mercredi 20 mai 2015

Projet Émilie 8 – phrases 162-165

Las flámulas que danzaban por la mañana entre el cobre pluvial, eran ahora llamaradas siniestras. Empezó a soplar un viento ardentísimo, denso, como alquitrán caliente. Parecía que se estuviese en un inmenso horno sombrío. Cielo, tierra, aire, todo acababa.

Traduction temporaire :
Les flammèches qui, le matin, dansaient parmi les gouttes de cuivre, étaient à présent de sinistres brandons. Aussi dense que du goudron chaud, un vent très brûlant commença à souffler. On se serait cru dans un immense four sombre. Ciel, terre, air, tout disparaissait.

2 commentaires:

Emilie a dit…

Les flammèches qui, le matin, dansaient parmi les gouttes de cuivre, étaient à présent de sinistres brandons. Aussi dense que du goudron chaud, un vent très brûlant commença à souffler. On se serait cru dans un immense four sombre. Ciel, terre, air, tout disparaissait.

Tradabordo a dit…

Les flammèches qui, le matin, dansaient parmi les gouttes de cuivre, étaient à présent de sinistres brandons. Aussi dense que du goudron chaud, un vent très brûlant commença à souffler. On se serait cru dans un immense four sombre. Ciel, terre, air, tout disparaissait.

OK.