Oficio de familia
Juntos, la anciana (hombros generosos, rostro como tierra que alguna vez fue lecho de río, espalda agobiada) y el niño (palos quebradizos por piernas, ojos precavidos), recolectan flores antes de que el sol asome tras las montañas. Juntos las acomodan, esmerada y delicadamente, en una amplia cesta de junco que ella sostiene. Juntos las ofrecen por las calles de la ciudad. Los citadinos (corazones ansiosos, hedor a desesperanza) no acostumbran recibir en oferta algo a cambio de nada, la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia. Entre estos últimos y para asombro de los floristas, un hombre llega a sacar la cabeza por la ventanilla del auto que conduce y pregunta a los gritos: “¿La vieja te obliga a juntar flores?” El niño rehúye con vergüenza ajena la mirada. Cuando el cielo indica que la noche es inminente, se marchan. Caminan el sendero que hace siglos nadie transita, ése, tan de ellos, que se eleva a cada paso, amador de nubes, el sendero que los viera pasar trenzando flores para las mujeres del Inca. Puesto que la ciudad que acaban de visitar, luego de tanta ausencia, se fundó al precio del holocausto de su nación, lo visto les alcanza para concluir que los blancos no han aprendido nada desde entonces, no aprenderán nunca.
Traduction temporaire :
Un métier de père en fils
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes. Ensemble, ils les arrangent soigneusement et délicatement dans un grand panier en jonc qu'elle porte. Ensemble, ils les offrent dans les rues de la ville. Les citadins (cœurs inquiets, puanteur de désespérance) ne sont pas habitués à recevoir de cadeau en échange de rien. La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils ne reçoivent pas tous leur cadeau avec plaisir ; il y a ceux qui répondent avec impolitesse, voire avec colère. Parmi ces derniers, et au grand étonnement des fleuristes, un homme passe la tête par la fenêtre de la voiture qu'il conduit et demande avec force cris : « La vieille t'oblige à ramasser des fleurs ? ». Comme il lui fait honte, l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique l'approche de la nuit, ils s'en vont. Ils empruntent le sentier sur lequel personne ne marche depuis des siècles. Celui, qui leur appartient tant, qui monte à chaque pas, amoureux des nuages, le sentier qui les a vus passer tressant des couronnes de fleurs pour les femmes de l'Inca. Comme la ville qu'ils viennent de visiter, après une si longue absence, a été fondée au prix de l'holocauste de leur nation, ce qu'ils ont vu leur suffit pour conclure que les Blancs n'ont rien appris depuis, n'apprendront jamais.
Un métier de père en fils
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes. Ensemble, ils les arrangent soigneusement et délicatement dans un grand panier en jonc qu'elle porte. Ensemble, ils les offrent dans les rues de la ville. Les citadins (cœurs inquiets, puanteur de désespérance) ne sont pas habitués à recevoir de cadeau en échange de rien. La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils ne reçoivent pas tous leur cadeau avec plaisir ; il y a ceux qui répondent avec impolitesse, voire avec colère. Parmi ces derniers, et au grand étonnement des fleuristes, un homme passe la tête par la fenêtre de la voiture qu'il conduit et demande avec force cris : « La vieille t'oblige à ramasser des fleurs ? ». Comme il lui fait honte, l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique l'approche de la nuit, ils s'en vont. Ils empruntent le sentier sur lequel personne ne marche depuis des siècles. Celui, qui leur appartient tant, qui monte à chaque pas, amoureux des nuages, le sentier qui les a vus passer tressant des couronnes de fleurs pour les femmes de l'Inca. Comme la ville qu'ils viennent de visiter, après une si longue absence, a été fondée au prix de l'holocauste de leur nation, ce qu'ils ont vu leur suffit pour conclure que les Blancs n'ont rien appris depuis, n'apprendront jamais.
69 commentaires:
Oficio de familia
Juntos, la anciana (hombros generosos, rostro como tierra que alguna vez fue lecho de río, espalda agobiada) y el niño (palos quebradizos por piernas, ojos precavidos), recolectan flores antes de que el sol asome tras las montañas.
Travail de famille
Ensemble, la vieille dame (des épaules généreuses, un visage comme une terre qui fut un jour le lit d'une rivière, le dos surchargé), et l'enfant (des bâtons cassants à la place des jambes, des yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
Oficio de familia
Juntos, la anciana (hombros generosos, rostro como tierra que alguna vez fue lecho de río, espalda agobiada) y el niño (palos quebradizos por piernas, ojos precavidos), recolectan flores antes de que el sol asome tras las montañas.
Travail de famille [Elena ?]
Ensemble, la vieille dame (des épaules généreuses, un visage comme une terre qui fut un jour le [nécessaire ?] lit d'une rivière, le dos surchargé [FS ? Elena ?]), et l'enfant (des bâtons cassants à la place des jambes, des yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
Oficio de familia
Juntos, la anciana (hombros generosos, rostro como tierra que alguna vez fue lecho de río, espalda agobiada) y el niño (palos quebradizos por piernas, ojos precavidos), recolectan flores antes de que el sol asome tras las montañas.
Travail en famille [Elena ?]
Ensemble, la vieille dame (des épaules généreuses, un visage comme une terre qui fut un jour lit d'une rivière, le dos fatigué, et l'enfant (des bâtons cassants à la place des jambes, des yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
Oficio de familia
Juntos, la anciana (hombros generosos, rostro como tierra que alguna vez fue lecho de río, espalda agobiada) y el niño (palos quebradizos por piernas, ojos precavidos), recolectan flores antes de que el sol asome tras las montañas.
Travail de famille ["Métier familial" ? Dans le sens : ils travaillent en famille]
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
***J'ai enlevé quelques déterminants pour faire plus fluide, à vous de voir...
Justine, donne ton avis avant que je regarde.
Oficio de familia
Juntos, la anciana (hombros generosos, rostro como tierra que alguna vez fue lecho de río, espalda agobiada) y el niño (palos quebradizos por piernas, ojos precavidos), recolectan flores antes de que el sol asome tras las montañas.
Travail en famille
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
Oficio de familia
Juntos, la anciana (hombros generosos, rostro como tierra que alguna vez fue lecho de río, espalda agobiada) y el niño (palos quebradizos por piernas, ojos precavidos), recolectan flores antes de que el sol asome tras las montañas.
Travail en famille
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
OK.
Elena ?
Oficio de familia = Travail en famille ["Métier de famille" ?]
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
Métiers de famille = pas super clair. ce serait quoi l'idée ?
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
Métier de famille = pas super clair. ce serait quoi l'idée ? → Ils travaillent en famille parce qu'ils ont un métier qui se transmet de père en fils.
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
Métier de famille = pas super clair. ce serait quoi l'idée ? → Ils travaillent en famille parce qu'ils ont un métier qui se transmet de père en fils. / « Un métier de père en fils » ?
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
Une affaire familiale
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
Une affaire familiale [Justine, as-tu regardé la conversation que nous avons eue avec Elena sur le sujet ?]
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
Un métier de père en fils
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
Un métier de père en fils
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
OK.
Elena ?
Un métier de père en fils
Ensemble, la vieille dame (épaules généreuses, visage telle la terre qui fut un jour lit d'une rivière, dos épuisé), et l'enfant (bâtons cassants à la place des jambes, yeux clairvoyants), cueillent des fleurs avant que le soleil ne poigne derrière les montagnes.
OK.
VPC.
Juntos las acomodan, esmerada y delicadamente, en una amplia cesta de junco que ella sostiene. Juntos las ofrecen por las calles de la ciudad.
Ensemble, ils les arrangent, soigneusement et délicatement dans un grand panier en jonc qu'elle porte. Ensemble, ils les offrent dans les rues de la ville.
Juntos las acomodan, esmerada y delicadamente, en una amplia cesta de junco que ella sostiene. Juntos las ofrecen por las calles de la ciudad.
Ensemble, ils les arrangent, [la virgule ?] soigneusement et délicatement dans un grand panier en jonc qu'elle porte. Ensemble, ils les offrent [ou : « distribuent » ? j'hésite… alors comme tu veux] dans les rues de la ville.
Juntos las acomodan, esmerada y delicadamente, en una amplia cesta de junco que ella sostiene. Juntos las ofrecen por las calles de la ciudad.
Ensemble, ils les arrangent soigneusement et délicatement dans un grand panier en jonc qu'elle porte. Ensemble, ils les offrent dans les rues de la ville.
Juntos las acomodan, esmerada y delicadamente, en una amplia cesta de junco que ella sostiene. Juntos las ofrecen por las calles de la ciudad.
Ensemble, ils les arrangent soigneusement et délicatement dans un grand panier en jonc qu'elle porte. Ensemble, ils les offrent dans les rues de la ville.
OK.
Elena ?
Ensemble, ils les arrangent soigneusement et délicatement dans un grand panier en jonc qu'elle porte. Ensemble, ils les offrent dans les rues de la ville.
OK.
VPC.
Los citadinos (corazones ansiosos, hedor a desesperanza) no acostumbran recibir en oferta algo a cambio de nada, la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
Les citadins (cœurs égoïstes empestant la désespérance) ne sont pas habitués à recevoir quelque chose en cadeau en échange de rien. La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils n'accueillent pas tous le présent avec amabilité ; il y a ceux qui répondent avec désobligeance, voire même avec colère.
Los citadinos (corazones ansiosos, hedor a desesperanza) no acostumbran recibir en oferta algo a cambio de nada, la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
Les citadins (cœurs égoïstes [FS ? Elena ?] empestant la désespérance [texte ?]) ne sont pas habitués à recevoir quelque chose en cadeau en échange [pas génial, les deux « en »] de rien.
Faisons déjà cela.
La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils n'accueillent pas tous le présent avec amabilité ; il y a ceux qui répondent avec désobligeance, voire même avec colère.
Los citadinos (corazones ansiosos, hedor a desesperanza) no acostumbran recibir en oferta algo a cambio de nada, la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
Les citadins (cœurs égoïstes [FS ? Elena ?] puanteur de désespérance) ne sont pas habitués à recevoir de cadeau en échange de rien. La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils n'accueillent pas tous le présent avec amabilité ; il y a ceux qui répondent avec désobligeance, voire même avec colère.
Los citadinos (corazones ansiosos, hedor a desesperanza) no acostumbran recibir en oferta algo a cambio de nada, la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
Les citadins (cœurs égoïstes [FS ? Elena ?] puanteur de désespérance) ne sont pas habitués à recevoir de cadeau en échange de rien.
Elena ?
Los citadinos (corazones ansiosos, hedor a desesperanza) no acostumbran recibir en oferta algo a cambio de nada, la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
Les citadins (cœurs soucieux, puanteur de désespérance) ne sont pas habitués à recevoir de cadeau en échange de rien.
Los citadinos (corazones ansiosos, hedor a desesperanza) no acostumbran recibir en oferta algo a cambio de nada, la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
Les citadins (cœurs soucieux [« inquiets » ?], puanteur de désespérance) ne sont pas habitués à recevoir de cadeau en échange de rien.
Los citadinos (corazones ansiosos, hedor a desesperanza) no acostumbran recibir en oferta algo a cambio de nada, la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
Les citadins (cœurs inquiets, puanteur de désespérance) ne sont pas habitués à recevoir de cadeau en échange de rien.
Los citadinos (corazones ansiosos, hedor a desesperanza) no acostumbran recibir en oferta algo a cambio de nada, la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
Les citadins (cœurs inquiets, puanteur de désespérance) ne sont pas habitués à recevoir de cadeau en échange de rien.
OK.
Justine ?
Los citadinos (corazones ansiosos, hedor a desesperanza) no acostumbran recibir en oferta algo a cambio de nada,
Les citadins (cœurs inquiets, puanteur de désespérance) ne sont pas habitués à recevoir de cadeau en échange de rien.
OK.
la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils n'accueillent pas tous le présent avec amabilité ; il y a ceux qui répondent avec désobligeance, voire même avec colère.
la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils n'accueillent [texte ?] pas tous le présent avec amabilité [inexact ?] ; il y a ceux qui répondent avec désobligeance [texte ?], voire même [redondant] avec colère.
la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils ne reçoivent pas tous leur cadeau avec plaisir ; il y a ceux qui répondent avec impolitesse, voire colère.
la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils ne reçoivent pas tous leur cadeau avec plaisir ; il y a ceux qui répondent avec impolitesse, voire [« avec » ?] colère.
la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils ne reçoivent pas tous leur cadeau avec plaisir ; il y a ceux qui répondent avec impolitesse, voire avec colère.
la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils ne reçoivent pas tous leur cadeau avec plaisir ; il y a ceux qui répondent avec impolitesse, voire avec colère.
OK.
Justine ?
la generosidad de estos dos extraños a algunos, incluso, los agrede. Por tal motivo, no todos reciben el obsequio con agrado, están los que responden con descortesía e incluso con rabia.
La générosité de ces deux inconnus en agresse même certains. Voilà pourquoi ils ne reçoivent pas tous leur cadeau avec plaisir ; il y a ceux qui répondent avec impolitesse, voire avec colère.
OK.
VPC.
Entre estos últimos y para asombro de los floristas, un hombre llega a sacar la cabeza por la ventanilla del auto que conduce y pregunta a los gritos: “¿La vieja te obliga a juntar flores?”.
Parmi ces derniers, et au grand étonnement des fleuristes, un homme en vient à passer la tête par la vitre de la voiture qu'il conduit et demande avec force cris : « La vieille t'oblige à faire des bouquets de fleurs ? ».
Entre estos últimos y para asombro de los floristas, un hombre llega a sacar la cabeza por la ventanilla del auto que conduce y pregunta a los gritos: “¿La vieja te obliga a juntar flores?”.
Parmi ces derniers, et au grand étonnement des fleuristes, un homme en vient à passer [juste avec « passe » ?] la tête par la vitre de la voiture qu'il conduit et demande avec force cris : « La vieille t'oblige à faire des bouquets [Elena ?] de fleurs ? ».
Entre estos últimos y para asombro de los floristas, un hombre llega a sacar la cabeza por la ventanilla del auto que conduce y pregunta a los gritos: “¿La vieja te obliga a juntar flores?”.
Parmi ces derniers, et au grand étonnement des fleuristes, un homme passe la tête par la vitre ["fenêtre" ?] de la voiture qu'il conduit et demande avec force cris : « La vieille t'oblige à ramasser des fleurs ? ».
Entre estos últimos y para asombro de los floristas, un hombre llega a sacar la cabeza por la ventanilla del auto que conduce y pregunta a los gritos: “¿La vieja te obliga a juntar flores?”.
Parmi ces derniers, et au grand étonnement des fleuristes, un homme passe la tête par la vitre ["fenêtre" ? / OK] de la voiture qu'il conduit et demande avec force cris : « La vieille t'oblige à ramasser des fleurs ? ».
Parmi ces derniers, et au grand étonnement des fleuristes, un homme passe la tête par la fenêtre de la voiture qu'il conduit et demande avec force cris : « La vieille t'oblige à ramasser des fleurs ? ».
OK.
Entre estos últimos y para asombro de los floristas, un hombre llega a sacar la cabeza por la ventanilla del auto que conduce y pregunta a los gritos: “¿La vieja te obliga a juntar flores?”.
Parmi ces derniers, et au grand étonnement des fleuristes, un homme passe la tête par la fenêtre de la voiture qu'il conduit et demande avec force cris : « La vieille t'oblige à ramasser des fleurs ? ».
OK.
VPC.
El niño rehúye con vergüenza ajena la mirada. Cuando el cielo indica que la noche es inminente, se marchan.
Ayant honte d'autrui, l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique que la nuit est imminente, ils s'en vont.
El niño rehúye con vergüenza ajena la mirada. Cuando el cielo indica que la noche es inminente, se marchan.
Ayant honte d'autrui [clair ?], l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique que la nuit est imminente [naturel ?], ils s'en vont.
El niño rehúye con vergüenza ajena la mirada. Cuando el cielo indica que la noche es inminente, se marchan.
Honteux, l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique que la nuit est proche, ils s'en vont.
El niño rehúye con vergüenza ajena la mirada. Cuando el cielo indica que la noche es inminente, se marchan.
Honteux [Elena ? Est-ce qu'on rend «verguenza ajena» de cette façon ?], l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique que la nuit est proche [non, du coup, remets ce que tu avais avant], ils s'en vont.
El niño rehúye con vergüenza ajena la mirada. Cuando el cielo indica que la noche es inminente, se marchan.
Honteux [Elena ? Est-ce qu'on rend «verguenza ajena» de cette façon ?], l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique que la nuit va tomber, ils s'en vont.
El niño rehúye con vergüenza ajena la mirada. Cuando el cielo indica que la noche es inminente, se marchan.
Honteux [Elena ? Est-ce qu'on rend «verguenza ajena» de cette façon ?], l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique que la nuit va tomber, ils s'en vont.
El niño rehúye con vergüenza ajena la mirada. Cuando el cielo indica que la noche es inminente, se marchan.
Honteux [Elena ? Est-ce qu'on rend «verguenza ajena» de cette façon ? / L'enfant ressent la honte que ce monsieur aurait dû avoir en lui posant cette question = "Embarrassé" ?], l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique que la nuit est proche [non, du coup, remets ce que tu avais avant], ils s'en vont.
Honteux sans précision, c'est lui à cause de lui… alors que verguenza ajena, c'est tu as honte pour / à la place de quelqu'un d'autre. Une idée pour rendre cela ? Pas de trad, nulle part… ? Sinon : voyez s'il faudra se résoudre à en passer par une périphrase.
El niño rehúye con vergüenza ajena la mirada. Cuando el cielo indica que la noche es inminente, se marchan.
Comme il lui fait honte, l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique que la nuit est proche [non, du coup, remets ce que tu avais avant], ils s'en vont.
El niño rehúye con vergüenza ajena la mirada. Cuando el cielo indica que la noche es inminente, se marchan.
Comme il lui fait honte, l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique l'approche de la nuit, ils s'en vont.
El niño rehúye con vergüenza ajena la mirada. Cuando el cielo indica que la noche es inminente, se marchan.
Comme il lui fait honte, l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique que la nuit va tomber ils s'en vont.
Comme il lui fait honte, l'enfant fuit son regard. Quand le ciel indique l'approche de la nuit, ils s'en vont.
OK.
VPC.
Caminan el sendero que hace siglos nadie transita, ése, tan de ellos, que se eleva a cada paso, amador de nubes, el sendero que los viera pasar trenzando flores para las mujeres del Inca.
Ils empruntent le sentier sur lequel personne ne passe depuis des siècles. Celui, qui leur appartient tant, qui monte à chaque pas, amoureux des nuages, le sentier qui les a vu passer, tressant des couronnes de fleurs pour les femmes de l'Inca.
Caminan el sendero que hace siglos nadie transita, ése, tan de ellos, que se eleva a cada paso, amador de nubes, el sendero que los viera pasar trenzando flores para las mujeres del Inca.
Ils empruntent le sentier sur lequel personne ne passe depuis des siècles. Celui, qui leur appartient tant, qui monte à chaque pas, amoureux des nuages, le sentier qui les a vu [grammaire ?] passer, tressant [je me demande si la virgule ne crée pas une ambiguïté] des couronnes de fleurs pour les femmes de l'Inca.
Caminan el sendero que hace siglos nadie transita, ése, tan de ellos, que se eleva a cada paso, amador de nubes, el sendero que los viera pasar trenzando flores para las mujeres del Inca.
Ils empruntent le sentier sur lequel personne ne marche depuis des siècles. Celui, qui leur appartient tant, qui monte à chaque pas, amoureux des nuages, le sentier qui les a vus passer tressant des couronnes de fleurs pour les femmes de l'Inca.
Caminan el sendero que hace siglos nadie transita, ése, tan de ellos, que se eleva a cada paso, amador de nubes, el sendero que los viera pasar trenzando flores para las mujeres del Inca.
Ils empruntent le sentier sur lequel personne ne marche depuis des siècles. Celui, qui leur appartient tant, qui monte à chaque pas, amoureux des nuages, le sentier qui les a vus passer tressant des couronnes de fleurs pour les femmes de l'Inca.
OK.
Elena ?
Ils empruntent le sentier sur lequel personne ne marche depuis des siècles. Celui, qui leur appartient tant, qui monte à chaque pas, amoureux des nuages, le sentier qui les a vus passer tressant des couronnes de fleurs pour les femmes de l'Inca.
OK.
VPC.
Puesto que la ciudad que acaban de visitar, luego de tanta ausencia, se fundó al precio del holocausto de su nación, lo visto les alcanza para concluir que los blancos no han aprendido nada desde entonces, no aprenderán nunca.
Comme la ville qu'ils viennent de visiter, après une si longue absence, a été fondée au prix de l'holocauste de leur nation, ce qu'ils ont vu leur suffit pour conclure que les Blancs n'ont rien appris depuis, n'apprendront jamais.
Puesto que la ciudad que acaban de visitar, luego de tanta ausencia, se fundó al precio del holocausto de su nación, lo visto les alcanza para concluir que los blancos no han aprendido nada desde entonces, no aprenderán nunca.
Comme la ville qu'ils viennent de visiter, après une si longue absence, a été fondée au prix de l'holocauste de leur nation, ce qu'ils ont vu leur suffit pour conclure que les Blancs n'ont rien appris depuis, n'apprendront jamais.
OK.
Elena ?
Comme la ville qu'ils viennent de visiter, après une si longue absence, a été fondée au prix de l'holocauste de leur nation, ce qu'ils ont vu leur suffit pour conclure que les Blancs n'ont rien appris depuis, n'apprendront jamais.
OK.
VPC.
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