-Es que no ha visto el que está frente a mi cama.-se dijo
Lo leyó enterito, salvo la parte de la ballena porque a estas alturas quien encuentra una para vivir.
-Bueno, no sé que falta. Iré a caminar por el jardín para pensar bien.
Caminando, se le apareció de pronto un saltamontes. Uno de esos que en Cuba le llaman esperanza. Y pensó.
Traduction temporaire :
— Ça, c’est parce qu’il n’a pas vu celui que j’ai face à mon lit, se dit-il.
Il le lit en entier, excepté la partie sur la baleine car, de nos jours, qui en a besoin d’une pour vivre ?
— Bon, je ne sais pas ce qu’il manque. J’irai me promener dans le jardin pour bien y réfléchir.
En se baladant, une sauterelle lui apparut soudainement. Une de celles qu’à Cuba, on appelle espoir. Et il pensa.
Il le lit en entier, excepté la partie sur la baleine car, de nos jours, qui en a besoin d’une pour vivre ?
— Bon, je ne sais pas ce qu’il manque. J’irai me promener dans le jardin pour bien y réfléchir.
En se baladant, une sauterelle lui apparut soudainement. Une de celles qu’à Cuba, on appelle espoir. Et il pensa.
8 commentaires:
— C’est qu’il n’a pas vu celui face à mon lit, se dit-il.
Il le lit entièrement, excepté la partie sur la baleine car, à l’heure actuelle, qui en trouve une pour vivre ?
— Bon, je ne sais pas ce qu’il manque. J’irai me promener dans le jardin pour bien y penser.
En marchant, une sauterelle apparue tout à coup. Une de celles qu’à Cuba on appelle espoir. Et il pensa.
— C’est qu’il n’a pas vu celui face à mon lit [ça manque de fluidité], se dit-il.
Il le lit entièrement [« en entier » ?], excepté la partie sur la baleine car, à l’heure actuelle [?], qui en trouve une pour vivre [on ne comprend pas grand-chose sans la V.O. à côté] ?
— Bon, je ne sais pas ce qu’il manque. J’irai me promener dans le jardin pour bien y penser.
En marchant, une sauterelle apparue tout à coup. Une de celles qu’à Cuba on appelle espoir. Et il pensa.
— Il n’a pas vu celui que j’ai face à mon lit, se dit-il.
Il le lit en entier, excepté la partie sur la baleine car, de nos jours, qui en a besoin d’une pour vivre ?
— Bon, je ne sais pas ce qu’il manque. J’irai me promener dans le jardin pour bien y penser.
En marchant, une sauterelle apparue tout à coup. Une de celles qu’à Cuba on appelle espoir. Et il pensa.
— [pas sûre qu'il soit judicieux de supprimer le début] Il n’a pas vu celui que j’ai face à mon lit, se dit-il.
Il le lit en entier, excepté la partie sur la baleine car, de nos jours, qui en a besoin d’une pour vivre ?
— Bon, je ne sais pas ce qu’il manque. J’irai me promener dans le jardin pour bien y penser [« pour y réfléchir » ?].
En marchant [qui marche ? Ambigu, ainsi formulé], une sauterelle apparue [grammaire !] tout [dommage de gaspiller un « tout » ici] à coup. Une de celles qu’à Cuba on appelle espoir. Et il pensa.
— Ça, c’est parce qu’il n’a pas vu celui que j’ai face à mon lit, se dit-il.
Il le lit en entier, excepté la partie sur la baleine car, de nos jours, qui en a besoin d’une pour vivre ?
— Bon, je ne sais pas ce qu’il manque. J’irai me promener dans le jardin pour bien y réfléchir.
En se promenant, une sauterelle lui apparut soudainement. Une de celles qu’à Cuba on appelle espoir. Et il pensa.
— Ça, c’est parce qu’il n’a pas vu celui que j’ai face à mon lit, se dit-il.
Il le lit en entier, excepté la partie sur la baleine car, de nos jours, qui en a besoin d’une pour vivre ?
— Bon, je ne sais pas ce qu’il manque. J’irai me promener dans le jardin pour bien y réfléchir.
En se promenant [essayez de ne pas répéter], une sauterelle lui apparut soudainement. Une de celles qu’à Cuba [virgule] on appelle espoir. Et il pensa.
— Ça, c’est parce qu’il n’a pas vu celui que j’ai face à mon lit, se dit-il.
Il le lit en entier, excepté la partie sur la baleine car, de nos jours, qui en a besoin d’une pour vivre ?
— Bon, je ne sais pas ce qu’il manque. J’irai me promener dans le jardin pour bien y réfléchir.
En se baladant, une sauterelle lui apparut soudainement. Une de celles qu’à Cuba, on appelle espoir. Et il pensa.
— Ça, c’est parce qu’il n’a pas vu celui que j’ai face à mon lit, se dit-il.
Il le lit en entier, excepté la partie sur la baleine car, de nos jours, qui en a besoin d’une pour vivre ?
— Bon, je ne sais pas ce qu’il manque. J’irai me promener dans le jardin pour bien y réfléchir.
En se baladant, une sauterelle lui apparut soudainement. Une de celles qu’à Cuba, on appelle espoir. Et il pensa.
OK.
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