GEORGINA RAMÍREZ
NAPALM
De repente mi ropa estaba envuelta en llamas. Vi el fuego sobre mi cuerpo KiM Phuc Me pides que camine desnuda que guarde los cuchillos dentro de mi espalda y de los buenos días yo, que he visto la sangre teñir mi vientre he perdido tantas veces el equilibrio en esa cuerda que tensas he dejado los brazos en alto y de tanto mirar al cielo presiento la lluvia Mi sonrisa afilada desgarra a la primera mueca ¿y aún me pides la flor? Maldigo al poeta que insiste en la rosa desconociendo el desierto Lo mismo pudo haber quedado esta página en blanco si se empeña el silencio en ser lo urgente
Traduction temporaire :
NAPALM
Tout à coup, mes vêtements étaient enveloppés dans les flammes. Je vis le feu sur mon corps Kim Phuc. Tu me demandes de marcher nue de garder les couteaux à l'intérieur de mon dos et de dire bonjour moi, qui ai vu le sang teindre mon ventre j’ai si souvent perdu l’équilibre sur cette corde que tu tends j’ai gardé les bras en l’air et à tant regarder le ciel je pressens la pluie Mon sourire fragile se déchire à la première moue et tu me demandes encore ma fleur ? Je maudis le poète qui insiste sur la rose alors qu’il méconnaît le désert Il a pu rester la même chose cette page blanche si le silence s’obstine à être urgent
32 commentaires:
GEORGINA RAMÍREZ
NAPALM
De repente mi ropa estaba envuelta en llamas. Vi el fuego sobre mi cuerpo KiM Phuc Me pides que camine desnuda que guarde los cuchillos dentro de mi espalda y de los buenos días
GEORGINA RAMÍREZ
NAPALM
Tout à coup, mes vêtements étaient enveloppés de flammes. Je vis le feu sur mon corps Kim Phuc Tu me demandes de marcher nue que je garde les couteaux dans mon dos et que je dise bonjour
GEORGINA RAMÍREZ
NAPALM
De repente mi ropa estaba envuelta en llamas. Vi el fuego sobre mi cuerpo KiM Phuc Me pides que camine desnuda que guarde los cuchillos dentro de mi espalda y de los buenos días
GEORGINA RAMÍREZ
NAPALM
Tout à coup [« Soudain » ?], mes vêtements étaient enveloppés de [« par les » ?] flammes. Je vis le feu sur mon corps [vous savez comment c'est ponctué en V.O. ?] Kim Phuc Tu me demandes de marcher nue que je garde les couteaux dans mon dos et que je dise bonjour
GEORGINA RAMÍREZ
NAPALM
Soudain, mes vêtements étaient enveloppés par les flammes. Je vis le feu sur mon corps [vous savez comment c'est ponctué en V.O. ? // Pas besoin de me vouvoyer, jeje... Non, pas la moindre idée de la ponctuation : tu crois qu'il y en a une ? En tout cas, pas d'indice sur internet...] Kim Phuc Tu me demandes de marcher nue que je garde les couteaux dans mon dos et que je dise bonjour
GEORGINA RAMÍREZ
NAPALM
Soudain, mes vêtements étaient enveloppés par les flammes. Je vis le feu sur mon corps [vous savez comment c'est ponctué en V.O. ? // Pas besoin de me vouvoyer, jeje... Non, pas la moindre idée de la ponctuation : tu crois qu'il y en a une ? En tout cas, pas d'indice sur internet... //// J'étais dans la continuité des textes avec Elena et Justine. Il faut vérifier dans le pdf. Tu l'as ?] Kim Phuc Tu me demandes de marcher nue que je garde les couteaux dans mon dos et que je dise bonjour
Non, je n'ai pas le pdf, et ne l'ai pas trouvé sur internet.
Je vais te l'envoyer. Rappelle-moi juste de quel Basta ! il s'agit :-)
Euh... J'avoue que j'en ai aucune idée... Venezuela ?
Comme je suis super débordée, demande à Elena si elle l'a.
Oki, no problem.
Elena a cherché dans ses fichiers, et ne l'a pas trouvé.
Je te l'envoie.
Voici la forme originale, et donc le rythme original, du texte.
Les premières lignes correspondent à un épigraphe, attribuée à Kim Phuc, la petite fille brûlée au napalm pendant la guerre du Vietnam et dont la photo a fait le tour du monde.
Je reprends depuis le début dans le post suivant.
GEORGINA RAMÍREZ
De repente mi ropa
estaba envuelta en llamas.
Vi el fuego sobre mi cuerpo
Kim Phuc
NAPALM
Me pides que camine desnuda que guarde los cuchillos dentro de mi espalda y de los buenos días
yo, que he visto la sangre teñir mi vientre
he perdido tantas veces el equilibrio en esa cuerda que tensas
he dejado los brazos en alto
y de tanto mirar al cielo presiento la lluvia
Mi sonrisa afilada desgarra a la primera mueca
¿y aún me pides la flor?
Maldigo al poeta
que insiste en la rosa
desconociendo el desierto
Lo mismo pudo haber quedado
esta página en blanco
si se empeña el silencio
en ser lo urgente.
GEORGINA RAMÍREZ
De repente mi ropa
estaba envuelta en llamas.
Vi el fuego sobre mi cuerpo
Kim Phuc
NAPALM
GEORGINA RAMÍREZ
Tout à coup, mes vêtements
étaient enveloppés de flammes.
Je vis le feu sur mon corps
Kim Phuc
NAPALM
Mon post a dû passer à côté... je le recolle :
GEORGINA RAMÍREZ
De repente mi ropa
estaba envuelta en llamas.
Vi el fuego sobre mi cuerpo
Kim Phuc
NAPALM
GEORGINA RAMÍREZ
Tout à coup, mes vêtements
étaient enveloppés de flammes.
Je vis le feu sur mon corps
Kim Phuc
NAPALM
Mon post a dû passer à côté... je le recolle :
GEORGINA RAMÍREZ
De repente mi ropa
estaba envuelta en llamas.
Vi el fuego sobre mi cuerpo
Kim Phuc
NAPALM
GEORGINA RAMÍREZ
Tout à coup, mes vêtements
étaient enveloppés de flammes.
Je vis le feu sur mon corps
Kim Phuc
NAPALM
GEORGINA RAMÍREZ
De repente mi ropa
estaba envuelta en llamas.
Vi el fuego sobre mi cuerpo
Kim Phuc
NAPALM
GEORGINA RAMÍREZ
Tout à coup, mes vêtements
étaient enveloppés de [« dans les » ?] flammes.
Je vis le feu sur mon corps
Kim Phuc
NAPALM
GEORGINA RAMÍREZ
De repente mi ropa
estaba envuelta en llamas.
Vi el fuego sobre mi cuerpo
Kim Phuc
NAPALM
GEORGINA RAMÍREZ
Tout à coup, mes vêtements
étaient enveloppés dans les flammes.
Je vis le feu sur mon corps
Kim Phuc
NAPALM
GEORGINA RAMÍREZ
Tout à coup, mes vêtements
étaient enveloppés dans les flammes.
Je vis le feu sur mon corps
Kim Phuc
NAPALM
OK.
Me pides que camine desnuda que guarde los cuchillos dentro de mi espalda y de los buenos días
yo, que he visto la sangre teñir mi vientre
he perdido tantas veces el equilibrio en esa cuerda que tensas
he dejado los brazos en alto
y de tanto mirar al cielo presiento la lluvia
Tu me demandes de marcher nue de garder les couteaux dans mon dos et de dire bonjour
moi, qui ai vu le sang teindre mon ventre
j’ai si souvent perdu l’équilibre sur cette corde que tu tends
j’ai gardé les bras en l’air
et de tant regarder le ciel je pressens la pluie
Me pides que camine desnuda que guarde los cuchillos dentro de mi espalda y de los buenos días
yo, que he visto la sangre teñir mi vientre
he perdido tantas veces el equilibrio en esa cuerda que tensas
he dejado los brazos en alto
y de tanto mirar al cielo presiento la lluvia
Tu me demandes de marcher nue de garder les couteaux dans [ambigu en français par rapport à la V.O., non ? J'hésite…] mon dos et de dire bonjour
moi, qui ai vu le sang teindre mon ventre
j’ai si souvent perdu l’équilibre sur cette corde que tu tends
j’ai gardé les bras en l’air
et de [« à » ? Vérifie] tant regarder le ciel je pressens la pluie
Me pides que camine desnuda que guarde los cuchillos dentro de mi espalda y de los buenos días
yo, que he visto la sangre teñir mi vientre
he perdido tantas veces el equilibrio en esa cuerda que tensas
he dejado los brazos en alto
y de tanto mirar al cielo presiento la lluvia
Tu me demandes de marcher nue de garder les couteaux à l'intérieur de mon dos et de dire bonjour
moi, qui ai vu le sang teindre mon ventre
j’ai si souvent perdu l’équilibre sur cette corde que tu tends
j’ai gardé les bras en l’air
et à tant regarder le ciel je pressens la pluie
Tu me demandes de marcher nue de garder les couteaux à l'intérieur de mon dos et de dire bonjour
moi, qui ai vu le sang teindre mon ventre
j’ai si souvent perdu l’équilibre sur cette corde que tu tends
j’ai gardé les bras en l’air
et à tant regarder le ciel je pressens la pluie
OK.
Mi sonrisa afilada desgarra a la primera mueca
¿y aún me pides la flor?
Maldigo al poeta
que insiste en la rosa
desconociendo el desierto
Mon sourire aiguisé se déchire dès la première moue
et tu me demandes encore ma fleur ?
Je maudis le poète
qui insiste sur la rose
alors qu’il méconnaît le désert
Mi sonrisa afilada desgarra a la primera mueca
¿y aún me pides la flor?
Maldigo al poeta
que insiste en la rosa
desconociendo el desierto
Mon sourire aiguisé se [sûre ? Le cas échéant, demande à Elena] déchire dès [idem] la première moue
et tu me demandes encore ma fleur ?
Je maudis le poète
qui insiste sur la rose
alors qu’il méconnaît le désert
Mon sourire aiguisé se [sûre ? Le cas échéant, demande à Elena // Dans le sens de "mince"/"fragile"] [+ "se"] déchire dès [idem / "à" ?] la première moue
Merci, Elena.
Chloé ?
Merci, Elenita.
Mi sonrisa afilada desgarra a la primera mueca
¿y aún me pides la flor?
Maldigo al poeta
que insiste en la rosa
desconociendo el desierto
Mon sourire fragile se déchire à la première moue
et tu me demandes encore ma fleur ?
Je maudis le poète
qui insiste sur la rose
alors qu’il méconnaît le désert
Mi sonrisa afilada desgarra a la primera mueca
¿y aún me pides la flor?
Maldigo al poeta
que insiste en la rosa
desconociendo el desierto
Mon sourire fragile se déchire à la première moue
et tu me demandes encore ma fleur ?
Je maudis le poète
qui insiste sur la rose
alors qu’il méconnaît le désert
OK.
Lo mismo pudo haber quedado
esta página en blanco
si se empeña el silencio
en ser lo urgente
Il a pu rester la même chose
cette page blanche
si le silence s’obstine
à être urgent.
Vu que les autres articles avancent, je me demande si mon poste n'est pas passé à côté... Je recolle donc :
Lo mismo pudo haber quedado
esta página en blanco
si se empeña el silencio
en ser lo urgente
Il a pu rester la même chose
cette page blanche
si le silence s’obstine
à être urgent.
Lo mismo pudo haber quedado
esta página en blanco
si se empeña el silencio
en ser lo urgente
Il a pu rester la même chose
cette page blanche
si le silence s’obstine
à être urgent
OK.
Le texte est terminé, Caroline.
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