samedi 14 février 2015

Projet Manuel / Thomas – phrases 31-35

Algo, sin embargo, se movía. Eran las sombras que proyectaban los árboles iluminados por los faroles de la calle. El viento mecía suavemente el follaje y creaba la ilusión de vagas formas que se desplazaban silenciosas a lo largo de la vereda. Lo que más le llamaba la atención era el silencio. Ni un grito solitario, ni una sirena lejana hendían la noche.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

4 commentaires:

Unknown a dit…

Quelque chose, cependant, bougeait. C'étaient les ombres que projetaient les arbres illuminés par les lampadaires de la rue. Le vent berçait doucement le feuillage et créait l'illusion de vagues formes qui se déplaçaient, silencieuses, le long du trottoir. Ce qui attira le plus son attention était le silence. Pas un cri solitaire, pas une sirène lointaine ne fendait la nuit.

Tradabordo a dit…

Quelque chose, cependant [ou au début ? Comme vous voulez], bougeait. C'étaient [avec un simple point-virgule, vous économiseriez ce « C'étaient »] les ombres que projetaient les arbres illuminés [« éclairés » ?] par les lampadaires [« réverbères » ?] de la rue. Le vent berçait doucement le [possessif ?] feuillage et créait l'illusion de vagues formes qui se déplaçaient, silencieuses, le long du trottoir. Ce qui attira le plus son attention était le silence. Pas un cri solitaire, pas une sirène lointaine ne fendait [grammaire] la nuit.

Unknown a dit…

Cependant, quelque chose bougeait ; les ombres que projetaient les arbres éclairés par les réverbères de la rue. Le vent berçait doucement leur feuillage et créait l'illusion de vagues formes qui se déplaçaient, silencieuses, le long du trottoir. Ce qui attira le plus son attention était le silence. Pas un cri solitaire, pas une sirène lointaine ne fendaient la nuit.

Tradabordo a dit…

Cependant, quelque chose bougeait ; les ombres que projetaient les arbres éclairés par les réverbères de la rue. Le vent berçait doucement leur feuillage et créait l'illusion de vagues formes qui se déplaçaient, silencieuses, le long du trottoir. Ce qui attira le plus son attention était le silence. Pas un cri solitaire, pas une sirène lointaine ne fendaient la nuit.

OK.

Manuel ?