—¿Qué tal cariño? ¿De dónde vienes?
Ella ni le respondió ni le devolvió el beso. Su mirada estaba fija en el suelo, temerosa, asustada, extrañada… Dejó el bolso y la chaqueta en un sillón, y se quitó los zapatos dejándolos tirados en el suelo. Josef la seguía con la mirada mientras ella se sentaba en el sofá, sin levantar todavía la cabeza. Observó cómo abría la mano, dejando caer en la mesa un papel que había sujetado con demasiada fuerza, a juzgar por su aspecto arrugado.
—Ros, ¿qué te pasa? ¿Te han dado una mala noticia o algo? Me estás asustando.
—Algo así —dijo ella, levantando los ojos por primera vez—. La verdad es que no sé muy bien qué pensar…
Traduction temporaire :
— Ça va, chérie ? D'où viens-tu ? Elle ne lui répondit ni ne lui rendit son baiser. Ses yeux fixaient le sol, comme apeurés, effrayés, étranges… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit qu'elle posait sur la table un papier chiffonné qu'elle avait dû serrer très fort.
— Ros ? Que se passe-t-il ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ? Tu me fais peur.
— En quelque sorte, dit-elle, levant enfin les yeux. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
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— Comment ça va chérie? D'où viens-tu? Elle ne lui répondit pas et ne lui rendit pas son baiser. Son regard était fixé au sol, comme apeuré, effrayé, étrange… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, et laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit comment elle ouvrait la main pour laisser tomber, sur la table, un papier qu'elle avait tenu avec force, à en juger par son aspect chiffonné.
— Ros? Que se passe-t-il? Tu as appris une mauvaise nouvelle? Tu me fais peur.
— Quelque chose du genre, dit-elle, levant les yeux pour la première fois. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
Rétablissez vos espaces.
— Comment ça va chérie ? D'où viens-tu ? Elle ne lui répondit pas et ne lui rendit pas son baiser. Son regard était fixé au sol, comme apeuré, effrayé, étrange… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, et laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit comment elle ouvrait la main pour laisser tomber, sur la table, un papier qu'elle avait tenu avec force, à en juger par son aspect chiffonné.
— Ros ? Que se passe-t-il ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ? Tu me fais peur.
— Quelque chose du genre, dit-elle, levant les yeux pour la première fois. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
— Comment [nécessaire ?] ça va [virgule] chérie ? D'où viens-tu
? Elle ne lui répondit [et la nuance comprise dans le « ni » ?] pas et ne lui rendit pas son baiser. Son regard était fixé au sol [bizarre], comme apeuré, effrayé, étrange… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, et laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit comment [nécessaire ?] elle ouvrait la main pour laisser tomber, sur la table, un papier qu'elle avait tenu avec force, à en juger par son aspect chiffonné [la syntaxe n'est pas très fluide… Vois si tu peux combiner cela un peu autrement].
— Ros ? Que se passe-t-il ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ? Tu me fais peur.
— Quelque chose du genre, dit-elle, levant les yeux pour la première fois. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
— Ça va, chérie ? D'où viens-tu ? Elle ne lui répondit ni ne lui rendit son baiser. Ses yeux fixaient le sol, comme apeurés, effrayés, étranges… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, et laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit qu'elle laissait tomber, sur la table, un papier qu'elle avait tenu avec force dans sa main, à en juger par son aspect chiffonné.
— Ros ? Que se passe-t-il ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ? Tu me fais peur.
— Quelque chose du genre, dit-elle, levant les yeux pour la première fois. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
— Ça va, chérie ? D'où viens-tu ? Elle ne lui répondit ni ne lui rendit son baiser. Ses yeux fixaient le sol, comme apeurés, effrayés, étranges… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, et laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit qu'elle laissait tomber, [virgule ?] sur la table, [idem ?] un papier qu'elle avait tenu avec force dans sa main [naturel ?], à en juger par son aspect chiffonné [vraiment un pb de naturel… sans doute lié à la syntaxe // recombine tout cela].
— Ros ? Que se passe-t-il ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ? Tu me fais peur.
— Quelque chose du genre, dit-elle, levant les yeux pour la première fois. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
— Ça va, chérie ? D'où viens-tu ? Elle ne lui répondit ni ne lui rendit son baiser. Ses yeux fixaient le sol, comme apeurés, effrayés, étranges… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, et laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit qu'elle laissait tomber sur la table un papier à l'aspect chiffonné qu'elle avait dû serrer très fort.
— Ros ? Que se passe-t-il ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ? Tu me fais peur.
— Quelque chose du genre, dit-elle, levant les yeux pour la première fois. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
— Ça va, chérie ? D'où viens-tu ? Elle ne lui répondit ni ne lui rendit son baiser. Ses yeux fixaient le sol, comme apeurés, effrayés, étranges… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit qu'elle laissait [tu en as déjà un dans la phrase d'avant…] tomber sur la table un papier à l'aspect [nécessaire ?] chiffonné qu'elle avait dû serrer très fort. Ros ? Que se passe-t-il ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ? Tu me fais peur.
— Quelque chose du genre [naturel ? J'hésite…], dit-elle, levant les yeux pour la première fois [ou avec juste un « enfin » ? Je te laisse voir…]. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
— Ça va, chérie ? D'où viens-tu ? Elle ne lui répondit ni ne lui rendit son baiser. Ses yeux fixaient le sol, comme apeurés, effrayés, étranges… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit qu'elle lâchait sur la table un papier chiffonné qu'elle avait dû serrer très fort.
— Ros ? Que se passe-t-il ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ? Tu me fais peur.
— En quelque sorte, dit-elle, levant enfin les yeux. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
— Ça va, chérie ? D'où viens-tu ? Elle ne lui répondit ni ne lui rendit son baiser. Ses yeux fixaient le sol, comme apeurés, effrayés, étranges… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit qu'elle lâchait [« déposait » / « posait » ?] sur la table un papier chiffonné qu'elle avait dû serrer très fort.
— Ros ? Que se passe-t-il ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ? Tu me fais peur.
— En quelque sorte, dit-elle, levant enfin les yeux. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
— Ça va, chérie ? D'où viens-tu ? Elle ne lui répondit ni ne lui rendit son baiser. Ses yeux fixaient le sol, comme apeurés, effrayés, étranges… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit qu'elle posait sur la table un papier chiffonné qu'elle avait dû serrer très fort.
— Ros ? Que se passe-t-il ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ? Tu me fais peur.
— En quelque sorte, dit-elle, levant enfin les yeux. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
— Ça va, chérie ? D'où viens-tu ? Elle ne lui répondit ni ne lui rendit son baiser. Ses yeux fixaient le sol, comme apeurés, effrayés, étranges… Elle posa son sac et sa veste sur un fauteuil, laissa ses chaussures traîner par terre. Josef la suivait du regard tandis qu'elle s'asseyait sur le canapé, ne relevant toujours pas la tête. Il vit qu'elle posait sur la table un papier chiffonné qu'elle avait dû serrer très fort.
— Ros ? Que se passe-t-il ? Tu as appris une mauvaise nouvelle ? Tu me fais peur.
— En quelque sorte, dit-elle, levant enfin les yeux. En vérité, je ne sais pas trop quoi penser…
OK.
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