Desde entonces cada mes escribí una carta, agregando algunos francos en el sobre. La viuda no sabía leer, por lo que yo me encargaba de hacerlo. A veces reía con mis historias y a veces se limitaba a suspirar llena de orgullo; pero siempre, al despedirme, las lágrimas terminaban deslizándose por sus mejillas. Cuando enfermó gravemente, me llamó a su lado y me alargó una caja con el dinero y las cartas que le había entregado.
Traduction temporaire :
De ce jour, je lui écrivis une lettre chaque mois, glissant systématiquement quelques francs dans l'enveloppe. Vu que la veuve ne savait pas lire, je le faisais à sa place. Parfois, elle riait de mes histoires, d'autres fois, elle se contentait de soupirer, très fière ; mais au moment des adieux, les larmes finissaient toujours par couler sur ses joues. Lorsqu'elle tomba gravement malade, elle m'appela auprès d'elle et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
De ce jour, je lui écrivis une lettre chaque mois, glissant systématiquement quelques francs dans l'enveloppe. Vu que la veuve ne savait pas lire, je le faisais à sa place. Parfois, elle riait de mes histoires, d'autres fois, elle se contentait de soupirer, très fière ; mais au moment des adieux, les larmes finissaient toujours par couler sur ses joues. Lorsqu'elle tomba gravement malade, elle m'appela auprès d'elle et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
11 commentaires:
Dès ce jour, j'écrivis une lettre chaque mois, en glissant quelques francs dans l'enveloppe. La veuve ne savait pas lire, donc, je m'en occupais. Parfois, elle riait avec mes histoires et d'autres, elle soupirait très fière ; mais toujours, au moment des adieux, les larmes finissaient par couler sur ses joues. Lorsqu'elle fut gravement malade, elle m'appela à ses côtés et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
Dès [« DE »] ce jour, j'écrivis une lettre chaque mois, en [supprime] glissant quelques francs dans l'enveloppe. La veuve ne savait [« ne sachant » ; ça te simplifiera la suite] pas lire, donc, je m'en occupais. Parfois, elle riait avec mes histoires et d'autres, elle soupirait très fière ; mais toujours, au moment des adieux, les larmes finissaient par couler sur ses joues. Lorsqu'elle fut gravement malade, elle m'appela à ses côtés et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
De ce jour, j'écrivis une lettre chaque mois, en [supprime] glissant quelques francs dans l'enveloppe. La veuve ne sachant pas lire, je m'en occupais. Parfois, elle riait avec mes histoires et d'autres, elle soupirait très fière ; mais toujours, au moment des adieux, les larmes finissaient par couler sur ses joues. Lorsqu'elle fut gravement malade, elle m'appela à ses côtés et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
De ce jour, j'écrivis une lettre chaque mois, en [supprime // déjà dans mon commentaire précédent] glissant quelques francs dans l'enveloppe. La veuve ne sachant [passe plutôt par « vu que »] pas lire, je m'en occupais [« se charger »]. Parfois, elle riait avec [« de » ? Vérifie…] mes histoires et [virgule] d'autres [« fois »… car avant, tu avais « parfois »], elle soupirait [et le « se limitaba » ?] [virgule] très fière ; mais toujours, au moment des adieux, les larmes finissaient par couler sur ses joues. Lorsqu'elle fut [il y a un verbe mieux] gravement malade, elle m'appela à ses côtés [il y a mieux dans ce contexte] et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
De ce jour, j'écrivis une lettre chaque mois, glissant quelques francs dans l'enveloppe. Vu que la veuve ne savait pas lire, je m'en chargeais. Parfois, elle riait de mes histoires et, d'autres fois, elle se limitait à soupirer, très fière ; mais toujours, au moment des adieux, les larmes finissaient par couler sur ses joues. Lorsqu'elle tomba gravement malade, elle m'appela auprès d'elle et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
De petits changements et qqs doutes :
De ce jour ["Dorénavant" ?], j'écrivis [Ou "envoyai" ?] une lettre chaque mois, glissant quelques francs dans l'enveloppe. Vu que la veuve ne savait pas lire, je m'en chargeais. Parfois, elle riait de mes histoires, d'autres fois, elle se limitait à soupirer, très fière ; mais toujours, au moment des adieux, les larmes finissaient par couler sur ses joues. Lorsqu'elle tomba gravement malade, elle m'appela auprès d'elle et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
Tranche.
De ce jour, je lui écrivis une lettre chaque mois, glissant quelques francs dans l'enveloppe. Vu que la veuve ne savait pas lire, je m'en chargeais. Parfois, elle riait de mes histoires, d'autres fois, elle se limitait à soupirer, très fière ; mais toujours, au moment des adieux, les larmes finissaient par couler sur ses joues. Lorsqu'elle tomba gravement malade, elle m'appela auprès d'elle et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
De ce jour, je lui écrivis une lettre chaque mois, glissant [« systématiquement » ? Je trouve que c'est plus équilibré, mais fais comme tu veux…] quelques francs dans l'enveloppe. Vu que la veuve ne savait pas lire, je m'en chargeais [« pour elle » ?]. Parfois, elle riait de mes histoires, d'autres fois, elle se limitait à [verbe mal choisit] soupirer, très fière ; mais toujours [place le « toujours » après], au moment des adieux, les larmes finissaient par couler sur ses joues. Lorsqu'elle tomba gravement malade, elle m'appela auprès d'elle et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
De ce jour, je lui écrivis une lettre chaque mois, glissant systématiquement quelques francs dans l'enveloppe. Vu que la veuve ne savait pas lire, je le faisais à sa place. Parfois, elle riait de mes histoires, d'autres fois, elle se contentait de soupirer, très fière ; mais au moment des adieux, les larmes finissaient toujours par couler sur ses joues. Lorsqu'elle tomba gravement malade, elle m'appela auprès d'elle et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
De ce jour, je lui écrivis une lettre chaque mois, glissant systématiquement quelques francs dans l'enveloppe. Vu que la veuve ne savait pas lire, je le faisais à sa place. Parfois, elle riait de mes histoires, d'autres fois, elle se contentait de soupirer, très fière ; mais au moment des adieux, les larmes finissaient toujours par couler sur ses joues. Lorsqu'elle tomba gravement malade, elle m'appela auprès d'elle et me tendit une boîte contenant l'argent et les lettres que je lui avait fait parvenir.
OK.
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