En el trabajo, después del incidente con la policía, el Contador evitó a toda costa la presencia de la Secretaria. Si tenía que darle algún recado se hacía el desentendido o mandaba a que lo hiciera otra persona. Así transcurrieron las semanas hasta que, a fin de año, cuando se realizaba el balance general y en la oficina se respiraba oxígeno con estrés, la Secretaria se acercó a su escritorio. Llevaba una sonrisa pícara y sus ojos brillaban con luz propia. Le extendió dos documentos.
Traduction temporaire :
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Au travail, à partir de l'incident avec la police, le Comptable évita à tout prix la Secrétaire. S'il devait lui remettre un message, il faisait comme si de rien n'était ou en chargeait quelqu'un d'autre. Les semaines s'écoulèrent ainsi, jusqu'à ce qu'au moment du bilan général de fin d'année, lorsque dans le cabinet on respirait péniblement, la Secrétaire s'approche de son bureau. Elle affichait un sourire coquin et il y avait dans ses yeux une lueur qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
Au travail, à partir de l'incident avec la police, le Comptable évita à tout prix la Secrétaire. S'il devait lui remettre un message, il faisait comme si de rien n'était ou en chargeait quelqu'un d'autre. Les semaines s'écoulèrent ainsi, jusqu'à ce qu'au moment du bilan général de fin d'année, lorsque dans le cabinet on respirait péniblement, la Secrétaire s'approche de son bureau. Elle affichait un sourire coquin et il y avait dans ses yeux une lueur qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
10 commentaires:
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Au travail, après l'incident avec la police, le Comptable évita à tout prix la présence de la Secrétaire. S'il devait lui remettre une commission, il l'ignorait ou il en chargeait quelqu'un d'autre. Ainsi passèrent les semaines, jusqu'à ce que, en fin d'année, quand avait lieu le bilan général et que dans le cabinet on respirait l'oxygène avec stress, la Secrétaire s'approcha de son bureau. Elle affichait un sourire coquin et ses yeux brillaient d'une lumière qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
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Au travail, après l'incident avec la police, le Comptable évita à tout prix la présence de la Secrétaire [j'hésite sur la syntaxe de ce texte]. S'il devait lui remettre une commission [« message » ?], il l'ignorait ou il [nécessaire ?] en chargeait quelqu'un d'autre. Ainsi passèrent les semaines [naturel ?], jusqu'à ce que, en fin d'année, quand avait lieu le bilan général et que dans le cabinet on respirait l'oxygène avec stress, la Secrétaire s'approcha de son bureau [remets un peu de fluidité].
Elle affichait un sourire coquin et ses yeux brillaient d'une lumière qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
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Au travail, le Comptable évita à tout prix la présence de la Secrétaire après l'incident avec la police. S'il devait lui remettre un message, il l'ignorait ou en chargeait quelqu'un d'autre. Les semaines s'écoulèrent ainsi, jusqu'à ce que, au moment du bilan général de fin d'année lorsque dans le cabinet on respirait l'oxygène avec stress, la Secrétaire s'approcha de son bureau. Elle affichait un sourire coquin et ses yeux brillaient d'une lumière qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
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Au travail, le Comptable évita à tout prix la présence de la Secrétaire après [à partir de là, placé avant ? Essaie et vois si ça n'est pas mieux] l'incident avec la police. S'il devait lui remettre un message, il l'ignorait [pas plutôt dans le sens : « faire comme si de rien n'était » ?] ou en chargeait quelqu'un d'autre. Les semaines s'écoulèrent ainsi, jusqu'à ce que, au [« qu'au » ?] moment du bilan général de fin d'année [virgule] lorsque dans le cabinet on respirait l'oxygène avec stress [naturel et clair ?], la Secrétaire s'approcha [grammaire ?] de son bureau. Elle affichait un sourire coquin et ses yeux brillaient d'une lumière [« il y avait dans ses yeux une lueur »] qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
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Au travail, à partir de l'incident avec la police, le Comptable évita à tout prix la présence de la Secrétaire. S'il devait lui remettre un message, il faisait comme si de rien n'était ou en chargeait quelqu'un d'autre. Les semaines s'écoulèrent ainsi jusqu'à ce que la Secrétaire, au moment du bilan général de fin d'année, lorsque dans le cabinet on respirait péniblement, s'approcha de son bureau. Elle affichait un sourire coquin et il y avait dans ses yeux une lueur qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
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Au travail, à partir de l'incident avec la police, le Comptable évita à tout prix la présence de [au fait : et si on supprimait ?] la Secrétaire. S'il devait lui remettre un message, il faisait comme si de rien n'était ou en chargeait quelqu'un d'autre. Les semaines s'écoulèrent ainsi [virgule] jusqu'à ce que la Secrétaire [essaie de le mettre après], au moment du bilan général de fin d'année, lorsque dans le cabinet on respirait péniblement, s'approcha [temps / mode] de son bureau. Elle affichait un sourire coquin et il y avait dans ses yeux une lueur qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
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Au travail, à partir de l'incident avec la police, le Comptable évita à tout prix la Secrétaire. S'il devait lui remettre un message, il faisait comme si de rien n'était ou en chargeait quelqu'un d'autre. Les semaines s'écoulèrent ainsi, jusqu'à ce qu'au moment du bilan général de fin d'année, lorsque dans le cabinet on respirait péniblement, la Secrétaire s'approchât de son bureau. Elle affichait un sourire coquin et il y avait dans ses yeux une lueur qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
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Au travail, à partir de l'incident avec la police, le Comptable évita à tout prix la Secrétaire. S'il devait lui remettre un message, il faisait comme si de rien n'était ou en chargeait quelqu'un d'autre. Les semaines s'écoulèrent ainsi, jusqu'à ce qu'au moment du bilan général de fin d'année, lorsque dans le cabinet on respirait péniblement, la Secrétaire s'approchât [concordance des temps ?] de son bureau. Elle affichait un sourire coquin et il y avait dans ses yeux une lueur qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
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Au travail, à partir de l'incident avec la police, le Comptable évita à tout prix la Secrétaire. S'il devait lui remettre un message, il faisait comme si de rien n'était ou en chargeait quelqu'un d'autre. Les semaines s'écoulèrent ainsi, jusqu'à ce qu'au moment du bilan général de fin d'année, lorsque dans le cabinet on respirait péniblement, la Secrétaire s'approche de son bureau. Elle affichait un sourire coquin et il y avait dans ses yeux une lueur qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
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Au travail, à partir de l'incident avec la police, le Comptable évita à tout prix la Secrétaire. S'il devait lui remettre un message, il faisait comme si de rien n'était ou en chargeait quelqu'un d'autre. Les semaines s'écoulèrent ainsi, jusqu'à ce qu'au moment du bilan général de fin d'année, lorsque dans le cabinet on respirait péniblement, la Secrétaire s'approche de son bureau. Elle affichait un sourire coquin et il y avait dans ses yeux une lueur qui leur était propre. Elle lui tendit deux documents.
OK.
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