lundi 2 février 2015

Projet Lorena 10 – phrase 2

Estaban machacados, como si los hubiera embestido una manada de reses en estampida.

Traduction temporaire :
Ils étaient écrabouillés, comme si un troupeau de bétail en pleine débandade s'était rué sur eux.

12 commentaires:

GARZON ARANDA Lorena a dit…

Ils étaient écrassés, comme si un troupeau de têtes de bétail en débandade les ait assailli.

Tradabordo a dit…

Ils étaient écrassés [orthographe], comme si un troupeau de têtes de bétail en débandade [mal dit] les ait [grammaire] assailli [mal dit].

Il y a du boulot ;-)

GARZON ARANDA Lorena a dit…

Ils étaient écrasés, comme si une manade de bétails débandés les aient chargé.


Je m'excuse je suis un peu en retard avec la traduction.

Tradabordo a dit…

Ils étaient écrasés [« écrabouillés » ? En fait, j'ai complètement oublié de quoi il s'agit et le registre du texte ; à vous de me dire, donc], comme si une manade de bétails [on parle du « bétail »… et de têtes de bétail] débandés [mal dit] les aient [grammaire ; comme si + quoi ?] chargé.

GARZON ARANDA Lorena a dit…

Ils étaient écrabouillés, comme si un troupeau de bétail en debandade s'était rué sur eux.

[Selon le registre du texte il vaut mieux comme vous dites mettre "écrabouiller" et non pas "écraser"]

Tradabordo a dit…

Ils étaient écrabouillés, comme si un troupeau de bétail en [« pleine »] debandade s'était rué sur eux.

GARZON ARANDA Lorena a dit…

Ils étaient écrabouillés, comme si un troupeau de bétail en pleine debandade s'était rué sur eux.

Tradabordo a dit…

Ils étaient écrabouillés, comme si un troupeau de bétail en pleine debandade [accent] s'était rué sur eux.

GARZON ARANDA Lorena a dit…

Ils étaient écrabouillés, comme si un troupeau de bétail en pleine débandade s'était rué sur eux.

Tradabordo a dit…

Ils étaient écrabouillés, comme si un troupeau de bétail en pleine débandade s'était rué sur eux.

OK.

GARZON ARANDA Lorena a dit…

D'accord, j'attends la suite. :)

Tradabordo a dit…

Elle est déjà en ligne :

http://tradabordo.blogspot.fr/2015/04/projet-lorena-10-phrase-3.html