dimanche 21 février 2016

Projet Alexia – phrases 12-24

Entonces tuve una idea. Como todo el mundo sabe, el estado de Maine es el reino de King. Decidí ir a visitarlo. Alquilé un auto con calefacción y mapa. Después de conducir perdido por carreteras secundarias y bosques durante un día completo, atropellando renos y escuchando misteriosas emisoras, llegué a su castillo.
No puedo creerlo, estoy en casa de Stephen King —le dije a Stephen King. El viejo me miró suspicaz y me dijo:
Tú no pareces periodista ni fan. ¿Qué eres, un maldito escritor?
Cubano —precisé—. Vengo inconsciente desde Canadá.
Oh, my American God. ¿Existen escritores cubanos?

Traduction temporaire :
Alors, j’ai eu une idée. Comme tout le monde le sait, l’état du Maine est le royaume de King. J’ai décidé d’aller lui rendre visite. J’ai loué une voiture avec chauffage et ai acheté une carte. Perdu, après avoir conduit sur des routes secondaires et dans des forêts pendant une journée entière, renversant des rênes et écoutant de mystérieuses radios, je suis finalement arrivé à son château.
— Je ne peux pas le croire, je suis chez Stephen King ! ai-je lancé à Stephen King.
Méfiant, le vieil homme m’a regardé et m’a dit :
— Toi, tu ne ressembles ni à un journaliste ni à un fan. Tu es quoi, un foutu écrivain ? 
— Cubain, ai-je rectifié. J'arrive du Canada un peu comateux. 
— Oh, my American God ! Ça existe, les écrivains cubains ?

8 commentaires:

Unknown a dit…

Alors j’ai eu une idée. Comme tout le monde le sait, l’état du Maine est le royaume de King. J’ai décidé d’aller lui rendre visite. J’ai loué une voiture avec chauffage et une carte. Perdu, après avoir conduit, sur des routes secondaires et dans des forets pendant une journée entière, renversant des rênes et écoutant de mystérieuses émissions de radio, je suis arrivé à son château.
- Je ne peux pas le croire, je suis chez Stephen King – ai-je dit à Stephen King. Le vieil homme m’a regardé soupçonneux et m’a dit :
- Toi, tu ne ressembles ni à un journaliste ni à un fan. Qu’es-tu donc, un écrivain maudit ?
- Cubain – ai-je rectifié-. Je suis venu depuis le Canada inconscient.
- !Oh, my American God ! ?Il existe vraiment des écrivains cubains?

Tradabordo a dit…

Alors [vous ne commencez pas par le sujet + virgule] j’ai eu une idée. Comme tout le monde le sait, l’état du Maine est le royaume de King. J’ai décidé d’aller lui rendre visite. J’ai loué une voiture avec chauffage et une carte [il a loué une carte ?]. Perdu, après avoir conduit, [pourquoi cette virgule ?] sur des routes secondaires et dans des forets [accent ?] pendant une journée entière, renversant des rênes et écoutant de mystérieuses émissions [sûre ? J'hésite] de radio, je suis arrivé à son château.
-[tiret le plus long pour les dialogues — ; vous harmoniserez] Je ne peux pas le croire, je suis chez Stephen King – [virgule] ai-je dit [un verbe plus intéressant ici ? D'autant que vous allez le répéter juste après] à Stephen King. Le vieil homme m’a regardé soupçonneux [regardé soupçonneux ? Pb de ponctuation] et m’a dit [X2] :
- Toi, tu ne ressembles ni à un journaliste ni à un fan. Qu’es[grammaire]-tu donc, un écrivain maudit [sûre ?] ?
- Cubain – [virgule] ai-je rectifié-[supprimez le tiret]. Je suis venu depuis le Canada inconscient [sens ????????].
- ![??????]Oh, my American God ! ?[espace]Il existe vraiment des écrivains cubains[espace + pas très naturel]?

Unknown a dit…

Alors, j’ai eu une idée. Comme tout le monde le sait, l’état du Maine est le royaume de King. J’ai décidé d’aller lui rendre visite. J’ai loué une voiture avec chauffage et ai acheté une carte. Perdu, après avoir conduit sur des routes secondaires et dans des forêts pendant une journée entière, renversant des rênes et écoutant de mystérieuses radios, je suis arrivé à son château.
— Je ne peux pas le croire, je suis chez Stephen King, – ai-je exclamé à Stephen King. Le vieil homme, méfiant, m’a regardé et m’a dit :
—Toi, tu ne ressembles ni à un journaliste ni à un fan. Tu es quoi, un satané écrivain ?
—Cubain, – ai-je rectifié. Je suis arrivé du Canada, inconscient.
- Oh, my American God ! Il y a des écrivains cubains ?

Tradabordo a dit…

Alors, j’ai eu une idée. Comme tout le monde le sait, l’état du Maine est le royaume de King. J’ai décidé d’aller lui rendre visite. J’ai loué une voiture avec chauffage et ai acheté une carte. Perdu, après avoir conduit sur des routes secondaires et dans des forêts pendant une journée entière, renversant des rênes et écoutant de mystérieuses radios, je suis [« finalement » ?] arrivé à son château.
— Je ne peux pas le croire, je suis chez Stephen King, – [supprimez le tiret] ai-je exclamé à [INCORRECT] Stephen King.
Le vieil homme, méfiant [mettez ça au début], m’a regardé et m’a dit :
—[espace]Toi, tu ne ressembles ni à un journaliste ni à un fan. Tu es quoi, un satané [pas très naturel] écrivain ?
—[espace]Cubain, – [sans le tiret] ai-je rectifié. Je suis arrivé du Canada, inconscient [« à peu près comateux » – on change, mais n'est-ce pas plus clair ?].
-[tiret long] Oh, my American God ! Il y a des écrivains cubains [« Ça existe, les écrivains cubains » ?] ?

Unknown a dit…

Alors, j’ai eu une idée. Comme tout le monde le sait, l’état du Maine est le royaume de King. J’ai décidé d’aller lui rendre visite. J’ai loué une voiture avec chauffage et ai acheté une carte. Perdu, après avoir conduit sur des routes secondaires et dans des forêts pendant une journée entière, renversant des rênes et écoutant de mystérieuses radios, je suis finalement arrivé à son château.
— Je ne peux pas le croire, je suis chez Stephen King, ai-je fait à Stephen King. Méfiant, le vieil homme m’a regardé et m’a dit :
— Toi, tu ne ressembles ni à un journaliste ni à un fan. Tu es quoi, un foutu écrivain ?
— Cubain, ai-je rectifié. Je suis arrivé du Canada, un peu comateux.
— Oh, my American God ! Ça existe des écrivains cubains ?

Désolée de vous harceler aujourd'hui.

Tradabordo a dit…

Pas grave !

Alors, j’ai eu une idée. Comme tout le monde le sait, l’état du Maine est le royaume de King. J’ai décidé d’aller lui rendre visite. J’ai loué une voiture avec chauffage et ai acheté une carte. Perdu, après avoir conduit sur des routes secondaires et dans des forêts pendant une journée entière, renversant des rênes et écoutant de mystérieuses radios, je suis finalement arrivé à son château.
— Je ne peux pas le croire, je suis chez Stephen King, ai-je fait [« lancé » ?] à Stephen King.
Méfiant, le vieil homme m’a regardé et m’a dit :
— Toi, tu ne ressembles ni à un journaliste ni à un fan. Tu es quoi, un foutu écrivain ?
— Cubain, ai-je rectifié. Je suis arrivé du Canada, [sans la virgule ?] un peu comateux.
— Oh, my American God ! Ça existe des [« , les »] écrivains cubains ?

Unknown a dit…

Alors, j’ai eu une idée. Comme tout le monde le sait, l’état du Maine est le royaume de King. J’ai décidé d’aller lui rendre visite. J’ai loué une voiture avec chauffage et ai acheté une carte. Perdu, après avoir conduit sur des routes secondaires et dans des forêts pendant une journée entière, renversant des rênes et écoutant de mystérieuses radios, je suis finalement arrivé à son château.
— Je ne peux pas le croire, je suis chez Stephen King, ai-je lancé à Stephen King.
Méfiant, le vieil homme m’a regardé et m’a dit :
— Toi, tu ne ressembles ni à un journaliste ni à un fan. Tu es quoi, un foutu écrivain ?
— Cubain, ai-je rectifié. Je suis arrivé du Canada un peu comateux.
— Oh, my American God ! Ça existe les écrivains cubains ?

Merci !

Tradabordo a dit…

Alors, j’ai eu une idée. Comme tout le monde le sait, l’état du Maine est le royaume de King. J’ai décidé d’aller lui rendre visite. J’ai loué une voiture avec chauffage et ai acheté une carte. Perdu, après avoir conduit sur des routes secondaires et dans des forêts pendant une journée entière, renversant des rênes et écoutant de mystérieuses radios, je suis finalement arrivé à son château.
— Je ne peux pas le croire, je suis chez Stephen King ! ai-je lancé à Stephen King.
Méfiant, le vieil homme m’a regardé et m’a dit :
— Toi, tu ne ressembles ni à un journaliste ni à un fan. Tu es quoi, un foutu écrivain ?
— Cubain, ai-je rectifié. Je suis arrivé du Canada un peu comateux.
— Oh, my American God ! Ça existe les écrivains cubains ?

OK.