lundi 13 avril 2015

Projet Justine / Nadia / Elise – phrases 274-278

Y a esto último se consagró el Pato a los tres días de haber llegado.
A diferencia de quienes se reían del visceral pánico que nos embargaba, el Pato opuso impecables razonamientos. Dijo que la suerte, en gran medida, dependía de uno mismo. Y que el azar, los imponderables, las casualidades, si bien podían trastornarnos la vida, no cambiaban del todo las cosas, pues cada cual, con sus actos, su voluntad y su materia gris, tenía la posibilidad de labrarse su destino. No lo dijo exactamente con esas palabras, pero estas eran más o menos las ideas.

Traduction temporaire :
Or, Pat se consacra à cet objectif-là trois jours après son arrivée. À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous saisissait, lui, il y opposa des raisonnements carrés, argua que la chance qu'on a dépendait en grande partie de soi-même. Et que même si le hasard, les impondérables et les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas complètement les choses ; en conséquence de quoi, chacun avait la possibilité de se forger son destin en fonction de ses actions, de sa volonté et de sa matière grise. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

11 commentaires:

Justine a dit…

Or, Pat, se consacra à cet objectif-là, trois jours après son arrivée.
À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous paralysait, Pat, lui, y opposa d'impeccables raisonnements. Il argua que la chance qu'on a dépendait, en grande partie, de soi-même. Et que, même si le hasard, les impondérables, les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas tout ; que chacun avec ses actions, sa volonté et sa matière grise avait la possibilité de se forger son destin. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

Tradabordo a dit…

Or, Pat, [pourquoi cette virgule ?] se consacra à cet objectif-là, [sans la virgule] trois jours après son arrivée.
À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous paralysait [« saisissait » ?], Pat, lui, y opposa d'impeccables [ou après ? J'hésite] raisonnements. Il [avec une simple virgule en reliant les deux phrases ? Essaie et vois ce qui est mieux…] argua que la chance qu'on a dépendait, en grande partie, [je supprimerais les virgules] de soi-même. Et que, [la virgule ?] même si le hasard, les impondérables, les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas tout [pas exactement ce qui est dit] ; que [pas ce qui est dit… Il faut reprendre à partir de là] chacun avec ses actions, sa volonté et sa matière grise avait la possibilité de se forger son destin. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

Justine a dit…

Or, Pat se consacra à cet objectif-là trois jours après son arrivée.
À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous saisissait, Pat, lui, y opposa des raisonnements impeccables, argua que la chance qu'on a dépendait en grande partie de soi-même. Et que même si le hasard, les impondérables, les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas complètement les choses ; donc chacun en fonction de ses actions, de sa volonté et de sa matière grise avait la possibilité de se forger son destin. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

Tradabordo a dit…

Or, Pat se consacra à cet objectif-là trois jours après son arrivée. À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous saisissait, Pat, lui, y opposa des raisonnements impeccables [« carrés » ?], argua que la chance qu'on a dépendait en grande partie de soi-même. Et que même si le hasard, les impondérables, [« et » ?] les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas complètement les choses ; donc [« en conséquence de quoi » ? Comme tu préfères] chacun en fonction [en mettant toute cette section après ? Essaie et vois ce qui est mieux…] de ses actions, de sa volonté et de sa matière grise avait la possibilité de se forger son destin. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

Justine a dit…

Or, Pat se consacra à cet objectif-là trois jours après son arrivée. À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous saisissait, Pat, lui, y opposa des raisonnements carrés, argua que la chance qu'on a dépendait en grande partie de soi-même. Et que même si le hasard, les impondérables et les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas complètement les choses ; en conséquence de quoi, chacun avait la possibilité de se forger son destin en fonction de ses actions, de sa volonté et de sa matière grise. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

Tradabordo a dit…

Or, Pat se consacra à cet objectif-là trois jours après son arrivée. À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous saisissait, Pat, lui [« lui, il »], y opposa des raisonnements carrés, argua que la chance qu'on a dépendait en grande partie de soi-même. Et que même si le hasard, les impondérables et les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas complètement les choses ; en conséquence de quoi, chacun avait la possibilité de se forger son destin en fonction de ses actions, de sa volonté et de sa matière grise. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

Justine a dit…

Or, Pat se consacra à cet objectif-là trois jours après son arrivée. À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous saisissait, Pat, lui, il y opposa des raisonnements carrés, argua que la chance qu'on a dépendait en grande partie de soi-même. Et que même si le hasard, les impondérables et les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas complètement les choses ; en conséquence de quoi, chacun avait la possibilité de se forger son destin en fonction de ses actions, de sa volonté et de sa matière grise. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

Justine a dit…

Or, Pat se consacra à cet objectif-là trois jours après son arrivée. À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous saisissait, Pat, lui, il y opposa des raisonnements carrés, argua que la chance qu'on a dépendait en grande partie de soi-même. Et que même si le hasard, les impondérables et les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas complètement les choses ; en conséquence de quoi, chacun avait la possibilité de se forger son destin en fonction de ses actions, de sa volonté et de sa matière grise. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

Tradabordo a dit…

Or, Pat se consacra à cet objectif-là trois jours après son arrivée. À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous saisissait, Pat, [supprime ; c'était le but] lui, il y opposa des raisonnements carrés, argua que la chance qu'on a dépendait en grande partie de soi-même. Et que même si le hasard, les impondérables et les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas complètement les choses ; en conséquence de quoi, chacun avait la possibilité de se forger son destin en fonction de ses actions, de sa volonté et de sa matière grise. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

Justine a dit…

Or, Pat se consacra à cet objectif-là trois jours après son arrivée. À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous saisissait, lui, il y opposa des raisonnements carrés, argua que la chance qu'on a dépendait en grande partie de soi-même. Et que même si le hasard, les impondérables et les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas complètement les choses ; en conséquence de quoi, chacun avait la possibilité de se forger son destin en fonction de ses actions, de sa volonté et de sa matière grise. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

Tradabordo a dit…

Or, Pat se consacra à cet objectif-là trois jours après son arrivée. À la différence de ceux qui se moquaient de la panique viscérale qui nous saisissait, lui, il y opposa des raisonnements carrés, argua que la chance qu'on a dépendait en grande partie de soi-même. Et que même si le hasard, les impondérables et les coïncidences pouvaient chambouler notre vie, ils ne changeaient pas complètement les choses ; en conséquence de quoi, chacun avait la possibilité de se forger son destin en fonction de ses actions, de sa volonté et de sa matière grise. Il n'employa pas exactement ces mots-là, mais voilà plus ou moins les idées qu'il défendait.

OK.