-¿Qué haces ahí parado, Santi? –dijo ella, con mucha suavidad.
-Vete, vete –repitió él, aunque sus palabras le sonaron débiles, lejanas.
Una garra le estrujó el estómago y sus labios se curvaron en una mueca de dolor.
-¿Qué pasa? ¿Te sientes mal? –dijo ella, dando un paso adelante.
Traduction temporaire :
— Que fais-tu, planté là, Santi ? dit-elle avec beaucoup de douceur.
— Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parussent faibles, lointaines.
Une main lui serra l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
— Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? reprit-elle, en avançant d'un pas.
— Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parussent faibles, lointaines.
Une main lui serra l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
— Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? reprit-elle, en avançant d'un pas.
7 commentaires:
— Que fais-tu là, immobile, Santi ? dit-elle, avec beaucoup de douceur.
— Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parurent faibles, lointaines.
Une force lui serra l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
— Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? dit-elle, avançant d'un pas.
— Que fais-tu là, immobile [« Que fais-tu, planté là » ?], Santi ? dit-elle, avec beaucoup de douceur.
— Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parurent [grammaire : bien que + subj] faibles, lointaines.
Une force [pas ce que dit la V.O.] lui serra [texte ?] l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
— Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? dit[vous en avez déjà un plus haut]-elle, avançant d'un pas.
— Que fais-tu, planté là, Santi ? dit-elle, avec beaucoup de douceur.
— Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parussent faibles, lointaines.
Une main lui pressa l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
— Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? reprit-elle, avançant d'un pas.
— Que fais-tu, planté là, Santi ? dit-elle, [la virgule ? J'hésite] avec beaucoup de douceur.
— Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parussent faibles, lointaines.
Une main lui pressa [« serra » ?] l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
— Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? reprit-elle, [« en » ?] avançant d'un pas.
— Que fais-tu, planté là, Santi ? dit-elle avec beaucoup de douceur.
— Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parussent faibles, lointaines.
Une main lui serra l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
— Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? reprit-elle, en avançant d'un pas.
— Que fais-tu, planté là, Santi ? dit-elle avec beaucoup de douceur.
— Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parussent faibles, lointaines.
Une main lui serra l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
— Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? reprit-elle, en avançant d'un pas.
OK.
Manuel ?
C'est ok
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