Frontera
Se asoma al espejo y ve que nieva. Siente alivio, le agrada no hallarse ante lo que supuso inevitable: el reflejo de su rostro demacrado bajo el agobio del calor y las paredes transpiradas del baño. Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal. (Ojalá su pensamiento fuese tan agudo como para comprender que verá algo a la vez bello y tenebroso). Observa ese blanco prístino que cubre lo desconocido, ve las marcas. Son sus huellas, sí, lo sabe ahora como si lo hubiese sabido siempre, son sus propias huellas que se alejan. Ojalá tuviera tiempo suficiente para volver sobre sus pasos.
Traduction temporaire :
Frontière
Il se regarde dans le miroir et voit qu'il neige. Il se sent soulagé. Il est content de ne pas se retrouver face à ce qu'il avait supposé inévitable : le reflet de son visage émacié sous l’étouffement de la chaleur et les murs suintants de la salle de bains. Plus curieux que surpris, il plisse les yeux pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtil, qui lui fait face depuis la vitre. (Pourvu que sa pensée soit aussi spirituelle pour comprendre qu'il verra quelque chose de beau et de ténébreux à la fois). Il observe ce blanc originel qui recouvre l'inconnu, il voit les marques. Ce sont ses traces, oui. Il le sait à présent, comme s'il l'avait toujours su. Ce sont ses propres traces qui s'éloignent. Pourvu qu'il ait le temps de revenir sur ses pas.
Frontière
Il se regarde dans le miroir et voit qu'il neige. Il se sent soulagé. Il est content de ne pas se retrouver face à ce qu'il avait supposé inévitable : le reflet de son visage émacié sous l’étouffement de la chaleur et les murs suintants de la salle de bains. Plus curieux que surpris, il plisse les yeux pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtil, qui lui fait face depuis la vitre. (Pourvu que sa pensée soit aussi spirituelle pour comprendre qu'il verra quelque chose de beau et de ténébreux à la fois). Il observe ce blanc originel qui recouvre l'inconnu, il voit les marques. Ce sont ses traces, oui. Il le sait à présent, comme s'il l'avait toujours su. Ce sont ses propres traces qui s'éloignent. Pourvu qu'il ait le temps de revenir sur ses pas.
52 commentaires:
Frontera
Se asoma al espejo y ve que nieva.
Frontière
Il se regarde dans le miroir et voit qu'il neige.
Frontera
Se asoma al espejo y ve que nieva.
Frontière
Il se regarde dans le miroir et voit qu'il neige.
OK.
Justine ?
Frontière
Il se regarde dans le miroir et voit qu'il neige.
OK.
VPC.
Siente alivio, le agrada no hallarse ante lo que supuso inevitable: el reflejo de su rostro demacrado bajo el agobio del calor y las paredes transpiradas del baño.
Il se sent soulagé, ça lui plait de ne pas se retrouver face à ce qu'il avait supposé inévitable : son visage émacié sous l’étouffement de la chaleur et les murs transpirants de la salle de bains.
Siente alivio, le agrada no hallarse ante lo que supuso inevitable: el reflejo de su rostro demacrado bajo el agobio del calor y las paredes transpiradas del baño.
Il se sent soulagé, ça lui plaît de ne pas se retrouver face à ce qu'il avait supposé inévitable : son visage émacié sous l’étouffement de la chaleur et les murs transpirants de la salle de bains.
Siente alivio, le agrada no hallarse ante lo que supuso inevitable: el reflejo de su rostro demacrado bajo el agobio del calor y las paredes transpiradas del baño.
Il se sent soulagé, [point ?] ça lui plait [bof ; adapté ici ?] de ne pas se retrouver face à ce qu'il avait supposé inévitable : [el reflejo ?]
son visage émacié sous l’étouffement de la chaleur et les murs transpirants de la salle de bains.
Siente alivio, le agrada no hallarse ante lo que supuso inevitable: el reflejo de su rostro demacrado bajo el agobio del calor y las paredes transpiradas del baño.
Il se sent soulagé. Il est content de ne pas se retrouver face à ce qu'il avait supposé inévitable : le reflet de son visage émacié sous l’étouffement de la chaleur et les murs transpirants de la salle de bains.
Siente alivio, le agrada no hallarse ante lo que supuso inevitable: el reflejo de su rostro demacrado bajo el agobio del calor y las paredes transpiradas del baño.
Il se sent soulagé. Il est content de ne pas se retrouver face à ce qu'il avait supposé inévitable : le reflet de son visage émacié sous l’étouffement de la chaleur et les murs transpirants [« suintants » ?] de la salle de bains.
Siente alivio, le agrada no hallarse ante lo que supuso inevitable: el reflejo de su rostro demacrado bajo el agobio del calor y las paredes transpiradas del baño.
Il se sent soulagé. Il est content de ne pas se retrouver face à ce qu'il avait supposé inévitable : le reflet de son visage émacié sous l’étouffement de la chaleur et les murs suintants de la salle de bains.
Siente alivio, le agrada no hallarse ante lo que supuso inevitable: el reflejo de su rostro demacrado bajo el agobio del calor y las paredes transpiradas del baño.
Il se sent soulagé. Il est content de ne pas se retrouver face à ce qu'il avait supposé inévitable : le reflet de son visage émacié sous l’étouffement de la chaleur et les murs suintants de la salle de bains.
OK.
Elena ?
Il se sent soulagé. Il est content de ne pas se retrouver face à ce qu'il avait supposé inévitable : le reflet de son visage émacié sous l’étouffement de la chaleur et les murs suintants de la salle de bains.
OK.
VPC.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il aiguise sa vue pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, fin, qui l'affronte depuis le carreau.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il aiguise sa vue pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, fin, qui l'affronte [Elena ?] depuis le carreau.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il aiguise sa vue pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, fin ["subtile" ?], qui l'affronte [Elena ? / "fait front" ? Pour éviter de répéter "face"] depuis le carreau.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il aiguise sa vue pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, fin ["subtile" ?], qui l'affronte [Elena ? / "fait front" ? Pour éviter de répéter "face" //// mon pb, c'est le sens : juste dire qu'il est en face ou qu'il y a « lutte » ?] depuis le carreau.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il aiguise sa vue pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, fin ["subtile" ?], qui l'affronte [Elena ? / "fait front" ? Pour éviter de répéter "face" //// mon pb, c'est le sens : juste dire qu'il est en face ou qu'il y a « lutte » ? /// Il est en face, il n'y a pas de lutte.] depuis le carreau.
Pour moi, il y a une idée de lutte constante du personnage contre lui-même dans ce texte, d'où mon choix, Elena, ton avis ?
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il aiguise sa vue pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, fin ["subtile" ?], qui l'affronte [Elena ? / "fait front" ? Pour éviter de répéter "face" //// mon pb, c'est le sens : juste dire qu'il est en face ou qu'il y a « lutte » ?] depuis le carreau.
Oui, voyons d'abord ce que nous dit Elena.
*** Ce que je comprends, d'après le titre : Il sort de la douche, se regarde dans le miroir et ne se voit pas, il ne voit que le rideau blanc de la neige et ses propres pas à lui qui s'en va. La frontière entre lui et son moi qui part, c'est le miroir, or, il ne peut pas le traverser et faire marche arrière.
Dans ces cas-là, plus « faire face », non ?
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il aiguise sa vue pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtile, qui lui fait face depuis le carreau.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il aiguise sa vue [bizarre avec « aiguiser »… Il y a un verbe, mais là, je ne l'ai pas… Facile à trouver] pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtile, qui lui fait face depuis le carreau [« la vitre » ?].
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il affine sa vue pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtil, qui lui fait face depuis la vitre.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il affine sa vue [c'est correct, mais je ne trouve pas cela très naturel ; pas carrément autre chose ? Je n'arrive pas à mettre le doigt dessus… Agaçant !] pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtil, qui lui fait face depuis la vitre.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il accommode sa vue pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtil, qui lui fait face depuis la vitre.
*** "fixer le regard" ? Sinon, "aiguiser sa vue", faute de mieux, ça m'allait...
Mais c'est pas la même chose. « Fixer le regard » me semble mieux.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il fixe le regard pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtil, qui lui fait face depuis la vitre.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il fixe le regard [ah non, mais là, ça va pas… parce que c'est fixé sur quelque chose] pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtil, qui lui fait face depuis la vitre.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il plisse les yeux pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtil, qui lui fait face depuis la vitre.
Plus curieux que surpris, il fixe le regard sur la vitre pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtil, qui lui fait face.
Más curioso que sorprendido, aguza la vista para descubrir qué hay detrás de esa cortina fría, sutil, que lo enfrenta desde el cristal.
Plus curieux que surpris, il plisse les yeux pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtil, qui lui fait face depuis la vitre.
OK.
Elena ?
Plus curieux que surpris, il plisse les yeux pour découvrir ce qu'il y a derrière ce rideau froid, subtil, qui lui fait face depuis la vitre.
OK.
VPC.
(Ojalá su pensa- miento fuese tan agudo como para comprender que verá algo a la vez bello y tenebroso).
(Pourvu que sa pensée soit aussi spirituelle pour comprendre qu'il verra quelque chose de beau et ténébreux à la fois).
(Ojalá su pensamiento fuese tan agudo como para comprender que verá algo a la vez bello y tenebroso).
(Pourvu que sa pensée soit aussi spirituelle pour comprendre qu'il verra quelque chose de beau et [« de » ?] ténébreux à la fois).
Ojalá su pensamiento fuese tan agudo como para comprender que verá algo a la vez bello y tenebroso).
(Pourvu que sa pensée soit aussi spirituelle pour comprendre qu'il verra quelque chose de beau et de ténébreux à la fois).
Ojalá su pensamiento fuese tan agudo como para comprender que verá algo a la vez bello y tenebroso).
(Pourvu que sa pensée soit aussi spirituelle pour comprendre qu'il verra quelque chose de beau et de ténébreux à la fois).
OK.
Elena ?
(Pourvu que sa pensée soit aussi spirituelle pour comprendre qu'il verra quelque chose de beau et de ténébreux à la fois).
OK.
VPC.
Observa ese blanco prístino que cubre lo desconocido, ve las marcas.
Il observe ce blanc originel qui recouvre l'inconnu, il voit les marques.
Observa ese blanco prístino que cubre lo desconocido, ve las marcas.
Il observe ce blanc originel qui recouvre l'inconnu, il voit les marques.
OK.
Elena ?
Il observe ce blanc originel qui recouvre l'inconnu, il voit les marques.
OK.
VPC.
Son sus huellas, sí, lo sabe ahora como si lo hubiese sabido siempre, son sus propias huellas que se alejan. Ojalá tuviera tiempo suficiente para volver sobre sus pasos.
Ce sont ses traces, oui, il le sait à présent, comme s'il l'avait toujours su. Ce sont ses propres traces qui s'éloignent. Pourvu qu'il ait le temps de revenir sur ses pas.
Son sus huellas, sí, lo sabe ahora como si lo hubiese sabido siempre, son sus propias huellas que se alejan. Ojalá tuviera tiempo suficiente para volver sobre sus pasos.
Ce sont ses traces, oui, [point ?] il le sait à présent, comme s'il l'avait toujours su. Ce sont ses propres traces qui s'éloignent. Pourvu qu'il ait le temps de revenir sur ses pas.
Son sus huellas, sí, lo sabe ahora como si lo hubiese sabido siempre, son sus propias huellas que se alejan. Ojalá tuviera tiempo suficiente para volver sobre sus pasos.
Ce sont ses traces, oui. Il le sait à présent, comme s'il l'avait toujours su. Ce sont ses propres traces qui s'éloignent. Pourvu qu'il ait le temps de revenir sur ses pas.
Son sus huellas, sí, lo sabe ahora como si lo hubiese sabido siempre, son sus propias huellas que se alejan. Ojalá tuviera tiempo suficiente para volver sobre sus pasos.
Ce sont ses traces, oui. Il le sait à présent, comme s'il l'avait toujours su. Ce sont ses propres traces qui s'éloignent. Pourvu qu'il ait le temps de revenir sur ses pas.
OK.
Justine ?
Son sus huellas, sí, lo sabe ahora como si lo hubiese sabido siempre, son sus propias huellas que se alejan. Ojalá tuviera tiempo suficiente para volver sobre sus pasos.
Ce sont ses traces, oui. Il le sait à présent, comme s'il l'avait toujours su. Ce sont ses propres traces qui s'éloignent. Pourvu qu'il ait le temps de revenir sur ses pas.
OK.
VPC.
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