de Urraza (Paraguay)

Jorge se rascó la barbilla observando el techo, buscando inspiración. Esperaba que el mero hecho de sentarse, tomar la pluma y pensar, lo iluminara y permitiera escribir palabra tras palabra un nuevo relato, una nueva historia de ficción. Las musas lo habían abandonado hacía un tiempo ya, y sus múltiples obligaciones laborales, estudiantiles y de pareja, lo estaban alejando día a día del gozo que le significaba escribir.

Traduction temporaire :

Juan de Urraza (Paraguay)

Jorge se gratta le menton, observant le plafond, cherchant l’inspiration. Il espérait que le simple fait de s’asseoir, de prendre la plume et de réfléchir lui permettrait d’avoir une illumination et d’écrire, mot après mot, un nouveau récit, une nouvelle histoire de fiction. Les muses l’avaient abandonné depuis quelque temps déjà, et ses nombreuses obligations professionnelles, universitaires et de couple l'éloignaient de plus en plus du plaisir que représentait pour lui l'écriture. 

9 commentaires:

Sophie L. a dit…

Juan de Urraza (Paraguay)

Jorge se gratta le menton, regardant au plafond, cherchant l’inspiration. Il espérait que le simple fait de s’asseoir, de prendre la plume et de méditer lui permettrait d’avoir une illumination et d’écrire, mot après mot, un nouveau récit, une nouvelle histoire de fiction. Les muses l’avaient abandonné depuis quelque temps déjà, et ses nombreuses obligations professionnelles, universitaires et de couple le tenaient de plus en plus éloigné, au fil des jours, du plaisir que représentait pour lui le fait d’écrire.

Sophie L. a dit…

Juan de Urraza (Paraguay)

Jorge se gratta le menton, regardant au plafond, cherchant l’inspiration. Il espérait que le simple fait de s’asseoir, de prendre la plume et de méditer lui permettrait d’avoir une illumination et d’écrire, mot après mot, un nouveau récit, une nouvelle histoire de fiction. Les muses l’avaient abandonné depuis quelque temps déjà, et ses nombreuses obligations professionnelles, universitaires et de couple le tenaient de plus en plus éloigné, au fil des jours, du plaisir que représentait pour lui le fait d’écrire.

Tradabordo a dit…

Juan de Urraza (Paraguay)

Jorge se gratta le menton, regardant [pourquoi tu changes ?] au plafond, cherchant l’inspiration. Il espérait que le simple fait de s’asseoir, de prendre la plume et de méditer [« réfléchir » est sans doute moins fort… et donc plus près de la V.O., non ?] lui permettrait d’avoir une illumination et d’écrire, mot après mot, un nouveau récit, une nouvelle histoire de fiction. Les muses l’avaient abandonné depuis quelque temps déjà, et ses nombreuses obligations professionnelles, universitaires et de couple le tenaient de plus en plus éloigné, au fil des jours [pas très naturel… ou alors pb de syntaxe // vois si tu ne peux pas le caser ailleurs], du plaisir que représentait pour lui le fait d’écrire [« l'écriture » pour éviter « le fait de » ?].

Sophie L. a dit…

Juan de Urraza (Paraguay)

Jorge se gratta le menton, observant le plafond, cherchant l’inspiration. Il espérait que le simple fait de s’asseoir, de prendre la plume et de réfléchir lui permettrait d’avoir une illumination et d’écrire, mot après mot, un nouveau récit, une nouvelle histoire de fiction. Les muses l’avaient abandonné depuis quelque temps déjà, et ses nombreuses obligations professionnelles, universitaires et de couple le tenaient toujours plus éloigné, de jour en jour [?], du plaisir que représentait pour lui l'écriture.

Tradabordo a dit…

Juan de Urraza (Paraguay)

Jorge se gratta le menton, observant le plafond, cherchant l’inspiration. Il espérait que le simple fait de s’asseoir, de prendre la plume et de réfléchir lui permettrait d’avoir une illumination et d’écrire, mot après mot, un nouveau récit, une nouvelle histoire de fiction. Les muses l’avaient abandonné depuis quelque temps déjà, et ses nombreuses obligations professionnelles, universitaires et de couple le tenaient


toujours plus éloigné, de jour en jour [?], du plaisir que représentait pour lui l'écriture.

Il faut reprendre la fin ; manque de naturel et de fluidité. Mais le reste est bien ;-)

Sophie L. a dit…

On laisse tomber la forme progressive ?

Les muses l’avaient abandonné depuis quelque temps déjà, et ses nombreuses obligations professionnelles, universitaires et de couple l'éloignaient de plus en plus du plaisir que représentait pour lui l'écriture.

Tradabordo a dit…

Il faudra que tu remettes l'ensemble – après, je dois juste avoir à faire le copier/coller pour l'enregistrement de la section.

Les muses l’avaient abandonné depuis quelque temps déjà, et ses nombreuses obligations professionnelles, universitaires et de couple l'éloignaient de plus en plus du plaisir que représentait pour lui l'écriture [ou : « que l'écriture représentait pour lui » ? Comme tu veux… Je te laisse trancher].

Sophie L. a dit…

Juan de Urraza (Paraguay)

Jorge se gratta le menton, observant le plafond, cherchant l’inspiration. Il espérait que le simple fait de s’asseoir, de prendre la plume et de réfléchir lui permettrait d’avoir une illumination et d’écrire, mot après mot, un nouveau récit, une nouvelle histoire de fiction. Les muses l’avaient abandonné depuis quelque temps déjà, et ses nombreuses obligations professionnelles, universitaires et de couple l'éloignaient de plus en plus du plaisir que représentait pour lui l'écriture. [j'aime bien cette inversion!]

Tradabordo a dit…

Juan de Urraza (Paraguay)

Jorge se gratta le menton, observant le plafond, cherchant l’inspiration. Il espérait que le simple fait de s’asseoir, de prendre la plume et de réfléchir lui permettrait d’avoir une illumination et d’écrire, mot après mot, un nouveau récit, une nouvelle histoire de fiction. Les muses l’avaient abandonné depuis quelque temps déjà, et ses nombreuses obligations professionnelles, universitaires et de couple l'éloignaient de plus en plus du plaisir que représentait pour lui l'écriture.

OK.