Sin dudarlo salíamos a consolarla, entre risas calladas y compasión por la crueldad de los tiempos que le tocaron.
En sus momentos de lucidez, que raleaban, la abuela nos contaba cosas reales. Nos gustaba escucharla porque era como ver una novela. Habían pasado tantos años que parecía increíble que la protagonista fuera un ser vivo todavía.
-Este es Alfredito, mi primer hijo, que se murió.
Nos mostraba la fotito de un bebé ruludo que estaba en su mesa de luz, siempre con una rama de olivo bendito en el marco.
Traduction temporaire :
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort. Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, le cadre toujours orné d'une branche d'olivier béni.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort. Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, le cadre toujours orné d'une branche d'olivier béni.
26 commentaires:
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté de ces moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, qui s'éclairaient, la grand-mère nous racontait des histoires vraies. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tellement d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la petite photo d'un bébé frisé qui était sur la table lumineuse, toujours avec une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour [vérifiez que ça se construit bien avec « pour » ; je ne dis pas que c'est faux…] la cruauté de ces moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, qui s'éclairaient [?], la grand-mère nous racontait des histoires vraies [pas sûre que vous ayez raison de changer…]. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tellement [« tant » ?] d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la petite photo d'un bébé frisé qui était sur la table lumineuse, toujours avec une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour [vérifiez que ça se construit bien avec « pour » ; je ne dis pas que c'est faux… // je trouve plus de résultats pour l'usage de « pour » que pour « de » ] la cruauté de ces moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, qui s'usaient, la grand-mère nous racontait de réelles histoires. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la petite photo d'un bébé frisé qui était sur la table lumineuse, toujours avec une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour [vérifiez que ça se construit bien avec « pour » ; je ne dis pas que c'est faux… // je trouve plus de résultats pour l'usage de « pour » que pour « de » /// et ça donne quoi avec « vis-à-vis » ?] la cruauté de ces moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, qui s'usaient [pas très bien dit ; l'idée, c'est qu'ils sont de moins en moins nombreux… Il ne s'agit pas d'expliciter, mais quand même…], la grand-mère nous racontait de réelles histoires [revenez au littéral]. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la petite [je supprimerais] photo d'un bébé frisé qui était [nécessaire ?] sur la table lumineuse, toujours avec une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour [vérifiez que ça se construit bien avec « pour » ; je ne dis pas que c'est faux… // je trouve plus de résultats pour l'usage de « pour » que pour « de » /// et ça donne quoi avec « vis-à-vis » ? // on utilise « compassion vis-à-vis » lorsque ce qui suit est un complément de personne ou d'un être animé, d'après ce que j'ai trouvé : vis-à-vis de moi par exemple] la cruauté de ces moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, qui se faisaient de plus en plus rare, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé sur la table lumineuse, toujours avec une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour [vérifiez que ça se construit bien avec « pour » ; je ne dis pas que c'est faux… // je trouve plus de résultats pour l'usage de « pour » que pour « de » /// et ça donne quoi avec « vis-à-vis » ? // on utilise « compassion vis-à-vis » lorsque ce qui suit est un complément de personne ou d'un être animé, d'après ce que j'ai trouvé : vis-à-vis de moi par exemple] la cruauté de ces moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, qui se faisaient de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé sur la table lumineuse, toujours avec une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté de ces [« des »] moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, qui se faisaient [supprimez] de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé [il faut ajouter quelque chose ; la photo ou le bébé ?] sur la table lumineuse, toujours avec une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, qui se faisaient de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé aux cheveux frisés sur la table lumineuse, toujours avec une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, qui se faisaient de plus en plus rares [cf mon commentaire précédent sur cette petite section], la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé aux cheveux frisés sur [ma question demeure d'actualité : est-ce clair sur ce qui est sur la table ?] la table lumineuse, toujours avec une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, toujours avec une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, toujours avec une branche d'olivier béni dans l'encadrement [à partir de « toujours », ça manque de fluidité et donc de clarté // reformulez].
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, avec l'éternelle branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, avec l'éternelle branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, avec l'éternelle [sûre de l'interprétation ?] branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, toujours ornée d'une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, toujours ornée d'une branche d'olivier béni dans l'encadrement.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, toujours ornée d'une branche d'olivier béni dans l'encadrement [c'est lui orné, non ?].
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, toujours ornée d'une branche d'olivier béni dans l'encadrement [c'est lui orné, non ? // Je pensais que c'était la table lumineuse qui était ornée de la branche d'olivier…].
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, toujours ornée d'une branche d'olivier béni dans l'encadrement [c'est lui orné, non ? // Je pensais que c'était la table lumineuse qui était ornée de la branche d'olivier…].
Non, il s'agit du cadre.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, l'encadrement toujours orné d'une branche d'olivier béni.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, l'encadrement [« le cadre » ?] toujours orné d'une branche d'olivier béni.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, le cadre toujours orné d'une branche d'olivier béni.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, le cadre toujours orné d'une branche d'olivier béni.
Sans hésiter, nous sortions pour la consoler, entre rires étouffés et compassion pour la cruauté des moments qui lui tombèrent dessus. Dans ses instants de lucidité, de plus en plus rares, la grand-mère nous racontait des choses réelles. On aimait l'écouter parce que c'était comme regarder un roman. Tant d'années étaient passées que cela semblait incroyable que la protagoniste soit encore un être vivant. – Celui-là, c'est le petit Alfred, mon premier fils, qui est mort.
Elle nous montrait la photo d'un bébé frisé assis sur la table lumineuse, le cadre toujours orné d'une branche d'olivier béni.
OK.
Au fait, je me rends compte que cette section a déjà été validée et enregistrée… La suite vous attend depuis quelques jours déjà.
Enregistrer un commentaire