Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Traduction temporaire :
Convaincue à ce moment-là que la tante de Rutka était bel et bien venue pour moi, je rassemblai le peu de forces qui me restait et rebroussai chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Convaincue à ce moment-là que la tante de Rutka était bel et bien venue pour moi, je rassemblai le peu de forces qui me restait et rebroussai chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
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Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et réunissant alors le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin sans tourner le dos à sa silhouette (qui resplendissait différemment, bien portante et joviale, les cheveux coupés, vêtue d'une robe légère à fleurs et de chaussures à talons), qui m'adressa à cet instant, outre un large sourire, le même regard glaçant qui, quelques semaines auparavant, m'avait obligée à fuir sa présence, comme un lièvre face à un lévrier.
La tante de Rutka était bien venue pour moi. J’y pensai dès lors. Rassemblant le peu de forces qui me restaient, je commençai à revenir sur mes pas, sans tourner le dos à sa silhouette (qui semblait différente, en bonne santé et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une jolie petite robe à fleurs, et en talons) qu’elle posa sur moi à ce moment-là, avec un large sourire et le même regard glacial qu’il y a quelques semaines m’avait contrainte à fuir, tel un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai [vous confirmez qu'on était bien au PS et non au PC ?] à ce moment-là, et réunissant [je ne pense pas que ça rende vraiment le « por lo que »] alors le peu de forces que j'avais,
Du coup, faisons cela… car ça aura une incidence sur la suite.
je commençai à rebrousser chemin sans tourner le dos à sa silhouette (qui resplendissait différemment, bien portante et joviale, les cheveux coupés, vêtue d'une robe légère à fleurs et de chaussures à talons), qui m'adressa à cet instant, outre un large sourire, le même regard glaçant qui, quelques semaines auparavant, m'avait obligée à fuir sa présence, comme un lièvre face à un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, raison pour laquelle je rassemblai le peu de forces que j'avais,
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, raison pour laquelle [pas une construction qui permettrait de fluidifier tout ça ?] je rassemblai le peu de forces que j'avais,
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi je rassemblai le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin sans tourner le dos à sa silhouette (qui resplendissait différemment, bien portante et joviale, les cheveux coupés, vêtue d'une robe légère à fleurs et de chaussures à talons), qui m'adressa à cet instant, outre un large sourire, le même regard glaçant qui, quelques semaines auparavant, m'avait obligée à fuir sa présence, comme un lièvre face à un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi je rassemblai [avec « rassemblant » ?] le peu de forces que j'avais,
je commençai à rebrousser chemin sans tourner le dos à sa silhouette (qui resplendissait différemment, bien portante et joviale, les cheveux coupés, vêtue d'une robe légère à fleurs et de chaussures à talons), qui m'adressa à cet instant, outre un large sourire, le même regard glaçant qui, quelques semaines auparavant, m'avait obligée à fuir sa présence, comme un lièvre face à un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi rassemblant le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin sans tourner le dos à sa silhouette (qui resplendissait différemment, bien portante et joviale, les cheveux coupés, vêtue d'une robe légère à fleurs et de chaussures à talons), qui m'adressa à cet instant, outre un large sourire, le même regard glaçant qui, quelques semaines auparavant, m'avait obligée à fuir sa présence, comme un lièvre face à un lévrier.
OK.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi rassemblant le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin [virgule ?] sans tourner le dos à sa silhouette (qui resplendissait [FS ici ?] différemment, [deux points ?] bien portante et joviale, les cheveux coupés, vêtue d'une robe légère à fleurs et [donc, tu mets vêtue en facteur commun pour chaussures ?] de chaussures à talons),
Faisons déjà cela.
qui m'adressa à cet instant, outre un large sourire, le même regard glaçant qui, quelques semaines auparavant, m'avait obligée à fuir sa présence, comme un lièvre face à un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi rassemblant le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (qui semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs, et en talons),
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi rassemblant le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (qui semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs, et en talons [je me demande si ce sera clair…]),
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi rassemblant le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (qui semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons)
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi rassemblant le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (qui semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons)
OK.
Audrey ?
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi rassemblant le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (qui semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons)
OK pour moi. La suite:
qui m'adressa à cet instant, outre un large sourire, le même regard glaçant qui, quelques semaines auparavant, m'avait obligée à fuir sa présence, comme un lièvre face à un lévrier.
, que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi rassemblant le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (qui semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons)
qui m'adressa à [pas exactement la même chose que la trad littérale… Pourquoi avoir changé ? Dommage] cet instant, outre un large sourire, le même regard glaçant qui, quelques semaines auparavant, m'avait obligée à fuir sa présence, comme un lièvre face à un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi rassemblant le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (qui semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons) qui [cette répétition du relatif "qui" me gène ; peut-on proposer "tandis qu'elle" ?] posa sur moi, à cet instant, outre un large sourire, le même regard glaçant m'ayant obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre face à un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi rassemblant le peu de forces que j'avais, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (qui semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons) qui [cette répétition du relatif "qui" me gène ; peut-on proposer "tandis qu'elle" ?] posa sur moi, à cet instant, outre un large sourire, le même regard glaçant m'ayant obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre face à un lévrier.
Ou alors vois si tu peux couper et faire deux phrases.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi rassemblant le peu de forces qui me restait, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (qui semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle posa sur moi, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; c'est ce que je pensai [« je le pensai » ? Pas plus léger ?] à ce moment-là, et c'est [d'autant que tu as un deuxième « c'est » ici] pourquoi rassemblant le peu de forces qui me restait, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (qui [« elle »] semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle posa sur moi, outre un large sourire [est-ce qu'on pose un sourire sur quelqu'un ?], le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; je le pensai à ce moment-là, et c'est pourquoi, rassemblant le peu de forces qui me restait, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle posa sur moi, outre un large sourire [est-ce qu'on pose un sourire sur quelqu'un ? - NON, c'est bien pour cela que j'avais proposé "adressa" :) ], le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi ; je le pensai [est-ce que ce ne serait pas mieux avec le PC ? + en voyant la suite, je me demande si on ne peut pas créer un lien de cause à effet qui permettrait d'éviter le « c'est » d'après… et donc d'alléger l'ensemble]
à ce moment-là, et c'est pourquoi, rassemblant le peu de forces qui me restait, je commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle posa sur moi, outre un large sourire [est-ce qu'on pose un sourire sur quelqu'un ? - NON, c'est bien pour cela que j'avais proposé "adressa" :) ], le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi. Je l'ai pensé à ce moment-là ; dès lors je rassemblai le peu de forces qui me restait et commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi. Je l'ai pensé à ce moment-là ; dès lors [virgule] je rassemblai [oui, mais zut, si on met le PC avant, il faudrait le mettre ici aussi et dans la totalité du texte… Ce qui supposera qu'au moment des relectures, vous harmonisiez dans tout ce qui précède. Qu'en pensez-vous ?]
le peu de forces qui me restait et commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi. Je l'ai pensé à ce moment-là ; dès lors, je rassemblai [oui, mais zut, si on met le PC avant, il faudrait le mettre ici aussi et dans la totalité du texte… Ce qui supposera qu'au moment des relectures, vous harmonisiez dans tout ce qui précède. Qu'en pensez-vous ? => je suis pour maintenir le passé simple, et laisser une tournure "C'est ce que je pensai à ce moment-là"]
le peu de forces qui me restait et commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi. C'est ce que je pensai à ce moment-là [Oui, Audrey, revenons à la formule initiale, qui pour l'instant me semble la plus naturelle. Nous verrons au moment de la relecture s'il y a lieu de changer]; dès lors, je rassemblai le peu de forces qui me restait et commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
OK.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi. Je l'ai pensé à ce moment-là ; dès lors, je rassemblai [oui, mais zut, si on met le PC avant, il faudrait le mettre ici aussi et dans la totalité du texte… Ce qui supposera qu'au moment des relectures, vous harmonisiez dans tout ce qui précède. Qu'en pensez-vous ? => je suis pour maintenir le passé simple, et laisser une tournure "C'est ce que je pensai à ce moment-là" //// Ok… du coup, reprenez la phrase avec le passé simple]
le peu de forces qui me restait et commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi. C'est ce que je pensai à ce moment-là ; dès lors, je rassemblai le peu de forces qui me restait et commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi. C'est ce que je pensai à ce moment-là ; dès lors, je rassemblai le peu de forces qui me restait et commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Oui, la tante de Rutka était venue pour moi. C'est ce que je pensai à ce moment-là ; dès lors, je rassemblai [en fait, je pense qu'on devrait régler la question en créant un lien de cause à effet entre les deux morceaux de la phrase… genre : ayant pensé que…, je…] le peu de forces qui me restait et commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Ayant pensé à ce moment-là que la tante de Rutka était bel et bien venue pour moi, je rassemblai le peu de forces qui me restait et commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Je tente un truc à partir de l'idée de Caroline... Audrey ?
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Ayant pensé à ce moment-là que, oui, la tante de Rutka était venue pour moi, je rassemblai le peu de forces qui me restait et commençai à rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Ayant pensé à ce moment-là [ou juste : « Convaincue » a secas ? D'autant que la phrase d'après commence à peu près pareil] que la tante de Rutka était bel et bien venue pour moi, je rassemblai le peu de forces qui me restait et commençai à [nécessaire ?] rebrousser chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Convaincue à ce moment-là que la tante de Rutka était bel et bien venue pour moi, je rassemblai le peu de forces qui me restait et rebroussai chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Convaincue que la tante de Rutka était bel et bien venue pour moi, je rassemblai le peu de forces qui me restait et rebroussai chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
OK pour moi.
Sí, la tía de Rutka había venido por mí; eso fue lo que pensé en aquel momento, por lo que reuniendo mis escasas fuerzas empecé a desandar mis pasos, sin darle la espalda a su figura (que lucía distinta, saludable y jovial, con el cabello recortado, ataviada con un ligero vestidito floreado y en tacones), que en ese instante posó sobre mí, además de una amplia sonrisa, la misma mirada helada que hacía unas semanas me había obligado a huir de su presencia, igual que una liebre de un lebrel.
Convaincue à ce moment-là que la tante de Rutka était bel et bien venue pour moi, je rassemblai le peu de forces qui me restait et rebroussai chemin, sans tourner le dos à sa silhouette (elle semblait différente : bien portante et joviale, les cheveux coupés, apprêtée avec une robe légère à fleurs et des talons). À cet instant, elle m'adressa, outre un large sourire, le même regard glaçant qui m'avait obligée, quelques semaines auparavant, à fuir sa présence, comme un lièvre devant un lévrier.
OK.
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