vendredi 24 avril 2015

Projet Odile 2 – phrases 165-172

Se asomó por la ventana. Nadie. Quizás era un gato. Mejor tratar de dormir, estoy nervioso. Cerró el archivo, apagó la máquina, tomó dos somníferos. Mira a través de la ventana. El hombre que escribía ahora duerme. Decide regresar a la calle, llevarse su soledad, caminar sin rumbo por la ciudad desierta.

Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires

4 commentaires:

Odile a dit…

Projet Odile 2 – phrases 165-172

Il se pencha à la fenêtre. Personne. C’était peut-être un chat. Il vaut mieux essayer de dormir, je suis nerveux. Il ferma le dossier, arrêta la machine, avala deux somnifères.

Il regarde à travers la fenêtre. Maintenant, l’homme qui écrivait dort. Il décide de retourner dans la rue, d’emporter sa solitude et de marcher sans but dans la ville déserte.

Tradabordo a dit…

Il se pencha à la fenêtre. Personne. C’était [évite cette construction / « c'est » et « c'était »… quand on peut faire sans, c'est mieux… et on la garde pour les cas où on en a vraiment besoin] peut-être un chat. Il vaut mieux essayer de dormir, je suis nerveux. Il ferma le dossier, arrêta la machine, avala deux somnifères.
Il regarde à travers la fenêtre [« vitre » / « carreau » .]. Maintenant, l’homme qui écrivait dort [syntaxe?]. Il décide de retourner dans la rue, d’emporter sa solitude et de marcher sans but dans la ville déserte.

Odile a dit…


Projet Odile 2 – phrases 165-172

Il se pencha à la fenêtre. Personne. Peut-être un chat. Il vaut mieux essayer de dormir, je suis nerveux. Il ferma le dossier, arrêta la machine, avala deux somnifères.
Il regarde à travers le carreau. L’homme qui écrivait est maintenant endormi. Il décide de retourner dans la rue, d’emporter sa solitude et de marcher sans but dans la ville déserte.

Tradabordo a dit…

Il se pencha à la fenêtre. Personne. Peut-être un chat. Il vaut mieux essayer de dormir, je suis nerveux. Il ferma le dossier, arrêta la machine [au fait, je ne sais plus de quoi ça parle, mais c'était pas une voiture ? Je te laisse vérifier], avala deux somnifères.
Il regarde à travers le carreau. L’homme qui écrivait est maintenant endormi. Il décide de retourner dans la rue, d’emporter sa solitude et de marcher sans but dans la ville déserte.