samedi 14 février 2015

Projet Juliette / Jordane – phrases 67-72

—Esta es nuestra casa —dijo el hombre—, no estamos usurpando nada.
Para Onel había cambiado algo, pero no sabía qué. Lo sentía cada vez que miraba por la ventana. No era el olor de la casa, porque desde que entró, entró también un extraño aroma que lo estaba esperando afuera desde siempre. Aunque para el hombre, Onel era un extranjero, no lo era para la casa. Quizá Onel era el único sobreviviente a quien esperaba la casa antes de derrumbarse.

Traduction temporaire :

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Bien qu'Onel fût un étranger pour l'homme, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être Onel était-il l’unique survivant qu'elle attendait avant de s’effondrer.

17 commentaires:

Unknown a dit…

— Ceci est notre maison, dit l’homme, nous n’avons rien usurpé.
Pour Onel quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre. Ce n’était pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours, entra aussi. Même si pour l’homme, Onel était un étranger, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était l’unique survivant que la maison attendait pour s’effondrer.

Tradabordo a dit…

— Ceci est [simplement « C'est » ?] notre maison, dit l’homme, nous n’avons rien usurpé [temps].
Pour Onel [virgule] quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre. Ce n’était [une autre formulation, car vous commencez déjà le début du fragment de cette manière // éventuellement rassemblez les deux phrases avec un point-virgule… Vous n'aurez besoin de rien mettre du tout, du coup] pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours, entra aussi [il faut le mettre avant]. Même si [en esp., c'est aunque + indicatif] pour l’homme, Onel était un étranger, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était l’unique survivant que la maison attendait pour [plus près de la V.O.] s’effondrer.

Unknown a dit…

C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, [« il » ?] entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Même si pour l’homme, Onel est un étranger, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était l’unique survivant que la maison attendait avant de s’effondrer.

Tradabordo a dit…

[le tiret ]C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, [« il » ? Non, rien] entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Même si pour l’homme, Onel est [AUNQUE ERA] un étranger, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était l’unique survivant que la maison attendait avant de s’effondrer.

Unknown a dit…

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Même si pour l’homme, Onel fût un étranger, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était l’unique survivant que la maison attendait avant de s’effondrer.

Tradabordo a dit…

Aunque + indicatif : bien que + subjonctif.

Corrigez ces grosses fautes de grammaire.

Unknown a dit…

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Bien que pour l’homme, Onel soit un étranger, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était l’unique survivant que la maison attendait avant de s’effondrer.

Tradabordo a dit…

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Bien que pour l’homme, Onel soit [concordance des temps dans un texte comme ça…] un étranger, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était[« -t-il »] l’unique survivant que la maison attendait avant de s’effondrer.

Unknown a dit…

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Bien que pour l’homme, Onel était un étranger, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était-il l’unique survivant que la maison attendait avant de s’effondrer.

Tradabordo a dit…

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Bien que pour l’homme, Onel était [bien que + subj] un étranger, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était-il l’unique survivant que la maison attendait avant de s’effondrer.

Unknown a dit…

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Bien que pour l’homme, Onel fût un étranger, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était-il l’unique survivant que la maison attendait avant de s’effondrer.

Tradabordo a dit…

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Bien que pour l’homme, Onel fût un étranger [ou : « Bien qu'Onel fût un étranger pour l'homme » ? Voyez quelle est la plus fluide des deux solutions], il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était-il l’unique survivant que la maison [un moyen de ne pas répéter ?] attendait avant de s’effondrer.

Unknown a dit…

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Bien qu'Onel fût un étranger pour l'homme, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’Onel était-il l’unique survivant qu'elle attendait avant de s’effondrer.

Tradabordo a dit…

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Bien qu'Onel fût un étranger pour l'homme, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être qu’[non, supprimez, du coup]Onel était-il l’unique survivant qu'elle attendait avant de s’effondrer.

Unknown a dit…

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Bien qu'Onel fût un étranger pour l'homme, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être Onel était-il l’unique survivant qu'elle attendait avant de s’effondrer.

Tradabordo a dit…

— C'est notre maison, dit l’homme, nous n’usurpons rien.
Pour Onel, quelque chose avait changé, mais il ne savait pas quoi. Il le sentait à chaque fois qu’il regardait par la fenêtre ; pas l’odeur de la maison, parce dès qu’il entra, entra aussi un arôme étrange qui l’attendait dehors depuis toujours. Bien qu'Onel fût un étranger pour l'homme, il ne l’était pas pour la maison. Peut-être Onel était-il l’unique survivant qu'elle attendait avant de s’effondrer.

OK.

Juliette ?

Unknown a dit…

Ok.