mardi 2 juin 2015

Projet Élodie 10 – phrases 60-66

Y dos hoyuelos por debajo de la zona lumbar, uno sobre cada nalga. Para morder primero uno y luego el otro. Imposible contarlos, le dije. ¿Contar el qué? Tus granos de comino. Se rió con el símil ―esta vez no me molestó su risa― y, tumbándose de lado, me ofreció su espalda moteada. Entonces me desnudé. Lancé al aire la camiseta, los pantalones, las deportivas; la abracé por detrás, le mordí la nuca, empecé a mordisquear su cabello. 

Traduction temporaire :
Puis, on voyait deux fossettes sous la zone lombaire, une sur chaque fesse ; pour mordre d'abord l'une, ensuite l'autre. Impossible de les compter, lui dis-je. Compter quoi ? Tes grains de cumin. Elle rit comme tout à l'heure – cette fois, cela ne me dérangea pas – s'allongea sur le côté et m'offrit son dos tacheté. Alors, je me déshabillai. Je balançai ma chemise, mon pantalon, mes baskets ; je l'enlaçai par derrière, lui mordis la nuque et commençai à lui mordiller les cheveux.

6 commentaires:

Elodie a dit…

Puis, on voyait deux fossettes au-dessous de la zone lombaire et une sur chaque fesse ; pour mordre d'abord l'une et ensuite l'autre. Impossible de les compter lui dis-je. Compter quoi ? Tes grains de cumin. Elle rit comme tout à l'heure – cette fois, son rire ne me dérangea pas – elle s'allongea sur le côté et m'offrit son dos tacheté. Alors, je me déshabillai. Je lançai ma chemise en l'air, mon pantalon, mes baskets ; je l'enlaçai par derrière, lui mordis la nuque et commençai à lui mordiller les cheveux.

Tradabordo a dit…

Puis, on voyait deux fossettes au-dessous de [ou simplement « sous » ?] la zone lombaire et [CS ?] une sur chaque fesse ; pour mordre d'abord l'une et [une simple virgule ?] ensuite l'autre. Impossible de les compter [virgule] lui dis-je. Compter quoi ? Tes grains de cumin. Elle rit comme tout à l'heure [sûre de l'interprétation ? Je ne dis pas que c'est faux…] – cette fois, son rire [nécessaire de répéter ?] ne me dérangea pas – elle s'allongea sur le côté et m'offrit son dos tacheté [« moucheté » ? Comme tu préfères…]. Alors, je me déshabillai. Je lançai ma chemise en l'air [nécessaire ? Ça fait bizarre, non ?], mon pantalon, mes baskets ; je l'enlaçai par derrière, lui mordis la nuque et commençai à lui mordiller les cheveux.

Elodie a dit…

Puis, on voyait deux fossettes sous la zone lombaire, une sur chaque fesse ; pour mordre d'abord l'une, ensuite l'autre. Impossible de les compter, lui dis-je. Compter quoi ? Tes grains de cumin. Elle rit comme tout à l'heure – cette fois, cela ne me dérangea pas – elle s'allongea sur le côté et m'offrit son dos tacheté. Alors, je me déshabillai. Je lançai ma chemise, mon pantalon, mes baskets ; je l'enlaçai par derrière, lui mordis la nuque et commençai à lui mordiller les cheveux.

Tradabordo a dit…

Puis, on voyait deux fossettes sous la zone lombaire, une sur chaque fesse ; pour mordre d'abord l'une, ensuite l'autre. Impossible de les compter, lui dis-je. Compter quoi ? Tes grains de cumin. Elle rit comme tout à l'heure – cette fois, cela ne me dérangea pas – elle [nécessaire ?] s'allongea sur le côté et m'offrit son dos tacheté. Alors, je me déshabillai. Je lançai [« balançai » ?] ma chemise, mon pantalon, mes baskets ; je l'enlaçai par derrière, lui mordis la nuque et commençai à lui mordiller les cheveux.

Elodie a dit…

Puis, on voyait deux fossettes sous la zone lombaire, une sur chaque fesse ; pour mordre d'abord l'une, ensuite l'autre. Impossible de les compter, lui dis-je. Compter quoi ? Tes grains de cumin. Elle rit comme tout à l'heure – cette fois, cela ne me dérangea pas – s'allongea sur le côté et m'offrit son dos tacheté. Alors, je me déshabillai. Je balançai ma chemise, mon pantalon, mes baskets ; je l'enlaçai par derrière, lui mordis la nuque et commençai à lui mordiller les cheveux.

Tradabordo a dit…

Puis, on voyait deux fossettes sous la zone lombaire, une sur chaque fesse ; pour mordre d'abord l'une, ensuite l'autre. Impossible de les compter, lui dis-je. Compter quoi ? Tes grains de cumin. Elle rit comme tout à l'heure – cette fois, cela ne me dérangea pas – s'allongea sur le côté et m'offrit son dos tacheté. Alors, je me déshabillai. Je balançai ma chemise, mon pantalon, mes baskets ; je l'enlaçai par derrière, lui mordis la nuque et commençai à lui mordiller les cheveux.

OK.