-Bueno, si es tan igual debe llamarme papá. Se dijo recordando el cuento y lo sentó frente a su cama, y pacientemente esperó a que reaccionara.
Solo esperó dos días. En esta parte del mundo somos bastante acelerados. No se mide igual el tiempo y dos días, sentado, es como cuarenta sin resolver nada. Al amanecer del tercer día, fue de nuevo a la biblioteca a releer la versión última del cuento, con las imágenes de Fabelo que le parecieron demasiado surrealistas.
Traduction temporaire :
— Bon, puisqu’il est tellement ressemblant, il devrait m’appeler papa, se dit-il en repensant au conte. Il l’assit face à son lit et attendit patiemment qu’il réagisse.
Il ne patienta pas plus de deux jours. Dans cette partie du monde, le temps passe assez vite. On ne le mesure pas de la même manière et deux jours assis, c’est comme s'échiner sur quelque chose sans aboutir nulle part. À l’aube du troisième jour, il retourna à la bibliothèque pour relire la dernière version du conte, celle avec les images de Fabelo qui lui avait paru trop surréalistes.
Il ne patienta pas plus de deux jours. Dans cette partie du monde, le temps passe assez vite. On ne le mesure pas de la même manière et deux jours assis, c’est comme s'échiner sur quelque chose sans aboutir nulle part. À l’aube du troisième jour, il retourna à la bibliothèque pour relire la dernière version du conte, celle avec les images de Fabelo qui lui avait paru trop surréalistes.
8 commentaires:
- Bon, s’il est si ressemblant, il devrait m’appeler papa, se dit-il en se rappelant le conte. Il l’assis face à son lit, et patiemment, il attendit qu’il réagisse.
Il attendit seulement deux jours. Dans cette partie du monde, le temps passe assez vite. On ne mesure pas de la même manière le temps et deux jours, assis, c’est comme ne pas réussir à résoudre un problème. A l’aube du troisième jour, il retourna à nouveau à la bibliothèque pour relire la dernière version du conte, celle avec les images de Fabelo qui lui parurent trop surréalistes.
- Bon, s’[ou : « puisqu' » ? ]il est si [« aussi » ?] ressemblant, il devrait m’appeler papa, se dit-il en se rappelant le [« repensant au » ? Comme vous voulez…] conte. Il l’assis [grammaire] face à son lit, [la virgule après le « et »] et patiemment, il attendit qu’il réagisse.
Il attendit [débrouillez-vous pour ne pas répéter] seulement deux jours. Dans cette partie du monde, le temps passe assez vite. On ne mesure pas de la même manière le temps et deux jours, assis, c’est comme ne pas réussir à résoudre un problème [vous avez pas mal changé… Essayez de revenir plus près de la V.O.]. A [accentuez les majuscules] l’aube du troisième jour, il retourna à nouveau [redondant] à la bibliothèque pour relire la dernière version du conte, celle avec les images de Fabelo qui lui parurent [temps ?] trop surréalistes.
- Bon, puisqu' il est aussi ressemblant, il devrait m’appeler papa, se dit-il en repensant au conte. Il l’assit face à son lit et, patiemment, il attendit qu’il réagisse.
Il patienta seulement deux jours. Dans cette partie du monde, le temps passe assez vite. On ne mesure pas de la même manière le temps et deux jours, assis, c’est comme faire des pieds et des mains sans rien résoudre. À l’aube du troisième jour, il retourna à la bibliothèque pour relire la dernière version du conte, celle avec les images de Fabelo qui lui avait paru trop surréalistes.
- [tiret long pour les dialogues = —] Bon, puisqu' [espace en trop]il est aussi [« tellement »] ressemblant, il devrait m’appeler papa, se dit-il en repensant au conte. Il l’assit face à son lit et, patiemment, il attendit qu’il réagisse.
Il patienta seulement [« pas plus de » ; sinon, ça n'est pas très clair - un peu ambigu] deux jours. Dans cette partie du monde, le temps passe assez vite. On ne [« le » pour éviter de répéter « temps »] mesure pas de la même manière le temps et deux jours, [sans la virgule] assis, c’est comme faire des pieds et des mains sans rien résoudre [cette partie de la phrase n'est pas du tout naturel]. À l’aube du troisième jour, il retourna à la bibliothèque pour relire la dernière version du conte, celle avec les images de Fabelo qui lui avait paru trop surréalistes.
—Bon, puisqu’il est tellement ressemblant, il devrait m’appeler papa, se dit-il en repensant au conte. Il l’assit face à son lit et, patiemment, il attendit qu’il réagisse.
Il ne patienta pas plus de deux jours. Dans cette partie du monde, le temps passe assez vite. On ne le mesure pas de la même manière et deux jours assis, c’est comme faire des pieds et des mains sans résoudre quoi que ce soit. À l’aube du troisième jour, il retourna à la bibliothèque pour relire la dernière version du conte, celle avec les images de Fabelo qui lui avait paru trop surréalistes.
—[espace]Bon, puisqu’il est tellement ressemblant, il devrait m’appeler papa, se dit-il en repensant au conte. Il l’assit face à son lit et, patiemment [mettez-le après ; ça évitera la rupture de l'entre-virgules], il attendit qu’il réagisse.
Il ne patienta pas plus de deux jours. Dans cette partie du monde, le temps passe assez vite. On ne le mesure pas de la même manière et deux jours assis, c’est comme faire des pieds et des mains sans résoudre quoi que ce soit [« s'échiner sur quelque chose sans aboutir nulle part »]. À l’aube du troisième jour, il retourna à la bibliothèque pour relire la dernière version du conte, celle avec les images de Fabelo qui lui avait paru trop surréalistes.
— Bon, puisqu’il est tellement ressemblant, il devrait m’appeler papa, se dit-il en repensant au conte. Il l’assit face à son lit et attendit patiemment qu’il réagisse.
Il ne patienta pas plus de deux jours. Dans cette partie du monde, le temps passe assez vite. On ne le mesure pas de la même manière et deux jours assis, c’est comme s'échiner sur quelque chose sans aboutir nulle part. À l’aube du troisième jour, il retourna à la bibliothèque pour relire la dernière version du conte, celle avec les images de Fabelo qui lui avait paru trop surréalistes.
— Bon, puisqu’il est tellement ressemblant, il devrait m’appeler papa, se dit-il en repensant au conte. Il l’assit face à son lit et attendit patiemment qu’il réagisse.
Il ne patienta pas plus de deux jours. Dans cette partie du monde, le temps passe assez vite. On ne le mesure pas de la même manière et deux jours assis, c’est comme s'échiner sur quelque chose sans aboutir nulle part. À l’aube du troisième jour, il retourna à la bibliothèque pour relire la dernière version du conte, celle avec les images de Fabelo qui lui avait paru trop surréalistes.
OK.
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