Luego vino un empleado y nos ofreció refrescos y una pequeña fuente con ensalada de fruta que disfrutamos con Estela, cada cual poniendo pedazos de sandía o melón en la boca del otro. Otra vez en el mar, y luego secándonos mutuamente nuestros húmedos cuerpos. Siempre con ella, los dos solos, por primera vez embriagados de deseo, pero sin saber qué hacer al respecto. Trastabillando como ciegos en los senderos del romance, todavía sin atinar a encontrar el camino. Un día maravilloso que siempre atesoraremos en nuestra memoria.
Traduction temporaire :
Puis, un employé s'avança et nous offrit des rafraîchissements accompagnés d'une coupelle de salade de fruits que nous dégustâmes avec Estela, chacun déposant des morceaux de pastèque ou de melon dans la bouche de l’autre. Après un autre bain de mer, nous séchâmes mutuellement nos corps. Toujours avec elle ; nous deux, seuls, pour la première fois enivrés par le désir, mais sans savoir quoi faire. Chancelant, en aveugles sur le sentier de l’idylle, sans trouver encore le chemin. Un jour merveilleux que nous garderons toujours en mémoire, précieusement.
Puis, un employé s'avança et nous offrit des rafraîchissements accompagnés d'une coupelle de salade de fruits que nous dégustâmes avec Estela, chacun déposant des morceaux de pastèque ou de melon dans la bouche de l’autre. Après un autre bain de mer, nous séchâmes mutuellement nos corps. Toujours avec elle ; nous deux, seuls, pour la première fois enivrés par le désir, mais sans savoir quoi faire. Chancelant, en aveugles sur le sentier de l’idylle, sans trouver encore le chemin. Un jour merveilleux que nous garderons toujours en mémoire, précieusement.
9 commentaires:
Vint ensuite un employé, qui nous offrit des rafraîchissements et un petit plat avec une salade de fruit, que nous dégustâmes avec Estela, chacun mettant des morceaux de pastèque ou de melon dans la bouche de l’autre. Encore une fois à la mer, nous nous séchâmes mutuellement nos corps humides. Toujours avec elle, tous les deux, pour la première fois enivrés par le désir, mais en ne sachant pas que faire à ce sujet. Chancelant comme des aveugles sur les sentiers de l’idylle, sans trouver encore le chemin. Un jour merveilleux que nous conserverons éternellement dans notre mémoire.
Vint ensuite un employé [construction naturelle ?], qui nous offrit des rafraîchissements et un petit plat avec [bizarre, non ?] une salade de fruit [pluriel ? Vérifiez], que nous dégustâmes avec Estela, chacun mettant des morceaux de pastèque ou de melon dans la bouche de l’autre. Encore une fois à [?] la mer, nous nous [supprimez] séchâmes mutuellement nos corps humides. Toujours avec elle, tous les deux [et le « solos » ?], pour la première fois enivrés par le désir, mais en [nécessaire ?] ne sachant pas [nécessaire ?] que faire à ce sujet [nécessaire ?]. Chancelant comme des aveugles sur les sentiers de l’idylle, sans trouver encore le chemin. Un jour merveilleux que nous conserverons éternellement dans notre mémoire.
J'ai choisi d'ajouter « précieusement » pour retranscrire l'idée de valeur contenue dans « atesoraremos » :
Puis, un employé s'avança et nous offrit une petite coupelle de salade de fruits que nous dégustâmes avec Estela, chacun mettant des morceaux de pastèque ou de melon dans la bouche de l’autre. Après un autre bain de mer, nous séchâmes mutuellement nos corps humides. Toujours avec elle, seuls tous les deux, pour la première fois enivrés par le désir, sans savoir quoi faire. Chancelant, tels des aveugles qui n'ont pas encore découvert le chemin (? Ça nous éviterait de répéter « sans »)sur le sentier de l’idylle. Un jour merveilleux que nous garderons toujours en mémoire, précieusement.
J'ai choisi d'ajouter « précieusement » pour retranscrire l'idée de valeur contenue dans « atesoraremos » :
Puis, un employé s'avança et nous offrit une petite coupelle de salade de fruits que nous dégustâmes avec Estela, chacun mettant des morceaux de pastèque ou de melon dans la bouche de l’autre. Après un autre bain de mer, nous séchâmes mutuellement nos corps humides. Toujours avec elle, seuls tous les deux, pour la première fois enivrés par le désir, sans savoir quoi faire. Chancelant, tels des aveugles qui n'ont pas encore découvert le chemin [Oui, petit changement par rapport à la V.O. Mais ça nous évite la répétition de « sans » ou l'enchaînement de deux gérondifs si on opte pour « ne sachant que faire. Chancelant… »]sur le sentier de l’idylle. Un jour merveilleux que nous garderons toujours en mémoire, précieusement.
Puis, un employé s'avança et nous offrit [ et « refrescos » ?] une petite coupelle [redondant avec « petite » ?] de salade de fruits que nous dégustâmes avec Estela, chacun mettant [pas très glamour ;-)] des morceaux de pastèque ou de melon dans la bouche de l’autre. Après un autre bain de mer, nous séchâmes mutuellement nos corps humides [nécessaire ? Ils ne sèchent pas leurs corps secs]. Toujours avec elle, seuls tous les deux, pour la première fois enivrés par le désir, [il faut quand même rendre le « pero », d'une manière ou d'une autre…] sans savoir quoi faire. Chancelant, tels des [ou juste avec un : « en » ?] aveugles qui n'ont pas encore découvert [ajout inutile ; reviens à la V.O. Solution sans gérondif] le chemin sur le sentier de l’idylle. Un jour merveilleux que nous garderons toujours en mémoire, précieusement.
Puis, un employé s'avança et nous offrit des rafraîchissements accompagnés d'une coupelle de salade de fruits que nous dégustâmes avec Estela, chacun déposant des morceaux de pastèque ou de melon dans la bouche de l’autre. Après un autre bain de mer, nous séchâmes mutuellement nos corps. Toujours avec elle, seuls tous les deux, pour la première fois enivrés par le désir, mais sans savoir quoi faire. Chancelant, en aveugles sur le chemin sur le sentier de l’idylle, sans trouver encore le chemin. Un jour merveilleux que nous garderons toujours en mémoire, précieusement.
Puis, un employé s'avança et nous offrit des rafraîchissements accompagnés d'une coupelle de salade de fruits que nous dégustâmes avec Estela, chacun déposant des morceaux de pastèque ou de melon dans la bouche de l’autre. Après un autre bain de mer, nous séchâmes mutuellement nos corps. Toujours avec elle, seuls tous [je pinaille, mais c'est pour la bonne cause = toujours + « tous » = bof] les deux, pour la première fois enivrés par le désir, mais sans savoir quoi faire. Chancelant, en aveugles sur le chemin sur le sentier [relis-toi] de l’idylle, sans trouver encore le chemin [relis]. Un jour merveilleux que nous garderons toujours en mémoire, précieusement.
Puis, un employé s'avança et nous offrit des rafraîchissements accompagnés d'une coupelle de salade de fruits que nous dégustâmes avec Estela, chacun déposant des morceaux de pastèque ou de melon dans la bouche de l’autre. Après un autre bain de mer, nous séchâmes mutuellement nos corps. Toujours avec elle ; nous deux, seuls, pour la première fois enivrés par le désir, mais sans savoir quoi faire. Chancelant, en aveugles sur le sentier de l’idylle, sans trouver encore le chemin. Un jour merveilleux que nous garderons toujours en mémoire, précieusement.
Puis, un employé s'avança et nous offrit des rafraîchissements accompagnés d'une coupelle de salade de fruits que nous dégustâmes avec Estela, chacun déposant des morceaux de pastèque ou de melon dans la bouche de l’autre. Après un autre bain de mer, nous séchâmes mutuellement nos corps. Toujours avec elle ; nous deux, seuls, pour la première fois enivrés par le désir, mais sans savoir quoi faire. Chancelant, en aveugles sur le sentier de l’idylle, sans trouver encore le chemin. Un jour merveilleux que nous garderons toujours en mémoire, précieusement.
OK.
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