Quitar el rastro
Ese olor nauseabundo, fue despertarse y percibirlo. Ese olor a papel maldito delataba la situación: hoy le tocaba a él, no podía ser otra cosa. —Ni el primero de mayo descansan éstos —pensó. Su mujer, extrañada al verlo cambiarse con tanto apuro en un día feriado, le alcanzó un mate. En circunstancias normales habría hecho la pregunta, pero éstas no lo eran. Decidió que lo mejor sería dejarlo solo un rato, pretextó salir a comprar cigarrillos. —Quizá demore, amor, tengo que encontrar kiosco abierto. Le puso un abrigo a Naldo y lo llevó con ella. El olor crecía, se dilataba, parecía tomar fuerzas de sí mismo y agigantarse. Timbre. Allí, sostenido por la punta de sus dedos como un bicho asqueroso, estaba el papel temido. El telegrama donde el Banco Provincial lo desafectaba de sus servicios poniéndolo a disposición del poder ejecutivo. Ahora le sucedía a él lo mismo que en los últimos meses le había sucedido a cientos de sus compañeros, el gobernador lo ocuparía en alguna pocilga a cambio de un cuarto de su sueldo. Y a cerrar la boca, que ofrecer batalla es peor. Con aquel bicho arrastrándose por la casa el olor era insoportable. Penetraba su nariz y, con la fuerza de un río que se abriera en varias corrientes, nublaba sus ojos, ensordecía sus oídos, depositaba un sedimento mugroso en su cerebro. Creyó estar aspirando, también, el espanto de otros. —Narices Empleados Bancarios Desaparecidos y Otros Fantasmas —dijo con voz de anunciante publicitario. Como una película, según dicen sucede antes de la muerte, pasaron por su mente la prenda que pesaba sobre el auto, la cuota del colegio privado de Naldito, la cuenta corriente en la farmacia…—. Narices acreedores en pánico —agregó riendo a carcajadas. Luego, repentinamente serio al recordar una de las tantas consecuencias que sufrían la mayoría de los sometidos al traslado forzoso, murmuró—: Narices divorcios en puerta. Ella no debía verlo. ¿Dónde se escondía el miserable? Tenía que eliminar al menos el rastro, el olor. Su nariz atraía aquel olor repugnante. Debía quitársela. Imposible. Imposible no. Querer es poder, porque así reza el dicho. —Querer es poder, Arnaldo —le decía siempre la querida señorita Nené, su maestra de sexto grado. Ella fue quien lo alentó para que no se conformara con trabajar en la bicicletería del viejo, para que continuase estudiando —. Querer es poder, como decía San Martín —repetía en su memoria aquella voz remota, dulce, suave, maternal. Don José de San Martín y el retrato escolar tan claro en su memoria. La mirada decidida, la boca de gesto enérgico, la nariz aguileña. Nariz, por unos instantes la había olvidado. Con un arma de fuego habría resultado más fácil, en su defecto, ahí estaba la tenaza.
Traduction temporaire :
Effacer les traces
Cette odeur nauséabonde, il la perçut dès son réveil. Cette odeur de papier maudit révélait la situation : aujourd'hui, c'était son tour, ça ne pouvait être que ça. Ces gens-là ne se reposent pas, même le premier mai. Étonnée de le voir se changer si prestement un jour férié, sa femme lui tendit un maté. Dans des circonstances normales, elle lui aurait posé la question, mais là, elles ne l'étaient pas. Elle décida que le mieux serait de le laisser seul un moment, elle prétexta sortir pour aller acheter des cigarettes. — Je vais peut-être tarder, mon amour, il faut que je trouve un bureau de tabac ouvert. Elle enfila un manteau à Naldo et l'emmena avec elle. L'odeur s'intensifiait, se dilatait, semblait puiser ses forces en elle-même et prendre des proportions gigantesques. Sonnette. Tenu par le bout de ses doigts telle une bestiole dégoûtante, le papier redouté se trouvait là. Le télégramme où la Banque Provinciale le mettait à disposition du pouvoir exécutif en le déchargeant de ses fonctions. Maintenant, il lui arrivait la même chose qu'à des centaines de ses collègues au cours des derniers mois, le gouverneur allait l'employer dans une porcherie pour un quart de son salaire. Et mieux vaut qu'il la ferme, se battre est pire. Avec cette bestiole rampant dans la maison, l'odeur était insupportable. Elle pénétrait son nez et, avec la force d'un fleuve qui s'ouvrirait en plusieurs courants, elle brouillait ses yeux, assourdissait ses oreilles, déposait un sédiment crasseux dans son cerveau. Il crut aspirer l'effroi des autres aussi. — Les Employés de Banque Disparus et Autres Fantômes, mon œil ! s'écria-t-il avec une voix d'annonceur publicitaire.
Effacer les traces
Cette odeur nauséabonde, il la perçut dès son réveil. Cette odeur de papier maudit révélait la situation : aujourd'hui, c'était son tour, ça ne pouvait être que ça. Ces gens-là ne se reposent pas, même le premier mai. Étonnée de le voir se changer si prestement un jour férié, sa femme lui tendit un maté. Dans des circonstances normales, elle lui aurait posé la question, mais là, elles ne l'étaient pas. Elle décida que le mieux serait de le laisser seul un moment, elle prétexta sortir pour aller acheter des cigarettes. — Je vais peut-être tarder, mon amour, il faut que je trouve un bureau de tabac ouvert. Elle enfila un manteau à Naldo et l'emmena avec elle. L'odeur s'intensifiait, se dilatait, semblait puiser ses forces en elle-même et prendre des proportions gigantesques. Sonnette. Tenu par le bout de ses doigts telle une bestiole dégoûtante, le papier redouté se trouvait là. Le télégramme où la Banque Provinciale le mettait à disposition du pouvoir exécutif en le déchargeant de ses fonctions. Maintenant, il lui arrivait la même chose qu'à des centaines de ses collègues au cours des derniers mois, le gouverneur allait l'employer dans une porcherie pour un quart de son salaire. Et mieux vaut qu'il la ferme, se battre est pire. Avec cette bestiole rampant dans la maison, l'odeur était insupportable. Elle pénétrait son nez et, avec la force d'un fleuve qui s'ouvrirait en plusieurs courants, elle brouillait ses yeux, assourdissait ses oreilles, déposait un sédiment crasseux dans son cerveau. Il crut aspirer l'effroi des autres aussi. — Les Employés de Banque Disparus et Autres Fantômes, mon œil ! s'écria-t-il avec une voix d'annonceur publicitaire.
89 commentaires:
Quitar el rastro
Ese olor nauseabundo, fue despertarse y percibirlo. Ese olor a papel maldito delataba la situación: hoy le tocaba a él, no podía ser otra cosa.
Effacer les traces
Cette odeur nauséabonde le réveilla et l’assaillit. Cette odeur de papier maudit dénonçait la situation : aujourd'hui, c'était son tour, ça ne pouvait être que ça.
Quitar el rastro
Ese olor nauseabundo, fue despertarse y percibirlo. Ese olor a papel maldito delataba la situación: hoy le tocaba a él, no podía ser otra cosa.
Effacer les traces
Cette odeur nauséabonde le réveilla et l’assaillit [Elena ?].
Cette odeur de papier maudit dénonçait la situation : aujourd'hui, c'était son tour, ça ne pouvait être que ça.
Quitar el rastro
Ese olor nauseabundo, fue despertarse y percibirlo. Ese olor a papel maldito delataba la situación: hoy le tocaba a él, no podía ser otra cosa.
Effacer les traces
Cette odeur nauséabonde, il la perçut dès son réveil. Cette odeur de papier maudit dénonçait la situation : aujourd'hui, c'était son tour, ça ne pouvait être que ça.
Quitar el rastro
Ese olor nauseabundo, fue despertarse y percibirlo. Ese olor a papel maldito delataba la situación: hoy le tocaba a él, no podía ser otra cosa.
Effacer les traces
Cette odeur nauséabonde, il la perçut dès son réveil. Cette odeur de papier maudit dénonçait la situation [pas très naturel en français] : aujourd'hui, c'était son tour, ça ne pouvait être que ça.
Quitar el rastro
Ese olor nauseabundo, fue despertarse y percibirlo. Ese olor a papel maldito delataba la situación: hoy le tocaba a él, no podía ser otra cosa.
Effacer les traces
Cette odeur nauséabonde, il la perçut dès son réveil. Cette odeur de papier maudit révélait la situation : aujourd'hui, c'était son tour, ça ne pouvait être que ça.
Quitar el rastro
Ese olor nauseabundo, fue despertarse y percibirlo. Ese olor a papel maldito delataba la situación: hoy le tocaba a él, no podía ser otra cosa.
Effacer les traces
Cette odeur nauséabonde, il la perçut dès son réveil. Cette odeur de papier maudit révélait la situation : aujourd'hui, c'était son tour, ça ne pouvait être que ça.
OK.
Elena ?
Effacer les traces
Cette odeur nauséabonde, il la perçut dès son réveil. Cette odeur de papier maudit révélait la situation : aujourd'hui, c'était son tour, ça ne pouvait être que ça.
OK.
VPC.
Ni el primero de mayo descansan éstos —pensó. Su mujer, extrañada al verlo cambiarse con tanto apuro en un día feriado, le alcanzó un mate.
Ces gens-là ne se reposent pas, même le premier mai. Étonnée de le voir se changer si brusquement un jour férié, sa femme lui tendit un maté.
Ni el primero de mayo descansan éstos —pensó. Su mujer, extrañada al verlo cambiarse con tanto apuro en un día feriado, le alcanzó un mate.
Ces gens-là ne se reposent pas, même le premier mai. Étonnée de le voir se changer si brusquement [« prestement » ? Vérifie] un jour férié, sa femme lui tendit un maté.
Ni el primero de mayo descansan éstos —pensó. Su mujer, extrañada al verlo cambiarse con tanto apuro en un día feriado, le alcanzó un mate.
Ces gens-là ne se reposent pas, même le premier mai. Étonnée de le voir se changer si prestement un jour férié, sa femme lui tendit un maté.
Ni el primero de mayo descansan éstos —pensó. Su mujer, extrañada al verlo cambiarse con tanto apuro en un día feriado, le alcanzó un mate.
Ces gens-là ne se reposent pas, même le premier mai. Étonnée de le voir se changer si prestement un jour férié, sa femme lui tendit un maté.
OK.
Elena ?
Ces gens-là ne se reposent pas, même le premier mai. Étonnée de le voir se changer si prestement un jour férié, sa femme lui tendit un maté.
OK.
VPC.
En circunstancias normales habría hecho la pregunta, pero éstas no lo eran. Decidió que lo mejor sería dejarlo solo un rato, pretextó salir a comprar cigarrillos.
Dans des circonstances normales, elle lui aurait posé la question, mais là, les circonstances ne l'étaient pas. Elle décida que le mieux serait de laisser seul un moment, elle prétexta sortir pour acheter des cigarettes.
En circunstancias normales habría hecho la pregunta, pero éstas no lo eran. Decidió que lo mejor sería dejarlo solo un rato, pretextó salir a comprar cigarrillos.
Dans des circonstances normales, elle lui aurait posé la question, mais là, les circonstances [nécessaire de répéter ? Pas en V.O.] ne l'étaient pas. Elle décida que le mieux serait de [manque un mot / ne travaille pas trop vite] laisser seul un moment, elle prétexta sortir pour [« aller » ?] acheter des cigarettes.
En circunstancias normales habría hecho la pregunta, pero éstas no lo eran. Decidió que lo mejor sería dejarlo solo un rato, pretextó salir a comprar cigarrillos.
Dans des circonstances normales, elle lui aurait posé la question, mais là, elles ne l'étaient pas. Elle décida que le mieux serait de le laisser seul un moment, elle prétexta sortir pour aller acheter des cigarettes.
En circunstancias normales habría hecho la pregunta, pero éstas no lo eran. Decidió que lo mejor sería dejarlo solo un rato, pretextó salir a comprar cigarrillos.
Dans des circonstances normales, elle lui aurait posé la question, mais là, elles ne l'étaient pas. Elle décida que le mieux serait de le laisser seul un moment, elle prétexta sortir pour aller acheter des cigarettes.
OK.
Elena ?
Dans des circonstances normales, elle lui aurait posé la question, mais là, elles ne l'étaient pas. Elle décida que le mieux serait de le laisser seul un moment, elle prétexta sortir pour aller acheter des cigarettes.
OK.
VPC.
—Quizá demore, amor, tengo que encontrar kiosco abierto.
Le puso un abrigo a Naldo y lo llevó con ella.
— Ça risque de me prendre un peu de temps, mon amour, il faut que je trouve un bureau de tabac ouvert.
Elle enfila un manteau à Naldo et l'emmena avec elle.
—Quizá demore, amor, tengo que encontrar kiosco abierto.
Le puso un abrigo a Naldo y lo llevó con ella.
— Ça risque de me prendre un peu de [« un peu de » ? Texte ?] temps, mon amour, il faut que je trouve un bureau de tabac [Elena ?] ouvert.
Elle enfila un manteau à Naldo et l'emmena avec elle.
—Quizá demore, amor, tengo que encontrar kiosco abierto.
Le puso un abrigo a Naldo y lo llevó con ella.
— Ça risque de me prendre du temps, mon amour, il faut que je trouve un bureau de tabac [Elena ?] ouvert.
Elle enfila un manteau à Naldo et l'emmena avec elle.
—Quizá demore, amor, tengo que encontrar kiosco abierto.
Le puso un abrigo a Naldo y lo llevó con ella.
— Je vais peut-être tarder, mon amour, il faut que je trouve un bureau de tabac ouvert.
Elle enfila un manteau à Naldo et l'emmena avec elle.
OK.
VPC.
El olor crecía, se dilataba, parecía tomar fuerzas de sí mismo y agigantarse.
L'odeur envahissait l'espace, se dilatait, semblait puiser ses forces en elle-même et prendre des proportions gigantesques.
El olor crecía, se dilataba, parecía tomar fuerzas de sí mismo y agigantarse.
L'odeur envahissait l'espace, se dilatait, semblait puiser ses forces en elle-même et prendre des proportions gigantesques.
El olor crecía, se dilataba, parecía tomar fuerzas de sí mismo y agigantarse.
L'odeur envahissait l'espace [texte ?], se dilatait, semblait puiser ses forces en elle-même et prendre des proportions gigantesques.
El olor crecía, se dilataba, parecía tomar fuerzas de sí mismo y agigantarse.
L'odeur s'intensifiait, se dilatait, semblait puiser ses forces en elle-même et prendre des proportions gigantesques.
El olor crecía, se dilataba, parecía tomar fuerzas de sí mismo y agigantarse.
L'odeur s'intensifiait, se dilatait, semblait puiser ses forces en elle-même et prendre des proportions gigantesques.
OK.
Elena ?
L'odeur s'intensifiait, se dilatait, semblait puiser ses forces en elle-même et prendre des proportions gigantesques.
OK.
Timbre. Allí, sostenido por la punta de sus dedos como un bicho asqueroso, estaba el papel temido.
Sonnette. Là, tenu par le bout de ses doigts telle une bestiole dégoûtante, se trouvait le papier craint.
Timbre. Allí, sostenido por la punta de sus dedos como un bicho asqueroso, estaba el papel temido.
Sonnette. Là, tenu par le bout de ses doigts telle une bestiole dégoûtante, se trouvait le papier craint [bizarre, non ?].
Timbre. Allí, sostenido por la punta de sus dedos como un bicho asqueroso, estaba el papel temido.
Sonnette. Là, tenu par le bout de ses doigts telle une bestiole dégoûtante, se trouvait le papier tant redouté.
Timbre. Allí, sostenido por la punta de sus dedos como un bicho asqueroso, estaba el papel temido.
Sonnette. Tenu par le bout de ses doigts telle une bestiole dégoûtante, le papier redouté se trouvait là.
Timbre. Allí, sostenido por la punta de sus dedos como un bicho asqueroso, estaba el papel temido.
Sonnette. Tenu par le bout de ses doigts telle une bestiole dégoûtante, le papier redouté se trouvait là.
OK.
Justine ?
Timbre. Allí, sostenido por la punta de sus dedos como un bicho asqueroso, estaba el papel temido.
Sonnette. Tenu par le bout de ses doigts telle une bestiole dégoûtante, le papier redouté se trouvait là.
OK.
VPC.
El telegrama donde el Banco Provincial lo desafectaba de sus servicios poniéndolo a disposición del poder ejecutivo.
Le télégramme où la Banque Provinciale le détachait de ses fonctions en le mettant à disposition du pouvoir exécutif.
El telegrama donde el Banco Provincial lo desafectaba de sus servicios poniéndolo a disposición del poder ejecutivo.
Le télégramme où la Banque Provinciale le détachait [ça se dit comme ça ?] de ses fonctions en le mettant à disposition du pouvoir exécutif.
Oui. Dans l'administration, « détacher » signifie affecter à un poste différent de celui d'origine. (source : CNRTL)
El telegrama donde el Banco Provincial lo desafectaba de sus servicios poniéndolo a disposición del poder ejecutivo.
Le télégramme où la Banque Provinciale le détachait de ses fonctions en le mettant à disposition du pouvoir exécutif.
El telegrama donde el Banco Provincial lo desafectaba de sus servicios poniéndolo a disposición del poder ejecutivo.
Le télégramme où la Banque Provinciale le détachait de ses fonctions [oui, je sais qu'on est détaché… mon pb est la construction « détaché de ses fonctions »] en le mettant à disposition du pouvoir exécutif.
El telegrama donde el Banco Provincial lo desafectaba de sus servicios poniéndolo a disposición del poder ejecutivo.
Le télégramme où la Banque Provinciale le mettait à disposition du pouvoir exécutif en le désaffectant de ses fonctions.
El telegrama donde el Banco Provincial lo desafectaba de sus servicios poniéndolo a disposición del poder ejecutivo.
Le télégramme où la Banque Provinciale le mettait à disposition du pouvoir exécutif en le désaffectant [déchargeant] de ses fonctions.
El telegrama donde el Banco Provincial lo desafectaba de sus servicios poniéndolo a disposición del poder ejecutivo.
Le télégramme où la Banque Provinciale le mettait à disposition du pouvoir exécutif en le déchargeant de ses fonctions.
El telegrama donde el Banco Provincial lo desafectaba de sus servicios poniéndolo a disposición del poder ejecutivo.
Le télégramme où la Banque Provinciale le mettait à disposition du pouvoir exécutif en le déchargeant de ses fonctions.
El telegrama donde el Banco Provincial lo desafectaba de sus servicios poniéndolo a disposición del poder ejecutivo.
Le télégramme où la Banque Provinciale le mettait à disposition du pouvoir exécutif en le déchargeant de ses fonctions.
OK.
VPC.
Ahora le sucedía a él lo mismo que en los últimos meses le había sucedido a cientos de sus compañeros, el gobernador lo ocuparía en alguna pocilga a cambio de un cuarto de su sueldo. Y a cerrar la boca, que ofrecer batalla es peor.
Maintenant, il lui arrivait la même chose qu'à des centaines de ses collègues au cours des derniers mois, le gouvernait allait l'employer dans une porcherie pour un quart de son salaire. Et mieux vaut qu'il la ferme, livrer bataille est pire.
Ahora le sucedía a él lo mismo que en los últimos meses le había sucedido a cientos de sus compañeros, el gobernador lo ocuparía en alguna pocilga a cambio de un cuarto de su sueldo. Y a cerrar la boca, que ofrecer batalla es peor.
Maintenant, il lui arrivait la même chose qu'à des centaines de ses collègues au cours des derniers mois, le gouvernait [tu travailles trop vite / relis-toi] allait l'employer dans une porcherie pour un quart de son salaire. Et mieux vaut qu'il la ferme, livrer bataille est pire.
Ahora le sucedía a él lo mismo que en los últimos meses le había sucedido a cientos de sus compañeros, el gobernador lo ocuparía en alguna pocilga a cambio de un cuarto de su sueldo. Y a cerrar la boca, que ofrecer batalla es peor.
Maintenant, il lui arrivait la même chose qu'à des centaines de ses collègues au cours des derniers mois, le gouverneur allait l'employer dans une porcherie pour un quart de son salaire. Et mieux vaut qu'il la ferme, livrer bataille est pire.
Ahora le sucedía a él lo mismo que en los últimos meses le había sucedido a cientos de sus compañeros, el gobernador lo ocuparía en alguna pocilga a cambio de un cuarto de su sueldo. Y a cerrar la boca, que ofrecer batalla es peor.
Maintenant, il lui arrivait la même chose qu'à des centaines de ses collègues au cours des derniers mois, le gouverneur allait l'employer dans une porcherie pour un quart de son salaire. Et mieux vaut qu'il la ferme, livrer bataille [naturel ?] est pire.
Ahora le sucedía a él lo mismo que en los últimos meses le había sucedido a cientos de sus compañeros, el gobernador lo ocuparía en alguna pocilga a cambio de un cuarto de su sueldo. Y a cerrar la boca, que ofrecer batalla es peor.
Maintenant, il lui arrivait la même chose qu'à des centaines de ses collègues au cours des derniers mois, le gouverneur allait l'employer dans une porcherie pour un quart de son salaire. Et mieux vaut qu'il la ferme, attaquer est pire.
Ahora le sucedía a él lo mismo que en los últimos meses le había sucedido a cientos de sus compañeros, el gobernador lo ocuparía en alguna pocilga a cambio de un cuarto de su sueldo. Y a cerrar la boca, que ofrecer batalla es peor.
Maintenant, il lui arrivait la même chose qu'à des centaines de ses collègues au cours des derniers mois, le gouverneur allait l'employer dans une porcherie pour un quart de son salaire. Et mieux vaut qu'il la ferme, attaquer [« se battre » ?] est pire.
Ahora le sucedía a él lo mismo que en los últimos meses le había sucedido a cientos de sus compañeros, el gobernador lo ocuparía en alguna pocilga a cambio de un cuarto de su sueldo. Y a cerrar la boca, que ofrecer batalla es peor.
Maintenant, il lui arrivait la même chose qu'à des centaines de ses collègues au cours des derniers mois, le gouverneur allait l'employer dans une porcherie pour un quart de son salaire. Et mieux vaut qu'il la ferme, se battre est pire.
Ahora le sucedía a él lo mismo que en los últimos meses le había sucedido a cientos de sus compañeros, el gobernador lo ocuparía en alguna pocilga a cambio de un cuarto de su sueldo. Y a cerrar la boca, que ofrecer batalla es peor.
Maintenant, il lui arrivait la même chose qu'à des centaines de ses collègues au cours des derniers mois, le gouverneur allait l'employer dans une porcherie pour un quart de son salaire. Et mieux vaut qu'il la ferme, se battre est pire.
OK.
Elena ?
Maintenant, il lui arrivait la même chose qu'à des centaines de ses collègues au cours des derniers mois, le gouverneur allait l'employer dans une porcherie pour un quart de son salaire. Et mieux vaut qu'il la ferme, se battre est pire.
OK.
VPC.
Con aquel bicho arrastrándose por la casa el olor era insoportable. Penetraba su nariz y, con la fuerza de un río que se abriera en varias corrientes, nublaba sus ojos, ensordecía sus oídos, depositaba un sedimento mugroso en su cerebro.
Avec cette bestiole rampant dans la maison, l'odeur était insupportable. Elle pénétrait son nez et, avec la force d'un fleuve qui s'ouvrirait en plusieurs courants, elle brouillait ses yeux, rendait sourdes ses oreilles, déposait un sédiment crasseux dans son cerveau.
Con aquel bicho arrastrándose por la casa el olor era insoportable. Penetraba su nariz y, con la fuerza de un río que se abriera en varias corrientes, nublaba sus ojos, ensordecía sus oídos, depositaba un sedimento mugroso en su cerebro.
Avec cette bestiole rampant dans la maison, l'odeur était insupportable. Elle pénétrait son nez et, avec la force d'un fleuve qui s'ouvrirait en plusieurs courants, elle brouillait ses yeux, rendait sourdes [le verbe ?] ses oreilles, déposait un sédiment crasseux dans son cerveau.
Con aquel bicho arrastrándose por la casa el olor era insoportable. Penetraba su nariz y, con la fuerza de un río que se abriera en varias corrientes, nublaba sus ojos, ensordecía sus oídos, depositaba un sedimento mugroso en su cerebro.
Avec cette bestiole rampant dans la maison, l'odeur était insupportable. Elle pénétrait son nez et, avec la force d'un fleuve qui s'ouvrirait en plusieurs courants, elle brouillait ses yeux, assourdissait ses oreilles, déposait un sédiment crasseux dans son cerveau.
Con aquel bicho arrastrándose por la casa el olor era insoportable. Penetraba su nariz y, con la fuerza de un río que se abriera en varias corrientes, nublaba sus ojos, ensordecía sus oídos, depositaba un sedimento mugroso en su cerebro.
Avec cette bestiole rampant dans la maison, l'odeur était insupportable. Elle pénétrait son nez et, avec la force d'un fleuve qui s'ouvrirait en plusieurs courants, elle brouillait ses yeux, assourdissait ses oreilles, déposait un sédiment crasseux dans son cerveau.
OK.
Justine ?
Con aquel bicho arrastrándose por la casa el olor era insoportable. Penetraba su nariz y, con la fuerza de un río que se abriera en varias corrientes, nublaba sus ojos, ensordecía sus oídos, depositaba un sedimento mugroso en su cerebro.
Avec cette bestiole rampant dans la maison, l'odeur était insupportable. Elle pénétrait son nez et, avec la force d'un fleuve qui s'ouvrirait en plusieurs courants, elle brouillait ses yeux, assourdissait ses oreilles, déposait un sédiment crasseux dans son cerveau.
OK.
Creyó estar aspirando, también, el espanto de otros.
Il crut être en train d'aspirer, également, l'effroi des autres.
Creyó estar aspirando, también, el espanto de otros.
Il crut être en train d'aspirer, également, l'effroi des autres [syntaxe ou ponctuation ; ça manque de clarté et de fluidité].
Creyó estar aspirando, también, el espanto de otros.
Il crut aspirer l'effroi des autres aussi.
Creyó estar aspirando, también, el espanto de otros.
Il crut aspirer l'effroi des autres aussi.
OK.
Elena ?
Il crut aspirer l'effroi des autres aussi.
OK.
VPC.
—Narices Empleados Bancarios Desaparecidos y Otros Fantasmas —dijo con voz de anunciante publicitario.
— Les Employés de Banque disparus et Autres Fantômes, des clous ! s'écria-t-il avec une voix d'annonceur publicitaire.
—Narices Empleados Bancarios Desaparecidos y Otros Fantasmas —dijo con voz de anunciante publicitario.
— Les Employés de Banque disparus et Autres Fantômes, des clous ! s'écria-t-il avec une voix d'annonceur publicitaire.
OK.
Elena ?
Il crut aspirer l'effroi des autres aussi.
OK.
*** J'ai validé avant une phrase qui n'était pas la bonne. :-/
—Narices Empleados Bancarios Desaparecidos y Otros Fantasmas —dijo con voz de anunciante publicitario.
— Les Employés de Banque Disparus et Autres Fantômes, des clous ["mon œil" ? Pour essayer de rester un peu plus près de la V.O. ? = "Narices" → il parle bien des "nez" dans le texte] ! s'écria-t-il avec une voix d'annonceur publicitaire.
Du coup, remettez la section pas bonne corrigée avec la suite qu'on a en cours – qu'à la fin, j'ai plus qu'un bloc complet à mettre dans le post.
C'est bon, la mauvaise section est déjà collée au bon endroit.
—Narices Empleados Bancarios Desaparecidos y Otros Fantasmas —dijo con voz de anunciante publicitario.
— Les Employés de Banque Disparus et Autres Fantômes, mon œil ! s'écria-t-il avec une voix d'annonceur publicitaire.
—Narices Empleados Bancarios Desaparecidos y Otros Fantasmas —dijo con voz de anunciante publicitario.
— Les Employés de Banque Disparus et Autres Fantômes, des clous ["mon œil" ? Pour essayer de rester un peu plus près de la V.O. ? = "Narices" → il parle bien des "nez" dans le texte. On perd le jeux de mots malgré tout.] ! s'écria-t-il avec une voix d'annonceur publicitaire.
***Je me suis mal exprimée : j'ai validé deux fois la même phrase, donc, tout va bien ! Il n'y a rien à corriger ou changer.
Pour confirmation, c'est ça que je colle ?
— Les Employés de Banque Disparus et Autres Fantômes, mon œil ! s'écria-t-il avec une voix d'annonceur publicitaire.
C'est bien ce qu'il faut coller :
— Les Employés de Banque Disparus et Autres Fantômes, mon œil ! s'écria-t-il avec une voix d'annonceur publicitaire.
— Les Employés de Banque Disparus et Autres Fantômes, mon œil ! s'écria-t-il avec une voix d'annonceur publicitaire.
Oui.
OK.
VPC.
Como una película, según dicen sucede antes de la muerte, pasaron por su mente la prenda que pesaba sobre el auto, la cuota del colegio privado de Naldito, la cuenta corriente en la farmacia…
À ce qu'on dit, cela arrive avant de mourir, plusieurs éléments défilèrent dans son esprit comme un film : le vêtement qui pesait sur la voiture, les frais de l'école privée de Naldito, la comptabilité courante à la pharmacie…
Como una película, según dicen sucede antes de la muerte, pasaron por su mente la prenda que pesaba sobre el auto, la cuota del colegio privado de Naldito, la cuenta corriente en la farmacia…
À ce qu'on dit, cela arrive avant de mourir, plusieurs éléments défilèrent dans son esprit comme un film [pas certaine de la syntaxe] :
le vêtement qui pesait sur la voiture, les frais de l'école privée de Naldito, la comptabilité courante à la pharmacie…
Como una película, según dicen sucede antes de la muerte, pasaron por su mente la prenda que pesaba sobre el auto, la cuota del colegio privado de Naldito, la cuenta corriente en la farmacia…
Comme un film, plusieurs éléments défilèrent dans son esprit : le vêtement qui pesait sur la voiture, les frais de l'école privée de Naldito, la comptabilité courante à la pharmacie…, à ce qu'on dit, cela arrive avant de mourir.
Como una película, según dicen sucede antes de la muerte, pasaron por su mente la prenda que pesaba sobre el auto, la cuota del colegio privado de Naldito, la cuenta corriente en la farmacia…
Comme un film, plusieurs éléments défilèrent dans son esprit : le vêtement qui pesait sur la voiture, les frais de l'école privée de Naldito, la comptabilité courante à la pharmacie…, à ce qu'on dit, cela arrive avant de mourir.
Como una película, según dicen sucede antes de la muerte, pasaron por su mente la prenda que pesaba sobre el auto, la cuota del colegio privado de Naldito, la cuenta corriente en la farmacia…
Comme [« dans » ?] un film, plusieurs éléments [pourquoi cet ajout ?] défilèrent dans son esprit : le vêtement qui pesait sur la voiture, les frais de l'école privée de Naldito, la comptabilité courante à la pharmacie…, à ce qu'on dit, cela arrive avant de mourir.
Como una película, según dicen sucede antes de la muerte, pasaron por su mente la prenda que pesaba sobre el auto, la cuota del colegio privado de Naldito, la cuenta corriente en la farmacia…
Comme dans un film, le vêtement qui pesait sur la voiture, les frais de l'école privée de Naldito, la comptabilité courante à la pharmacie… défilèrent dans son esprit, à ce qu'on dit, cela arrive avant de mourir.
Como una película, según dicen sucede antes de la muerte, pasaron por su mente la prenda que pesaba sobre el auto, la cuota del colegio privado de Naldito, la cuenta corriente en la farmacia…
Comme dans un film, le vêtement qui pesait sur la voiture, les frais de l'école privée de Naldito, la comptabilité courante à la pharmacie… défilèrent dans son esprit [revois la syntaxe de tout ce début ; je pense qu'il y a mieux], à ce qu'on dit, cela arrive avant de mourir.
Le vêtement qui pesait sur la voiture, les frais de l'école privée de Naldito, la comptabilité courante à la pharmacie… défilèrent dans son esprit comme dans un film. À ce qu'on dit, cela arrive avant de mourir.
Como una película, según dicen sucede antes de la muerte, pasaron por su mente la prenda que pesaba sobre el auto, la cuota del colegio privado de Naldito, la cuenta corriente en la farmacia…
Le vêtement qui pesait sur la voiture, les frais de l'école privée de Naldito, la comptabilité courante à la pharmacie… défilèrent dans son esprit comme dans un film. À ce qu'on dit, cela arrive avant de mourir.
Como una película, según dicen sucede antes de la muerte, pasaron por su mente la prenda que pesaba sobre el auto, la cuota del colegio privado de Naldito, la cuenta corriente en la farmacia…
Le vêtement qui pesait sur la voiture [au fait, c'est bizarre, ça, non ?], les frais de l'école privée de Naldito, la comptabilité courante à la pharmacie… défilèrent dans son esprit comme dans un film. À ce qu'on dit, cela arrive avant de mourir.
Enregistrer un commentaire