samedi 9 mai 2015

Projet Annelise 2 – phrases 183-189

Didier, mi vida, ama a tu mamá una última vez.
Se sienta sobre mí y se mueve. A pesar de su edad ella es la que tiene el control, el manejo del movimiento. Adentro se siente caliente, la vida debe ser caliente. Debo ser el doble de Didier, el otro, el mismo, el que se parece. Me duele estar así, lo sigo haciendo porque no puedo parar. Ella llora, se queja.

Traduction temporaire :

— Didier, mon chéri, aime ta mère une dernière fois.
Elle s'assied sur moi et se met à bouger. Malgré son âge, c’est elle qui a le contrôle, qui gère ses mouvements. À l’intérieur, elle se sent chaude, la vie doit être chaude. Je dois être le double de Didier, l’autre, le même, celui qui lui ressemble. Ça me fait mal de le faire, je continue car je ne peux pas arrêter. Elle pleure, gémit.

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

—Didier, mon amour, aime ta mère une dernière fois.

Elle s’assoit sur moi et se remue. Malgré son âge, c’est elle qui possède le contrôle, la conduite de ses mouvements. À l’intérieur, elle se sent chaude, la vie doit être chaude. Je dois être le double de Didier, l’autre, le même, celui qui lui ressemble. Ça me fait mal de le faire, je continue car je ne peux pas arrêter. Elle pleure, se plaint.

Tradabordo a dit…

—Didier, mon amour [« chéri » pour éviter « amour » + « aime » ?], aime ta mère une dernière fois.
Elle s’assoit sur moi et se remue [bof]. Malgré son âge, c’est elle qui possède [« a » ?] le contrôle, la conduite [« gestion » ?] de ses mouvements. À l’intérieur, elle [« il » ? J'avoue être un peu perdue…] se sent chaude, la vie doit être chaude. Je dois être le double de Didier, l’autre, le même, celui qui lui ressemble. Ça me fait mal de le faire, je continue car je ne peux pas arrêter. Elle pleure, se plaint.

Anonyme a dit…

Annelise L

—Didier, mon chéri, aime ta mère une dernière fois.
Elle s’assoit sur moi et se met à bouger. Malgré son âge, c’est elle qui a le contrôle, la gestion de ses mouvements. À l’intérieur, elle se sent chaude, la vie doit être chaude. Je dois être le double de Didier, l’autre, le même, celui qui lui ressemble. J'ai mal de le faire. Je continue car je ne peux pas arrêter. Elle pleure, se plaint.

Tradabordo a dit…

— Didier, mon chéri, aime ta mère une dernière fois.
Elle s’assoit [« s'assied » ?] sur moi et se met à bouger. Malgré son âge, c’est elle qui a le contrôle, la gestion de [ou : « qui gère » ? J'hésite… Je te laisse trancher] ses mouvements. À l’intérieur, elle se sent chaude, la vie doit être chaude. Je dois être le double de Didier, l’autre, le même, celui qui lui ressemble. J'ai mal de le faire [je me demande si tu ne changes pas trop]. Je continue car je ne peux pas arrêter. Elle pleure, se plaint [« gémit » ?].

Anonyme a dit…

Annelise L

— Didier, mon chéri, aime ta mère une dernière fois.
Elle s'assied sur moi et se met à bouger. Malgré son âge, c’est elle qui a le contrôle, qui gère ses mouvements. À l’intérieur, elle se sent chaude, la vie doit être chaude. Je dois être le double de Didier, l’autre, le même, celui qui lui ressemble. Ça me fait mal de le faire, je continue car je ne peux pas arrêter. Elle pleure, gémit.

Tradabordo a dit…

— Didier, mon chéri, aime ta mère une dernière fois.
Elle s'assied sur moi et se met à bouger. Malgré son âge, c’est elle qui a le contrôle, qui gère ses mouvements. À l’intérieur, elle se sent chaude, la vie doit être chaude. Je dois être le double de Didier, l’autre, le même, celui qui lui ressemble. Ça me fait mal de le faire, je continue car je ne peux pas arrêter. Elle pleure, gémit.

OK.