mardi 4 février 2014

Projet Céline / Sonita 4 – phrase 37


Y como yo sí soy un científico profesional, relataré brevemente el origen por la cual me encuentro atrincherado, mientras un contingente de mujeres destempladas y caníbales –tan vasto como sólo vi en las más nutridas marchas peronistas– me busca desaforadamente en medio de la histeria colectiva más intensa que un ser humano haya contemplado nunca (es una ventaja que las damas que saben manejar maquinaria pesada se encuentren repartidas entre Luján y Rosario, tras el campo de fuerza que circunda la General Paz.

Traduction temporaire :
Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est obstinément à mes trousses, dans l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais connue (c’est un avantage que les dames qui savent conduire de lourds engins soient mobilisées entre les villes de Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

20 commentaires:

Unknown a dit…

Et comme moi, je suis vraiment un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve retranché, tandis qu’un contingent de femmes fébriles et cannibales – gros comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – me cherche confusément au milieu de l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais contemplée (c’est un avantage que les dames qui savent conduire des lourds engins soient réparties entre Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

Tradabordo a dit…

Et comme moi, je suis vraiment [ou alors avec un « oui » entre virgules après « moi » ?] un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve retranché [clair ?], tandis qu’un contingent de femmes fébriles [pas plus fort en V.O. ?] et cannibales – gros [« fourni » ?] comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – me cherche confusément au milieu de l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais contemplée (c’est un avantage que les dames qui savent conduire des lourds engins soient réparties entre Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

Dans l'ensemble, ça manque un peu de clarté… Je crois que vous pouvez vous dégager un peu du littéral.

Sonita a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve confinné, tandis qu’un contingent de femmes colériques et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – me cherche confusément au milieu de l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais contemplée (c’est un avantage que les dames qui savent conduire des lourds engins soient réparties entre Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

Tradabordo a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve confinné [orthographe / ou dans le sens « coincé » ?], tandis qu’un contingent de femmes colériques [« excitées » ?] et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – me cherche [dans le sens « sont à mes trousses » ?]

confusément au milieu de l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais contemplée (c’est un avantage que les dames qui savent conduire des lourds engins soient réparties entre Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

Sonita a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est à mes trousses

Tradabordo a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me coincé [?], tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est à mes trousses

Shanok a dit…

Pardon !

***
Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est à mes trousses

Tradabordo a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est à mes trousses

OK… tu peux mettre la suite.

Sonita a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est témérairement à mes trousses au milieu de l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais contemplée (c’est un avantage que les dames qui savent conduire des lourds engins soient réparties entre Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

Tradabordo a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est témérairement [FS ?] à mes trousses [virgule ?] au milieu de [« dans » ?] l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais contemplée [adaptée ici ?] (c’est un avantage que les dames qui savent conduire des lourds engins soient réparties [manque de clarté] entre Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

Sonita a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est témérairement à mes trousses, dans l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais vue (c’est un avantage que les dames qui savent conduire des lourds engins se trouvent entre Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

***
Il me semble que "témérairement" rend bien notre contexte puisqu'il s'agit-là d'une horde de femmes très en colère contre ce narrateur et que rien n'arrête dans le but de le retrouver.

Unknown a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est confusément à mes trousses, dans l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais connue (c’est un avantage que les dames qui savent conduire des lourds engins vivent entre Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

Tradabordo a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est confusément [« obstinément » ?] à mes trousses, dans l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais connue (c’est un avantage que les dames qui savent conduire des lourds engins vivent entre Luján et Rosario [je ne comprends pas], derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

Sonita a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est obstinément à mes trousses, dans l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais connue (c’est un avantage que les dames qui savent conduire des lourds engins se trouvent en service entre les villes de Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

Tradabordo a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est obstinément à mes trousses, dans l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais connue (c’est un avantage que les dames qui savent conduire des [« de »] lourds engins se trouvent en service [c'est mieux…, mais je ne pense pas qu'un lecteur francophone lambda comprendra de quoi il s'agit] entre les villes de Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

Sonita a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est obstinément à mes trousses, dans l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais connue (c’est un avantage que les dames qui savent conduire de lourds engins sont mobilisées entre les villes de Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

Tradabordo a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est obstinément à mes trousses, dans l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais connue (c’est un avantage que les dames qui savent conduire de lourds engins sont [grammaire] mobilisées entre les villes de Luján et Rosario, derrière le champ de force [peu clair « camp de force »] qui entoure l’avenue General Paz.

Sonita a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est obstinément à mes trousses, dans l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais connue (c’est un avantage que les dames qui savent conduire de lourds engins soient mobilisées entre les villes de Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

***
D'après mes recherches, un "champ de force" est un terme qui relève du domaine de la science-fiction :
Un champ de force (parfois orthographié champ de forces) est un concept fictif de la science-fiction. Il s'agit d'une paroi immatérielle impénétrable ou quasi impénétrable. Les champs de force sont souvent une utilisation de défense passive, par exemple contre les lasers ennemis, ou contre les astéroïdes.

Tradabordo a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est obstinément à mes trousses, dans l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais connue (c’est un avantage que les dames qui savent conduire de lourds engins soient mobilisées entre les villes de Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

OK.

Céline ?

Unknown a dit…

Et comme moi, oui, je suis un scientifique professionnel, je raconterai brièvement la raison pour laquelle je me trouve coincé, tandis qu’un contingent de femmes excitées et cannibales – fourni comme je n’en ai vu que dans les marches péronistes les plus suivies – est obstinément à mes trousses, dans l’hystérie collective la plus intense qu’un être humain ait jamais connue (c’est un avantage que les dames qui savent conduire de lourds engins soient mobilisées entre les villes de Luján et Rosario, derrière le champ de force qui entoure l’avenue General Paz.

OK.