Puerto
Para su sorpresa, la cama donde está acostado se transforma en balsa. Y el piso, en mar. El techo, cielo abierto. Sólo el frío y la oscuridad permanecen sin cambio. Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan precariamente unidos— donde ahora habita. De algún modo le recuerdan a Los Duraznos, la quinta de sus abuelos, los veranos de la niñez y aquel sol hecho jugo de fruta escurriéndose por los dedos. En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible. Fuera de ese gran hoyo que su frenesí va formando, no aparece nada. Una aguda sensación de extrañeza lo embarga, según parece, ese hoyo es su lugar de arribo. Tampoco comprende dónde se acumula el mar que quita. De pronto sus manos se iluminan: están azules, por momentos también grises, o tan negras que sólo algún reflejo plateado permite verlas, están doradas, o vio- lentamente verdes. Si no fuera por este mal presentimiento, lloraría de emoción ante tanta belleza.
Traduction temporaire :
Port
À sa grande surprise, le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau. Et le sol devient mer. Le plafond, ciel ouvert. Seuls le froid et l'obscurité ne changent pas. Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les rondins – si précairement assemblés – où il habite maintenant. D'une certaine façon, ils lui rappellent les Pêches, la maison de campagne de ses grands-parents, les étés de son enfance et ce soleil transformé en jus de fruits coulant sur les doigts. Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Il cherche avec angoisse. Il ignore quoi, il a juste l'intuition que ce qu'on a perdu était indispensable. Rien n'apparaît, hormis ce trou que forme sa frénésie. Une intense sensation d'étonnement le submerge. Apparemment, ce trou est son lieu d'arrivée. Il ne comprend pas non plus où s'accumule la mer qu'il enlève. Ses mains s'illuminent soudain : elles sont bleues, grises par moments, ou si noires que seul un reflet argenté permet de les voir. Elles sont dorées, ou violemment vertes. N'eut été ce mauvais pressentiment, il pleurerait d'émotion devant tant de beauté.
Port
À sa grande surprise, le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau. Et le sol devient mer. Le plafond, ciel ouvert. Seuls le froid et l'obscurité ne changent pas. Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les rondins – si précairement assemblés – où il habite maintenant. D'une certaine façon, ils lui rappellent les Pêches, la maison de campagne de ses grands-parents, les étés de son enfance et ce soleil transformé en jus de fruits coulant sur les doigts. Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Il cherche avec angoisse. Il ignore quoi, il a juste l'intuition que ce qu'on a perdu était indispensable. Rien n'apparaît, hormis ce trou que forme sa frénésie. Une intense sensation d'étonnement le submerge. Apparemment, ce trou est son lieu d'arrivée. Il ne comprend pas non plus où s'accumule la mer qu'il enlève. Ses mains s'illuminent soudain : elles sont bleues, grises par moments, ou si noires que seul un reflet argenté permet de les voir. Elles sont dorées, ou violemment vertes. N'eut été ce mauvais pressentiment, il pleurerait d'émotion devant tant de beauté.
85 commentaires:
Puerto
Para su sorpresa, la cama donde está acostado se transforma en balsa.
Port
À sa surprise, le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau.
Puerto
Para su sorpresa, la cama donde está acostado se transforma en balsa.
Port
À sa surprise [mal dit], le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau.
Puerto
Para su sorpresa, la cama donde está acostado se transforma en balsa.
Port
À son grand étonnement, le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau.
Puerto
Para su sorpresa, la cama donde está acostado se transforma en balsa.
Port
À sa grande surprise, le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau.
Puerto
Para su sorpresa, la cama donde está acostado se transforma en balsa.
Port
À sa grande surprise, le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau.
OK.
Justine ?
Puerto
Para su sorpresa, la cama donde está acostado se transforma en balsa.
Port
À sa grande surprise, le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau.
OK.
VPC.
Y el piso, en mar. El techo, cielo abierto. Sólo el frío y la oscuridad permanecen sin cambio.
EEt le sol en mer. Le plafond, en ciel ouvert. Seuls le froid et l'obscurité ne changent pas.
Y el piso, en mar. El techo, cielo abierto. Sólo el frío y la oscuridad permanecen sin cambio.
EEt le sol en mer. Le plafond, en ciel ouvert. Seuls le froid et l'obscurité ne changent pas.
RELIS-TOI.
Y el piso, en mar. El techo, cielo abierto. Sólo el frío y la oscuridad permanecen sin cambio.
Et le sol en mer. Le plafond, en ciel ouvert. Seuls le froid et l'obscurité ne changent pas.
Y el piso, en mar. El techo, cielo abierto. Sólo el frío y la oscuridad permanecen sin cambio.
Et le sol en mer [pas très clair / pb de ponctuation ?]. Le plafond, en [ajout nécessaire ?] ciel ouvert. Seuls le froid et l'obscurité ne changent pas.
Y el piso, en mar. El techo, cielo abierto. Sólo el frío y la oscuridad permanecen sin cambio.
Et le sol devient mer. Le plafond, ciel ouvert. Seuls le froid et l'obscurité ne changent pas.
Y el piso, en mar. El techo, cielo abierto. Sólo el frío y la oscuridad permanecen sin cambio.
Et le sol devient mer. Le plafond, ciel ouvert. Seuls le froid et l'obscurité ne changent pas.
OK.
Elena ?
Et le sol devient mer. Le plafond, ciel ouvert. Seuls le froid et l'obscurité ne changent pas.
OK.
VPC.
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les troncs – si précairement assemblés – où il habite maintenant.
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les troncs – si précairement assemblés – où il habite maintenant.
OK.
Elena ?
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les troncs ["rondins" ?]– si précairement assemblés – où il habite maintenant.
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les troncs ["rondins" ? Je sais pas ; il s'agit de quoi ? Il est où ?]– si précairement assemblés – où il habite maintenant.
Le personnage est dans son lit, mais a l'impression que les éléments se transforment.
Du coup, comme ça, de prime abord, je ne trouve convaincant ni troncs ni rondins ;-) Je vous laisse y réfléchir.
Blogger Tradabordo a dit...
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les bouts de bois – si précairement assemblés – où il habite maintenant.
*** Il est sur un radeau.
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur ces pièces de bois – si précairement assemblés – où il habite maintenant.
Blogger Tradabordo a dit...
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les lattes – si précairement assemblées – où il habite maintenant.
Si c'est sur un radeau, « rondins » est bien.
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les rondins – si précairement assemblés – où il habite maintenant.
Oui, mais le radeau, c'est le lit sur lequel il est couché, cf 1ère phrase du texte :
« À sa grande surprise, le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau. »
« À sa grande surprise, le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau. »
OK.
Elena ?
« À sa grande surprise, le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau. » c'était la première phrase du texte, juste pour vous signaler que pour le personnage, son lit devient un radeau. Voilà pourquoi après, je parlerais plutôt de « lattes ». Qu'en pensez-vous ?
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les lattes – si précairement assemblées – où il habite maintenant.
Justine, attends qu'Elena ait validé… sinon, je vais m'y perdre. On en reste là :
« À sa grande surprise, le lit sur lequel il est couché se transforme en radeau. »
OK.
Elena ?
Elle a déjà validé, c'est la toute première phrase du texte, je vous redonnais juste le contexte…
Bon, alors du coup, mets-moi uniquement ce qui doit être collé, ici :
-
puis, ce que je dois maintenant évaluer, ici :
-
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les lattes – si précairement assemblées – où il habite maintenant.
Besoin que tu remplisses ce que j'ai demandé :
Bon, alors du coup, mets-moi uniquement ce qui doit être collé, ici :
-
puis, ce que je dois maintenant évaluer, ici :
-
→ Besoin que tu remplisses ce que j'ai demandé :
→ Bon, alors du coup, mets-moi uniquement ce qui doit être collé, ici :
- *** IL N'Y A RIEN À COLLER, TOUT À DÉJÀ ÉTÉ FAIT.
→ puis, ce que je dois maintenant évaluer, ici :
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les lattes – si précairement assemblées – où il habite maintenant.
*** Je ne suis pas si mettre "lattes" à la place de "rondins", le lit est désormais un radeau...
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les lattes [vous m'avez dit que c'était un radeau… donc rondins] – si précairement assemblées – où il habite maintenant.
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les rondins – si précairement assemblés – où il habite maintenant.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les rondins – si précairement assemblées – où il habite maintenant.
OK.
Con cuidado para no voltearla, se arrodilla sobre esos troncos —tan preca- riamente unidos— donde ahora habita.
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les rondins – si précairement assemblés – où il habite maintenant.
OK.
Elena ?
Pour ne pas retourner l'embarcation, il s'agenouille prudemment sur les rondins – si précairement assemblés – où il habite maintenant.
OK.
VPC.
De algún modo le recuerdan a Los Duraznos, la quinta de sus abuelos, los veranos de la niñez y aquel sol hecho jugo de fruta escurriéndose por los dedos.
D'une certaine façon, ils lui rappellent les Pêches, la maison de campagne de ses grands-parents, les étés de son enfance et ce soleil transformé en jus de fruits, coulant sur les doigts.
De algún modo le recuerdan a Los Duraznos, la quinta de sus abuelos, los veranos de la niñez y aquel sol hecho jugo de fruta escurriéndose por los dedos.
D'une certaine façon, ils lui rappellent les Pêches, la maison de campagne [Elena ?] de ses grands-parents, les étés de son enfance et ce soleil transformé en jus de fruits, [la virgule ?] coulant sur les doigts.
De algún modo le recuerdan a Los Duraznos, la quinta de sus abuelos, los veranos de la niñez y aquel sol hecho jugo de fruta escurriéndose por los dedos.
D'une certaine façon, ils lui rappellent les Pêches, la maison de campagne [Elena ?] de ses grands-parents, les étés de son enfance et ce soleil transformé en jus de fruits coulant sur les doigts.
De algún modo le recuerdan a Los Duraznos, la quinta de sus abuelos, los veranos de la niñez y aquel sol hecho jugo de fruta escurriéndose por los dedos.
D'une certaine façon, ils lui rappellent les Pêches, la maison de campagne [Elena ?] de ses grands-parents, les étés de son enfance et ce soleil transformé en jus de fruits coulant sur les doigts.
Elena, ton avis sur le point en suspens ?
D'une certaine façon, ils lui rappellent les Pêches, la maison de campagne de ses grands-parents, les étés de son enfance et ce soleil transformé en jus de fruits coulant sur les doigts.
OK.
VPC.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Ce soir, il se penche et creuse dans l'eau. Anxieux, il cherche. Il ignore que : il n'a que l'impression que ce que l'on a perdu est indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Ce soir [texte ?], il se penche et creuse dans l'eau. Anxieux [ou dans le sens « avide » ici ? Elena ?], il cherche. Il ignore que : il n'a que l'impression que ce que l'on a perdu est indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Cette nuit-ci, il se penche et creuse dans l'eau. Avide, il cherche. Il ignore quoi, il a juste une intuition : ce qu'on a perdu était indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
En cette soirée d'aujourd'hui, il se penche et creuse dans l'eau. Avide, il cherche. Il ignore que : il n'a que l'impression que ce que l'on a perdu est indispensable.
Je vous laisse faire la synthèse.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
En cette soirée d'aujourd'hui, il se penche et creuse dans l'eau. Avide, il cherche. Il ignore quoi, il a juste une intuition : ce qu'on a perdu était indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Avide, il cherche. Il ignore quoi, il a juste une intuition : ce qu'on a perdu était indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Avide [FS ? Elena ?], il cherche. Il ignore quoi, il a juste une intuition : [pas besoin de passer par le système des deux points] ce qu'on a perdu était indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Avide [FS ? Elena ? / "Angoissé" ?], il cherche. Il ignore quoi, il a juste l'intuition que ce qu'on a perdu était indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Avide [FS ? Elena ? / "Angoissé" ? / ok, mais du coup, est-ce que l'adjectif est la meilleure solution ?], il cherche. Il ignore quoi, il a juste l'intuition que ce qu'on a perdu était indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Anxieux, il cherche. Il ignore quoi, il a juste l'intuition que ce qu'on a perdu était indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Anxieux [cf mon commentaire précédent / pas certaine que l'adjectif soit la meilleure solution], il cherche. Il ignore quoi, il a juste l'intuition que ce qu'on a perdu était indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Avec angoisse, il cherche. Il ignore quoi, il a juste l'intuition que ce qu'on a perdu était indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Avec angoisse [placé après ?], il cherche. Il ignore quoi, il a juste l'intuition que ce qu'on a perdu était indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Il cherche avec angoisse. Il ignore quoi, il a juste l'intuition que ce qu'on a perdu était indispensable.
En esta noche de hoy se inclina y cava en el agua. Busca angustiosamente. Desconoce qué: sólo intuye que lo perdido era imprescindible.
Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Il cherche avec angoisse. Il ignore quoi, il a juste l'intuition que ce qu'on a perdu était indispensable.
OK.
Elena ?
Cette nuit-là, il se penche et creuse dans l'eau. Il cherche avec angoisse. Il ignore quoi, il a juste l'intuition que ce qu'on a perdu était indispensable.
OK.
Fuera de ese gran hoyo que su frenesí va formando, no aparece nada.
Hormis ce grand trou que forme sa frénésie, rien n'apparaît.
Fuera de ese gran hoyo que su frenesí va formando, no aparece nada.
Hormis ce grand trou que forme sa frénésie, rien n'apparaît [en inversant la syntaxe ? Essaie].
Fuera de ese gran hoyo que su frenesí va formando, no aparece nada.
Rien n'apparaît, hormis ce trou que forme sa frénésie.
Fuera de ese gran hoyo que su frenesí va formando, no aparece nada.
Rien n'apparaît, hormis ce trou que forme sa frénésie.
OK.
Elena ?
Rien n'apparaît, hormis ce trou que forme sa frénésie.
OK.
Una aguda sensación de extrañeza lo embarga, según parece, ese hoyo es su lugar de arribo. Tampoco comprende dónde se acumula el mar que quita.
Une intense sensation d'étonnement l'envahit, apparemment, ce trou est son lieu d'arrivée. Il ne comprend pas non plus où s'accumule la mer qu'il enlève.
Una aguda sensación de extrañeza lo embarga, según parece, ese hoyo es su lugar de arribo. Tampoco comprende dónde se acumula el mar que quita.
Une intense sensation d'étonnement l'envahit [ou : « submerge » ?], [ponctuation] apparemment, ce trou est son lieu d'arrivée. Il ne comprend pas non plus où s'accumule la mer qu'il enlève.
Una aguda sensación de extrañeza lo embarga, según parece, ese hoyo es su lugar de arribo. Tampoco comprende dónde se acumula el mar que quita.
Une intense sensation d'étonnement le submerge. Apparemment, ce trou est son lieu d'arrivée. Il ne comprend pas non plus où s'accumule la mer qu'il enlève.
Una aguda sensación de extrañeza lo embarga, según parece, ese hoyo es su lugar de arribo. Tampoco comprende dónde se acumula el mar que quita.
Une intense sensation d'étonnement le submerge. Apparemment, ce trou est son lieu d'arrivée. Il ne comprend pas non plus où s'accumule la mer qu'il enlève.
OK.
Elena ?
Une intense sensation d'étonnement le submerge. Apparemment, ce trou est son lieu d'arrivée. Il ne comprend pas non plus où s'accumule la mer qu'il enlève.
OK.
De pronto sus manos se iluminan: están azules, por momentos también grises, o tan negras que sólo algún reflejo plateado permite verlas, están doradas, o vio- lentamente verdes.
Ses mains s'illuminent soudain : elles sont bleues, grises par moments aussi, ou si noires que seul un reflet argenté permet de les voir, elles sont dorées, ou violemment vertes.
De pronto sus manos se iluminan: están azules, por momentos también grises, o tan negras que sólo algún reflejo plateado permite verlas, están doradas, o vio- lentamente verdes.
Ses mains s'illuminent soudain : elles sont bleues, grises par moments aussi [nécessaire ?], ou si noires que seul un reflet argenté permet de les voir, [point ?] elles sont dorées, ou violemment vertes.
De pronto sus manos se iluminan: están azules, por momentos también grises, o tan negras que sólo algún reflejo plateado permite verlas, están doradas, o vio- lentamente verdes.
Ses mains s'illuminent soudain : elles sont bleues, grises par moments, ou si noires que seul un reflet argenté permet de les voir. Elles sont dorées, ou violemment vertes.
De pronto sus manos se iluminan: están azules, por momentos también grises, o tan negras que sólo algún reflejo plateado permite verlas, están doradas, o vio- lentamente verdes.
Ses mains s'illuminent soudain : elles sont bleues, grises par moments, ou si noires que seul un reflet argenté permet de les voir. Elles sont dorées, ou violemment vertes.
OK.
Elena ?
Ses mains s'illuminent soudain : elles sont bleues, grises par moments, ou si noires que seul un reflet argenté permet de les voir. Elles sont dorées, ou violemment vertes.
OK.
VPC.
Si no fuera por este mal presentimiento, lloraría de emoción ante tanta belleza.
Si ce n'était pas à cause de ce mauvais pressentiment, il pleurerait d'émotion devant tant de beauté.
Si no fuera por este mal presentimiento, lloraría de emoción ante tanta belleza.
Si ce n'était pas à cause de [« N'eut été » ?] ce mauvais pressentiment, il pleurerait d'émotion devant tant de beauté.
Si no fuera por este mal presentimiento, lloraría de emoción ante tanta belleza.
N'eut été ce mauvais pressentiment, il pleurerait d'émotion devant tant de beauté.
Si no fuera por este mal presentimiento, lloraría de emoción ante tanta belleza.
N'eut été ce mauvais pressentiment, il pleurerait d'émotion devant tant de beauté.
OK.
Elena ?
N'eut été ce mauvais pressentiment, il pleurerait d'émotion devant tant de beauté.
OK.
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